Le Président de la société de tir de Port-la-Nouvelle, l’encadrement de l’école de tir et les membres du comité directeur, félicitent Shanna pour son excellente prestation à ces Championnats de France, qui a fait briller les couleurs du club et celles de la ville de Port-La Nouvelle.C’est donc en catégorie benjamine carabine précision calibre 4.5 qu’a concourue Shanna, qui s’est classée 75ème nationale sur 130 avec un score de 241,8 points sur 300. Notons, que c’est là sa 1ère participation aux Championnats de France et qu’elle a très bien appréhendée ce genre de compétition de haut niveau. La saison prochaine, Shanna Noyan concourra en catégorie minime, ce qui la fera tirer sur 400 points et sans potence mobile.Voilà donc une jeune pousse qui devrait faire couler de l’encre dans les prochaines années.Encore une fois, sincères félicitations à notre jeune compétitrice pour ses excellents résultats. Reportage Michel Llaoneta
Elle s’était qualifiée avec brio à l’issue des Championnats Régionaux à Sète, le samedi 9 avril 2022, en montant sur la 3ème marche du podium avec un score de 223,6 / 300. Environ 1500 jeunes venus des quatre coins de la France et d’outre-mer, ont donné le meilleur d’eux-mêmes durant ces quatre jours de compétitions, dans le Parc des Expositions de Montluçon, transformé pour la circonstance en un gigantesque stand de tir. Shanna a su mettre en pratique l’enseignement prodigué par l’encadrement Nouvellois durant cette année, entrecoupée d’absences dues à la Covid19, entrainant l’isolements aussi bien des élèves d’une part quecelui des entraineurs d’autre part.
L’école de tir de Port-la-Nouvelle, après 2 années d’interruptions pour cause de COVID 19, présentait Shanna Noyan aux Championnats de France individuels des écoles de tir.Ceux-ci se déroulaient cette année à Montluçon, dans l’Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes, du 26 au 29 mai 2022.
2022: Championnat de France des écoles de tir : Shanna Noyan dans l’Allier.
Reportage William Barbier
La renommée de la qualité d’accueil réservée aux uns et aux autres a pour résultat une fidélisation et une augmentation des participants à cette manifestation qui se traduit par une moisson de nouveaux contacts et une recette dont les bénéfices sont en priorité réinjectés dans le fonctionnement de l’école de tir. C’est ainsi que cette petite structure arrive à engranger des résultats sportifs de haut niveau sur le plan local, départemental, national et international, « on a un gamin qui est champion du monde » s’enorgueillit Henri Ala. Le président se bat avec son organisation pour marteler que le tir est bel et bien une discipline sportive, on ne dit d’ailleurs pas un « tireur » mais bien un « athlète ». En ces périodes troublées et donc contraignantes sur le plan administratif, « le tir est un sport qu’il faut démystifier, ceux qui le pratiquent, y compris les gamins, ont un mental parfaitement équilibré, une école de tir n’est pas un défouloir pour décharger son agressivité. Le tir est un sport de précision, et l’apparent immobilisme est en réalité tout son contraire car lors de compétitions un athlète peut perdre plus d’un kilo, preuve de l’effort demandé à l’organisme »
Le tir est probablement plus encadré que les autres, mais il a l’avantage d’être complémentaire à d’autres et inversement (un rugbyman peut être champion de tir). Le devoir de mémoire n’était pas absent de cette manifestation étalant des armes de guerre. C’est ainsi que Dominique André, président du Souvenir Français de Sigean et co-auteur de l’ouvrage « Les Poilus de Sigean durant la grande guerre 14-18 », et Henri Martin ont pu s’entretenir avec Antoine Bucher venant de Tours, auteur d’un ouvrage qui est le résultat de 20 années de recherches, « Policiers sous l’occupation en Touraine » (Editions La Simarre) et pourquoi ils ne sont jamais revenus.
Ce 1er Mars 2020, conscient de l’aura dont profite sa ville lors de cette manifestation, Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle a une nouvelle fois confié ce 1er mars la totalité du gymnase Jean Monnet et de la salle Jacques Brel au président du Cercle de Tir, Henri Ala. Pour sa 16e édition, la Bourse aux Armes a tenu ses promesses, permettant à 30 exposants de rencontrer des centaines de visiteurs partageant la même passion, la collection d’armes anciennes.
