Les protocoles sanitaires en lien avec la crise du Covid-19 ont privé l’association ELA du traditionnel cross, activité sportive dans le cadre de la lutte contre la leucodystrophie avec le slogan « mets tes baskets et bats la maladie ». C’est donc par un vide-greniers que l’association NENA (Nos Enfants, Notre Avenir) présidée par Aurore Juhel a organisé ce 12 septembre un vide-greniers sur le parking du collège La Nadière de Port-La Nouvelle, en partenariat avec le Foyer Socio-Educatif, pour néanmoins récolter une recette en faveur de ELA ; une recette amputée de celle de la buvette, elle aussi supprimée pour respecter les gestes barrières. La solidarité n’est pas un vain mot au sein du collège car le stand de NENA était le fruit de fouilles de la part des professeurs et du personnel qui ont ainsi apporté d’importantes quantités d’objets plus utilisés par leurs enfants, les professeurs partis à la retraite ayant également répondu à l’appel. Si les conditions sanitaires le permettront, NENA compte récidiver le 10 octobre au même endroit avec un vide-greniers dont les fonds seront reversés au FSE du collège.
Reportage William Barbier
Pas de cross, pas de buvette, mais un grand vide-greniers
Après une période mouvementée, les Ateliers Théâtre Poucette ont repris cette semaine en suivant la réglementation sanitaire en vigueur. Vous pouvez toujours inscrire vos enfants au Théâtre de La Mer (entrée des artistes côté médiathèque, rue Jean Jaurès).
Ces ateliers sont ouverts à tous et encouragent les échanges avec d’autres disciplines artistiques : si vous hésitez un atelier d’essai est offert.
Pour cette traversée cuvée 2020, le panel hétéroclite des participants réunissait hommes et femmes, nageurs aguerris (comme Jacques Tuset spécialiste de la nage en eau libre, de la nage d’évasion et du Ice Swimming), une pépinière de champions de l’Olympic Narbonne Méditerranée Natation), des débutants, des compétiteurs, et les inévitables joyeux agitateurs (faire chavirer le kayak d’un sapeur-pompier par exemple). Comme dirait Pierre de Coubertin, le principal est de participer, mais comme il s’agit aussi d’une compétition, le chronométrage a été confié à des professionnels, chaque nageur ayant un bracelet qui était scanné à son arrivée. Ce fut la 40e édition de la traversée à la nage de la ville, la 3e sous la bannière de Novarems qui démontre une fois de plus sa détermination à faire revivre et à préserver les traditions, ayant aussi à son actif la rame traditionnelle et les joutes désormais nouvelloises.
Reportage William Barbier
Ce 15 août au port de plaisance, c’est David Holderbach, nageur sélectionné en équipe de France aux JO de Séoul (1988) et de Barcelone (1992), qui a donné le départ à 17 heures de la traversée à la nage de Port-La Nouvelle sur la distance de 2 400 mètres, un premier départ pour les « avec palmes », un second pour les « sans palmes ».
Tout comme la petite traversée sur 500 mètres réalisée une heure auparavant, « maintenir cette manifestation estampillée Terre Nouvelloise en pleine crise sanitaire a été le challenge réussi par une équipe soudée réunissant les pompiers nouvellois, la SNSM, l’association de Jet Ski, DiscoToon’s (Johan est devenu le nouveau Léon Zitrone pour commenter au micro l’arrivée des nageurs) et bien sûr les bénévoles de Novarems, les princes de la rame traditionnelle » précise Frédéric Cantié, maire-adjoint en charge des animations et ex-président de Novarems. Et de citer ses indéfectibles compagnons dans cette aventure : Guilhem Flores (co-organisateur de la traversée et sapeur-pompier professionnel à Narbonne), le lieutenant Fabien Nouguès (chef du SDIS de Port-La Nouvelle), et Thierry Estève (agent territorial à Narbonne). Précipiter 140 concurrents à la mer en 2018, 200 en 2019, et 215 cette année ne se fait pas sans le soutien de la Région, du Conseil Départemental (présence de Marie-Christine Théron-Chet), de la C.C.I., de la capitainerie, du maire Henri Martin et de ses conseillers municipaux (ces derniers étant aujourd’hui les collègues de Frédéric au sein du conseil municipal), sans oublier de nombreux sponsors.