Mars 2021 Société de tir de Port - la Nouvelle :  La preuve que les armes peuvent aussi faire rêver
Les
Bavards
du
Net 2.Fr
Voilà l’appel pacifique que lance la Société de Tir de Port-La Nouvelle aux amateurs d’armes anciennes de collection. C’est dans la salle Jean Monnet que le président Henri Ala, le vice-président Michel Llaoneta et l’équipe de bénévoles organisent ce dimanche 1er mars 2020 de 08.15 à 17.00 heures leur 16ème Bourse Militaria Collections.
Les collectionneurs y trouveront leur bonheur parmi les armes de toutes les époques et de tous les pays, peut-être l’élément manquant recherché depuis longtemps, ainsi que des uniformes, des écussons, des insignes, des documents historiques, des livres, des revues spécialisées, … C’est aussi une plongée dans un monde inconnu pour un public non averti, et pour certains le déclic pour se découvrir une âme de collectionneur. Une telle exposition ne se visite pas en quelques minutes car on ne flâne pas, on s’extasie devant tant de trésors chargés d’histoire, et un service de restauration dans la salle Jacques Brel annexe attend les visiteurs, réservation sur place. Ce monde d’exception est donc accessible pour un ticket d’entrée de 3,00 € par personne, gratuite pour les enfants de moins de 14 ans et interdite aux mineurs non accompagnés. Cette année encore, le comité d’organisation a mis tout en œuvre pour accueillir un public de plus en plus nombreux.
Reportage William Barbier
Société de tir de Port - la Nouvelle :  Devenir un as de la gâchette, pas si simple !
OK, ça devient sérieux, et Henri ajoute « pour faire cet alignement correct, il faut faire un socle solide en adoptant une posture dont on peut durcir la base par un tassement, les vertèbres se collant entre elles tout en gardant un maximum de rigidité et de souplesse, et on garde un litre d’air dans les poumons ». Ceci pour la carabine, au pistolet l’alchimie se complète d’un verrouillage de l’omoplate. Le jeune épaule la carabine, les deux yeux ouverts, Henri lui ayant appris qu’en fermant un œil on bascule plus de pression sanguine sur l’œil ouvert provoquant un phénomène de diffraction. Avant de tirer, il apprend qu’il y a 80 g de pression sur la détente, qu’il doit d’abord arriver au point dur, et ensuite viser, pas plus de 7 secondes sans quoi on relâche et on reprend. Après le tir, on ne bouge pas, « on compte 1, 2, 3 avant de poser ». Les premières cibles du jeune son prometteuses, mais Henri le ramène sur terre : « Au tir sportif il y a 12 séquences de tir, si tu n’en fais que 10 ou tu en inverses une, tu rates ta cible, et avec le temps tu pourras déterminer là où tu t’es planté ! ». Dans son DDES (Définition, Démonstration, Explication, Sécurité), Henri ne tarit pas de conseils sur la sécurité omniprésente partant du principe qu’une arme est supposée être toujours chargée. Les trois jeunes venus l’après-midi ont rejoint le club, le portant à 138 adhérents. « On a quand même un champion du monde au pistolet que j’ai formé ici » murmure fièrement Henri. D’autres suivront.
Reportage William Barbier
Quand on les connaît, il y a la carcasse du tireur qui se transforme en appui, en affût, et en tir sportif on travaille avec une discipline qui exige une très grande rigueur, la carabine à plomb sur 10 mètres. Ce n’est qu’avec de bons résultats et cette rigueur acquise à vie qu’on peut s’essayer ensuite au pistolet. Le jeune qui piaffe d’impatience pour tirer en écoutant Henri se calme quand il apprend qu’il va passer d’une visée fermée à une visée ouverte : « Il y a le cran de mire et le guidon, on les aligne au mieux sans quoi on fait une ligne brisée entre la ligne de visée (ligne imaginaire qui passe du milieu du sommet du cran de mire et qui passe par le milieu du sommet du guidon) et la ligne de mire (qui passe de l’œil à l’objectif) ».
C’est ce que Henri Ala, président de la Société de Tir Nouvelloise, a expliqué aux jeunes lors de sa journée portes ouvertes du 8 septembre : « un collimateur s’applique à l’aviation, quand on règle les azimuts, c’est dans un sous-marin, mais tout ce qui est terrestre, je connais ! ». Le tir est d’abord un sport, un prolongement de la vue jusqu’à un objectif donné, et il y a des chemins à suivre qui sont les références de base de là où vont les yeux et le projectile.