Une tradition nouvelloise qui ne risque pas de tomber à l’eau
L’engagement du maire dans cette opération de dépistage massif a fait que l’ARS a fourni de très importantes quantités de matériel pour effectuer les deux tests : prélèvement par écouvillonnage du naso-pharynx (RT-PCR), et sérologique par prélèvement d’une goutte de sang au bout du doigt. Et comment ne pas se porter volontaire pour se faire dépister quand Henri Martin argumente par « à partir de la semaine prochaine, les tests à 15€ en pharmacie seront gratuits ! ». C’est ça, être positif ! Reportage William Barbier
Répondant au souhait du président de la République et du Premier Ministre, le maire a demandé à ce que sa ville soit un secteur expérimental pour que, quoiqu’il arrive, on ne revive pas six mois économiquement et psychologiquement pénibles sous forme de confinement généralisé. Conclusion, « l’activité économique doit cohabiter avec la lutte contre le virus, et à Port-La Nouvelle il y a beaucoup de grosses entreprises qui bossent » annonce le maire qui a demandé à ce que sa ville soit exemplaire au niveau du dépistage. Sur base du volontariat, tous les effectifs de Lavoye, de Camidi, de Bouygues Travaux Publics, de Super U, du casino et tous les salariés municipaux seront testés.
Au niveau municipal, le maire précise « il est primordial que les parents sachent que tout le personnel de la cantine à l’école présente toutes les garanties sanitaires pour leurs enfants ».
… mais au contraire une bonne chose qui permet d’être isolé en quatorzaine pendant que les autres, testés négatifs et rassurés, continuent à vivre normalement en étant encore plus rigoureux sur le respect des règles sanitaires. Pour Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle, c’est une forme de vérité qu’il faut regarder en face, il ne faut pas attendre qu’un foyer d’infection (cluster) se crée pour organiser le branle-bas de combat.
Etre testé positif au Covid-19 n’arrive pas qu'au autres…
La pollution des océans par les plastiques est un fléau mis en évidence par Patrick Deixonne quand il a navigué au milieu du « continent de plastique » à bord de sa goélette 7e Continent.
On peut parler de « continent flottant » car cette masse de déchets plastiques en plein Pacifique a une superficie de près de 2 millions de km², soit trois fois la France. Dans un reportage, une image choc de ces ravages sur la faune marine fut celle d’un pélican en décomposition sur une plage mettant à nu le contenu de son estomac plein de déchets de plastique parmi lesquels de nombreux bouchons de bouteilles.
Le président Pierre Papillaud, acteur majeur en France des eaux embouteillées, a voulu jouer un rôle majeur pour ne plus être associé à cette image d’horreur, et a créé le « bouchon attaché » qui reste fixé à la bouteille, impossible à perdre dans la nature, et donc d’être ingéré par les animaux marins et les oiseaux. Lire
Patrick Deixonne constate
« les mentalités évoluent dans le bon sens »
»« Il y a tout juste un an, faisant fi de ceux qui y voyaient un pari fou, Marylène Leuschner posait à Port-La Nouvelle la première pierre tombale d’un édifice, ô combien fragile au vu de la concurrence, qu’elle baptisa « Ecume Pompes Funèbres » (EPF). Clic > Lire + photos
Marylène n’est pas prête d’en faire son deuil
En effet, les citoyens pourraient s’étonner et émettre des critiques devant la prolifération des herbes sauvages dans les zones urbaines, notamment les rues. La raison de cet envahissement n’est pas du au fait que la ville n’utilise plus de produits phytosanitaires depuis 2018, mais depuis le début de l’année le contexte sanitaire est venu bouleverser et interrompre l’organisation des équipes municipales qui désherbent naturellement plus de 50 km de voies, créant un retard difficilement rattrapable sur de nombreuses zones à traiter. Un mois de février chaud suivi d’une pluviosité abondante a favorisé la repousse des végétaux. L’idée est donc venue de l’opération « Désherbons ensemble » qui consiste à demander aux habitants de désherber manuellement les quelques graminées sauvages qui poussent devant leur porte, à l’instar du déneigement de son trottoir dans d’autres villes. Il ne s’agirait pas de désherber dans le contexte d’une opération ponctuelle, mais de le faire spontanément, automatiquement, tout au long de l’année, de façon pérenne, une action collégiale qui requiert bien peu d’effort pour bien vivre à Port-La Nouvelle. Cette action s’applique aussi aux zones non urbaines, comme le secteur du Chemin des Vignes, où les propriétaires, y compris le camping, en plus de l’interdiction de faire du feu (barbecue), ont l’obligation de débroussailler dans leur propriété pour prévenir tout danger d’incendie. Avec l’action collégiale « Désherbons ensemble », ce débroussaillage est souhaité également le long de la route bordant leur propriété. La présentation de l’affiche de cette opération a eu lieu ce 11 juin en mairie par le « commando » qui veillera auprès des citoyens à les aider à mener à bien cette action : Aurélie Pons, David Monteil responsable des espaces verts et Thierry Grimal responsable de la voirie.
Pour les personnes ne pouvant se déplacer à la déchetterie pour les déchets verts, elles peuvent contacter les services techniques (04 68 40 30 54) qui organisent des collectes sous condition et sur rendez-vous.
Reportage William Barbier
L’expression « balayer devant sa porte » suppose que l’on s’occupe de ses propres affaires avant de critiquer les autres. Il se fait que dans le but de renforcer sa politique du cadre de vie et environnementale, la ville de Port-La Nouvelle et la nouvelle conseillère municipale Aurélie Pons, déléguée au cadre de vie et au développement durable, mettent sur pied une opération qui pourrait s’intituler « désherber devant sa porte ».
« Désherbons ensemble », une invitation au bien vivre dans la ville
»« Il y a tout juste un an, faisant fi de ceux qui y voyaient un pari fou, Marylène Leuschner posait à Port-La Nouvelle la première pierre tombale d’un édifice, ô combien fragile au vu de la concurrence, qu’elle baptisa « Ecume Pompes Funèbres » (EPF). Clic > Lire + photos
Marylène n’est pas prête d’en faire son deuil
L’expression « balayer devant sa porte » suppose que l’on s’occupe de ses propres affaires avant de critiquer les autres. Il se fait que dans le but de renforcer sa politique du cadre de vie et environnementale, la ville de Port-La Nouvelle et la nouvelle conseillère municipale Aurélie Pons, déléguée au cadre de vie et au développement durable, mettent sur pied une opération qui pourrait s’intituler « désherber devant sa porte ».
« Désherbons ensemble », une invitation au bien vivre dans la ville
Olivier Bonhomme, responsable des services techniques de la ville, veille au calibrage des appareils et à la maintenance des capteurs. Les 4 radars pédagogiques installés à ce jour servent aussi à établir des statistiques en collectant des données comme la moyenne horaire de passage de voitures, par date, incluant le nombre de « délits » par dépassements de la vitesse maximale autorisée permettant aux forces de l’ordre d’organiser des contrôles et de réprimer les comportements à risque.
Reportage William Barbier
Il y a 10 ans, le premier radar pédagogique était installé Avenue de la Mer à Port-La Nouvelle. Cet instrument de haute précision a vocation à informer les automobilistes sur leur respect de la limitation de vitesse imposée et, le cas échéant, à les inciter à lever le pied. Cette pédagogie n’est malheureusement pas toujours comprise, certains inconscients utilisant ces radars pour améliorer leur dernier record de vitesse à cet endroit.
Le radar de l’Avenue de la Mer a été déplacé ce 11 juin vers le quai du port, endroit où se concentrent plus de commerces et d’aires de stationnement. Le déplacement de ce radar fait suite à une réflexion menée sur les problématiques routières par Emeline Martin, conseillère municipale déléguée à la qualité de la vie et à la sécurité routière, et Serge Malosse, chef de la Police Municipale, et contribue à faire respecter les engagements du maire Henri Martin en matière de sécurité. Cette première action vient compléter les nombreuses autres proposées par l’équipe municipale depuis plusieurs années, comme les travaux de sécurisation de la voirie et les campagnes pédagogiques d’éducation routière auprès des jeunes (permis piéton, distribution de casques aux élèves de CP, financement du Brevet de Sécurité Routière BSR pour les 14-16 ans, …) qui ont valu à la ville d’obtenir en 2013 le label Echarpe d’Or de la prévention Routière.
Le radar pédagogique pour prévenir, voire guérir
Le dimensionnement de la grande salle du conseil de la mairie de Port-La Nouvelle a permis ce 25 mai 2020 de mettre en œuvre les mesures particulières de distanciation physique et de gestes barrières entre les élus convoqués pour l’installation du conseil municipal, tout en permettant l’accès à un public restreint. Doyenne d’Age de l’assemblée, Jeanne-Maryse Ségui est montée sur l’estrade en qualité de présidente pour procéder à l’élection du maire dans les conditions des articles du Code Général des Collectivités Territoriales. Clic> Lire et 15 photos
Port-La Nouvelle a « à nouveau » son maire pour six années
De l’autre côté de la planète, à Port-La Nouvelle, il appartenait ce 8 juin 2020 à Jeanne-Maryse Ségui, 1ère adjointe au maire Henri Martin, de procéder à une cérémonie restreinte pour cause de pandémie dans le cadre de la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine. Pas besoin de micro pour lire le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées, son public se limitant à trois présidents d’associations patriotiques, Josiane Eychenne (Souvenir français de Port-La Nouvelle), Henri Palazon (FNACA), et Jean-Bernard De Block (Médaillés militaires et AACCM). Le devoir de mémoire fut ainsi respecté, et « cette guerre nous oblige enfin à reconnaître la chance unique qu’a la France de pouvoir compter, génération après génération, sur des hommes et des femmes prêts à sacrifier leur vie pour ses valeurs et ses citoyens » (Edouard Philippe, premier ministre, le 8 juin 2019 lors de l’hommage officiel à tous les combattants d’Indochine dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides).