Société de tir de Port - la Nouvelle :  Aux armes, citoyens !
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Tous sont venus des clubs de Carcassonne (Carcassonnaise Tir et Le Chapitre), Castelnaudary, Narbonne et Port la Nouvelle. A la mi-journée, l’heure était au rendez vous pour déguster un excellent plat catalan « les boles de picolat » concocté par notre ami Gilles et son équipe. A 14h, les tirs reprenaient pour se terminer vers 17h30. C’est M. Didier Suard président du Comité Départemental de Tir de l’Aude qui présidait la cérémonie de remise des récompenses, accompagné de M. Henri Ala président de la société de tir de Port la Nouvelle et de M. Michel Llaoneta secrétaire et responsable départemental des écoles de tir et de ce challenge.
Les 98 jeunes tireurs qui ont participé au challenge ont reçu un certificat de participation individualisé. Des médailles ont été décernées aux trois premiers de chaque catégorie et discipline par le club de Port la Nouvelle. S’en est suivie la remise de 20 coupes par le Comité Départemental, récompensant individuellement chaque premier au cumul des points, amassés au cours des 4 manches, dans chaque catégorie et discipline. Le président de la société de tir de Port la Nouvelle M. Henri Ala, après avoir excusé M. le maire Henri Martin retenu par d’autres obligations, remerciait la municipalité de Port la Nouvelle pour l’aide et le soutient qu’elle nous apporte chaque fois que le besoin se présente. Il se félicitait du bon déroulement de cette compétition et remerciait les bénévoles qui ont œuvré pour que cette journée soit appréciée de tous.
Michel Llaoneta rappelait, suite à l’engouement des parents et des responsables de club généré lors de cette remise des prix, l’importance de se rassembler, lors des championnats de France, autour d’un jeune Audois qui monterait sur le podium. Le département de l’Aude formerait ainsi un seul et même grand club pour supporter notre jeune tireur Audois, face aux très grandes sociétés de tir venant par dizaine de supporters, amenant même leurs pom-pom-girls.
Didier Suard dans son allocution n’oubliait pas de remercier les parents qui accompagnent leurs enfants aux compétitions dans le département et hors département et félicitait tous ces jeunes pour leurs résultats et leurs assiduités à ce challenge. Il félicitait aussi M. Karl Bassompierre (RDA), Mme Evelyne Prost et M. Jean-Louis Anfraix arbitres fédéraux pour le bon déroulement de cette compétition.       
Le trophée du vainqueur de la Coupe de l’Aude des Jeunes était remis au club de la Carcassonnaise Tir, qui totalise 766 points pour 100 tirs.
S’en suivent : 2ème Castelnaudary avec 482 points pour 99 tirs, 3ème Narbonne avec 195 points pour 52 tirs, 4ème Port la Nouvelle avec 181 points pour 47 tirs et 5ème Le Chapitre avec 80 points pour 10 tirs.
Les jeunes Nouvellois qui ont participés, au cours des 4 manches, au résultat et classement de ce challenge édition 2018 / 2019 sont :
SAUTREAU Timéo, GUIRAUD Gabriel, RESTEAlexis, SLATER Sasha, BARTHE Alain, HECKMANN Mathys, LARAACH Yannis, PECH Mathéo, SAUVAGE Lukas, BRUN Romain, CONNAN Hugo, BRUN Charlotte, LOISEL Jean-Charles, MONTARIOL Lola, ALCASSE Rémi, LARIGNON Kévin et CONNAN Theo.
Le président de la société de tir de Port la Nouvelle adresse à ses jeunes tireurs toutes ses félicitations et donne rendez-vous à Hugo CONNAN et Romain BRUN sur les pas de tir à Marseille du 30 mai au 2 juin pour disputer le championnat de France des écoles de tirs. Mais aussi Mélissa Cozanil, Théo Séviner et Isoline Givout
Dimanche 12 mai s’est déroulée la 4ème et dernière manche de la Coupe de l’Aude des Jeunes sur les pas de tirs de la société de tir de Port la Nouvelle. Pas moins de 75 tirs à la carabine et au pistolet à air comprimé calibre 4,5 et à 10m ont été effectués par les jeunes, filles et garçons, de la catégorie poussin à celle de junior.
Société de tir de Port - la Nouvelle :  Coupe de l’Aude des Jeunes.
Il fallait de plus que cette bourse s’effectuât dans un local répondant aux conditions de sûreté contre les vols et les intrusions, et n’ayant été à aucun moment « patatoïdal » (lexique d’Henri Ala) dans l’achèvement de toutes ces contraintes, Henri Martin lui a finalement accordé de pouvoir disposer du gymnase. La majorité des exposants sont des professionnels, mais dans le cas où le vendeur est un particulier, l’arme ou l’élément objet de la transaction doit être livré dans les locaux d’un armurier qui procède aux vérifications d’usage avant toute remise à l’acquéreur particulier. Que l’on se rassure, parmi les visiteurs, très nombreux sont les collectionneurs qui recherchent la pièce rare parmi les insignes, les écussons et les médailles, les uniformes, les miniatures et figurines, les livres et magazines, les sabres et épées, les casques et bérets, un Smart Phone taser développant 3 000 000 volt attirant l’attention d’un public féminin.
C’est par un arrêté préfectoral qu’Henri Ala a été autorisé à organiser cette Bourse aux Armes ce 10 mars au gymnase Jean Monnet, sachant que seuls y sont présentés ou vendus des armes, des éléments d’armes et des munitions des catégories C et des a, b, c, h, i et j de la catégorie D. Henri Ala fut aussi tenu de vérifier que tous les exposants possèdent soit une autorisation préfectorale d’ouverture d’un commerce de détail, soit une autorisation préfectorale spéciale attestant que les conditions de vente ne présentent pas de risque pour l’ordre et la sécurité publics.
« Pas question à quelque moment que ce soit de se prendre ne fût-ce qu’un doigt dans le tapis lors de cette 15e Bourse aux Armes et Militaria » confirme Henri Ala, président de la Société de Tir de Port-La Nouvelle, en accompagnant le maire Henri Martin parmi les nombreux exposants. C’est qu’une bourse aux armes n’est pas une kermesse, et encore moins un vide grenier.
Port la Nouvelle : Une bourse dont le succès ne désarme pas
C’est dans la salle Jean-Monnet, que le comité de la Société de Tir de Port la Nouvelle organise le dimanche 10 mars de 8h15 à 17h00 sa 15ème Bourse Militaria Collections.
Vous y trouverez des armes anciennes de collection de toutes les époques, à silex, modernes, de tous les pays, mais aussi des uniformes, des écussons, des insignes, des documents historiques, des livres, des revues spécialisées...etc. Tout cela pour que le collectionneur en recherche de l’élément manquant trouve son bonheur, et que le public non averti, s’extasie devant d’aussi belles pièces de collection. Peut être que certains vont se découvrir une âme de futur collectionneur. De plus, pour que cette journée soit une réussite pour tout visiteur, un service restauration sera à votre disposition dans la salle Jacques Brel. Réservation sur place. L’entrée est de 3€ par personne, gratuite pour les enfants de moins de 14 ans et interdite aux mineurs non accompagnés. Le comité d’organisation met tout en œuvre pour que vous puissiez passer une excellente journée, dans un monde d’exception. Nous vous attendons, venez nombreux. 
Port la Nouvelle : BOURSE MILITARIA COLLECTIONS 2019
Avec une cible à 25m, les armes anciennes ont montré leur redoutable précision avec des scores de 76 (pistolet à un coup silex Comminazzo), 95 (pistolet à percussion produit entre 1782 et 1864), 93 (arme à canon tournant Mariette), 89 (pistolet semi-automatique Colt des Forces Armées US), et 87 (revolver Chamelot-Delvigne produit de 1837 à 1887, 1ère arme de poing de l’Armée Française). Lors de la remise des prix, Henri Ala a remercié tous les bénévoles qui s’impliquent sans compter au sein du club, l’occasion pour Patrice Ménard de mettre en évidence leur valeur inestimable dans la vie et la survie des associations : « si les bénévoles disparaissent, les municipalités devront soit assumer financièrement toutes les charges en puisant dans la poche du contribuable, soit recruter des policiers pour encadrer les jeunes ». Et pan
Comme chaque année, le club de tir organisa ce dimanche 16 septembre le « challenge Morreti », à la mémoire d’André décédé il y a une décennie, amateur d’armes anciennes et qui a rendu des services inestimables au développement de l’école de tir en étant le « papy des jeunes » pour l’initiation au tir à plomb. Un travail de longue haleine qui a fait de l’école ce qu’elle est aujourd’hui, parcours que Patrice Ménard, maire-adjoint délégué aux sports et aux associations, a traduit par « tout ne se fait pas en un jour, mais aujourd’hui André Morreti voit que tout se fait un jour ». 
C’est ainsi qu’Henri Ala, président de la Société de Tir de Port-La Nouvelle, désigne ces tireurs passionnés par les armes anciennes à poudre noire, pour qui toute la préparation avant le départ du coup (chargement de la poudre, de la bourre, de la balle et de l’amorce) est un cérémonial fusionnel avec l’arme qui débouche sur une forte détonation, une flamme et beaucoup de fumée au départ du projectile.
Les « poudreux » ne tirent pas à blanc
Il mentionne aussi l’excellent travail fourni pédagogiquement pour le tir à l’arc, constatant que la majorité des archers se laisse aussi tenter par la gâchette du pistolet ou de la carabine à plomb. Avec une représentation graphique sur écran, Michel Llaonetta a présenté le rapport sportif détaillé qui se résume à 106 médailles pour le club (39 pour l’école de tir, 20 pour les cadets et juniors, 47 pour les seniors). Le maire Henri Martin a mis en évidence le sérieux du fonctionnement du club, sachant que cette discipline sportive est des plus encadrées sur tous les plans réglementaires (fédération, ligue, département, forces de l’ordre, préfecture, environnement), ce qui lui vaut de recevoir la confiance du Comité Départemental pour organiser les Championnats Départementaux des Ecoles de Tir. Le maire apprécie la politique du club tournée vers les jeunes qui représentent actuellement 30% des effectifs. Concernant le rapport financier, il a félicité le trésorier pour avoir virtualisé les charges du Personnel bénévole sur base du SMIC à raison de 21.000€, prouvant que sans le volontariat, rien ne fonctionnerait.
Pour les Cadets et les Juniors, Henri projette de les amener, avec tous les acteurs pédagogiques, du plomb à 10m vers les 25m gros calibre (22). Il veut aussi que les Seniors aillent se frotter, même en compétitions amicales, aux autres clubs du département en armes réglementaires à 25m et aux armes anciennes (poudre noire), et qu’ils poursuivent une formation pour intéresser les jeunes.
Dans le rapport moral de son AG, Henri Ala, président de la Société de Tir de Port-La Nouvelle, a présenté sa vision du futur. Pour l’école de tir, le but est de continuer à former les « gamins » et les projeter le plus haut possible à travers des compétitions locales, départementales, régionales, et plus.
Un club ayant résolument l’avenir dans le viseur
Henri Ala est le président de la Société de Tir de Port-La Nouvelle, club qui a conquis ses lettres de noblesse au niveau de la ville, de l’Aude, de la France et à l’international. Organisant ce dimanche 9 septembre ses portes ouvertes, il a pu mesurer les retombées positives du récent forum des associations représentant 80% des visiteurs venus découvrir le tir sportif sous un angle inattendu car souvent mal compris ou mal expliqué. Diffusant la bonne parole sportive, Henri précise les retombées bénéfiques pour les enfants (auto-contrôle, concentration, raisonnement sportif, discipline et sécurité) en supprimant toute velléité d’agressivité, sauf celle contre soi-même : « A chaque tir, on se bat contre soi-même, chaque tir est le recommencement de tout ce qu’on a appris, dans un match à 60 tirs c’est 60 matches ». Le club compte actuellement 134 adhérents, école de tir incluse, et le comité directeur s’étoffe progressivement de jeunes, rentrés comme « gamins » et « gamines » ayant gravi les échelons (poussin, benjamin, minime, junior). Moment d’émotion pour Henri quand apparaît Fanny : « Il y a … longtemps, il était mon prof, et je viens maintenant inscrire mon fils et ma fille … et moi aussi ! ». Le fils veut devenir archer au club médiéval Les Saigneurs de Guerre à Gignac, et l’encadrant Jean-Claude met immédiatement le « gamin » au travail. La fille est tentée par la carabine à plombs, et la « gamine » écoute avec attention ce que lui enseigne le professeur Henri, avec les mêmes mots qu’il utilisait naguère pour sa maman. Fanny, quant à elle, va devoir réécouter son prof aussi car « il me semble que je tremble plus qu’avant ».
Un plomb, une flèche ou un missile, ça reste du tir de précision
Le plus important enfin est que la présence des « grands » Cadet et Junior sert d’émulation pour les « petits » pour progresser.  Ce dimanche le challenge a réuni 72 participants au cumul des scores carabine et 23 au cumul des scores pistolet avec une belle moisson de récompenses. Chaque tireur se voit offrir un diplôme de participation, les trois premiers de chaque catégorie une médaille (or, argent et bronze), une coupe récompensant le premier de chaque catégorie qui a obtenu le plus de points. Le moment fort est celui de la remise de la Coupe de l’Aude 2017-2018 par Patrice Ménard, maire-adjoint en charge des associations et des sports, à l’école de tir de Carcassonne qui cette année a trusté les meilleurs scores au total des points du jour et au cumul des points du challenge. Reportage William Barbier
Anciennement Challenge Calvayrac, cette compétition obéit à une réglementation plus souple qu’une compétition fédérale. Quand garçons et filles ont franchi les étapes de Poussin, Benjamin et Minime, ils se doivent de prendre l’initiative, avec l’aide des parents, de trouver une école de tir pour gravir les échelons de Cadet et de Junior, et parfois leur parcours sportif s’arrête net à ce moment. Henri Ala et son équipe ont retravaillé la réglementation de ce challenge afin d’y inclure les Cadets et les Juniors qui ont continué leur parcours dans les compétitions fédérales couplées à celles des adultes. L’avantage de ce Challenge de la Coupe de l’Aude est triple. Il permet d’abord de combler un « trou » d’activité entre septembre et la rentrée d’avril-mai. Ensuite, tous les gosses du département apprennent à se connaître, ainsi que les parents, les initiateurs, les éducateurs et les présidents des écoles de tir.
Opposant cette  année les écoles de tir de Carcassonne, Castelnaudary, Port-La Nouvelle, Narbonne et Esperaza, la finale du Challenge de la Coupe des Jeunes de l’Aude s’est traditionnellement déroulée ce dimanche 18 mars à la Société de Tir de Port-La Nouvelle présidée par Henri Ala.
La victoire à dix mètres des écoles de tir de l'Aude
L’exposition fait la part belle aux armes à feu anciennes et de collection, mais aussi à celles et aux uniformes de deux dernières guerres, et les conversations du maire avec les exposants informant le public en vrais professionnels ont mis en lumière l’indispensable nécessité de perpétuer le devoir de mémoire. Beaucoup d’armes blanches anciennes exposées aussi, mais le maire s’est attardé à un stand vendant une grande collection de couteaux tactiques et régionaux de fabrication récente, accessibles à quiconque pour une dizaine d’euros : ces couteaux se situent dans une catégorie sans permis, « profitant » d’un flou juridique les plaçant au même niveau qu’un cutter, un tournevis ou un couteau de cuisine ; tous sont en vente libre, mais tous restent une arme dans des mains mal intentionnées.
Reportage William Barbier
Pour son président Henri Ala, rassembler une quarantaine d’exposants venant des 4 coins de la France, de Suisse et d’Espagne, et accueillir plus de 500 visiteurs sur la journée, n’est possible qu’en conjuguant  les efforts  de 30 bénévoles et l’implication de la municipalité, tant sur le plan financier, de la mise à disposition des bâtiments et du Service Technique, que de l’appui dans les compliqués méandres administratifs et réglementaires. Il ne faut pas perdre de vue qu’exposer des armes est un domaine très sensible qui requiert la confiance des pouvoirs locaux, publics et fédéraux. Le sérieux de la Société de Tir lui vaut d’accueillir la police municipale pour la validation des stages de tir, ainsi que la gendarmerie en formation continue dans l’optique de l’agrandissement du port.
Si arpenter au pas de charge le Salon de l’Agriculture à Paris est la vitrine incontournable des grands ténors de la politique pour rester sous les feux de l’actualité, c’est en toute décontraction qu’Henri Martin a visité ce dimanche au gymnase Jean Monnet la Bourse Militaria Collections, 14e édition organisée par la Société de Tir de Port-La Nouvelle.
Un impressionnant arsenal pour le plaisir des yeux

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