Reportage William Barbier
Au cours de géographie, les élèves apprennent que l’Indochine est une péninsule du continent asiatique incluant la Birmanie, le Cambodge, le Laos, une partie de la Malaisie, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam. Le professeur d’histoire, lui, parlera de l’ancienne colonie de l’Indochine française qui comprenait le Laos, le Cambodge et le Vietnam, et de la terrible guerre d’Indochine (1946-1954).
Il relatera l’épisode de l’automne 1950 où 5000 soldats français ont été tués, blessés ou faits prisonniers en luttant pendant plus de quinze jours dans la jungle aux prises avec l’Armée populaire vietnamienne. Trois mille prisonniers ont connu l’enfer de marches interminables, de la captivité dans les camps, et pour beaucoup la mort loin de chez eux.
Indochine, combattre pour les couleurs de la France à l’autre bout du monde
La station de Port-La nouvelle ( Aude ) vous tend les bras, avec du soleil, une plage de 13 km de sable fin surveillée par 4 postes (CRS ). Location type T2 avec tout le confort. La mer est à 100m et vous pouvez vous y rendre à pieds. Votre voiture peut être garée devant votre location et en ville tous les parkings sont gratuits. L
- Côté médical une maison médicale avec 7 docteurs qui fonctionne tous les jours sauf le dimanche et aussi 3 pharmacies .
- De nombreux marchés en plage en semaine mais aussi au village et même un marché nocturne le mercredi soir.
- Tous les soirs animations musicales en front de mer sur une grande place et ce front de mer devient piéton tous les samedis devant les restaurants et hôtels .
- Possibilités de promenades en mer , balades dans la nature dans l’île de St Lucie etc…..
Enfin Port La Nouvelle est situé à 25 km de Narbonne , 32 km de Perpignan , 75km de Carcassonne et 80 km de la frontière espagnole
S’adresser à Monsieur SALAS Christian par téléphone 06/12/09/01/61 ou par mail salaschristian01@gmail.com
POUR PASSER VOS VACANCES EN FRANCE !!!
Résultats des élections municipales 2020 ‑ Port-la-Nouvelle
Le premier tour des élections de Port-la-Nouvelle (11) a démarqué Henri Martin (87,21 % des voix) et a permis d'attribuer les 29 sièges du conseil municipal. Le maire qui sera choisi se trouve parmi ces nouveaux membres. Ayant 87,21 % des votes, Henri Martin arrive en tête à l'issue de ce premier tour dans la ville de Port-la-Nouvelle. Il mène la liste de la Droite. La campagne de Charles Rechagneux (Rassemblement National Nouvellois) l'a mené à la deuxième place, avec un score de 12,78 %. Les récentes dispositions mises en place par le gouvernement, sur le coronavirus, ont pu influencer la participation assez faible à Port-la-Nouvelle (49,66 %).
« Le confinement quand on est retraitée de l' Education Nationale, est sans doute moins violent que lorsqu'on est en activité professionnelle, on a appris à prendre son temps même si, comme beaucoup de retraités, on se trouve parfois surbooké précise Reine Cazanave.
Une grande maison entourée d'un jardin, .de quoi occuper ses journées surtout au printemps, quand il faut parler aux fleurs pour les encourager à s'épanouir. La lecture et la relecture de livres, une activité qui permet de s'échapper un peu de la sur information à propos du Coronavirus. Séance de gym quotidienne grâce aux vidéos de notre amie et prof Karin. Avec WhatsApp,.échanges avec la famille et avec nos amis du Burkina Faso qui s'inquiètent pour nous, pour notre santé. Petits moments d'évasion lors des marches règlementaires autour de chez soi, on découvre des rues et des ruelles jusque là non fréquentées. Le confinement force à l'adaptation dans la vie associative. Nous avons inauguré les vidéos réunions dans le cadre du Choeur de L'Aude, plus de répétitions, plus de concerts pour le moment, il faut refaire un calendrier pour plus tard. Le Requiem de Fauré, œuvre travaillée cette année attendra un peu avant d'être chanté en public, mais nous devons continuer à le travailler chez soi. Le confinement, c'est aussi le temps des belles rencontres .à distance, moi dans le jardin et deux dames passant dans la rue et me demandant le nom d'une plante et, comme on a le temps, la conversation s'engage, deux personnes qui habitent au bout de la rue, eux « chercheuses » à l'INSERM que je n'avais jamais rencontrées jusque là, un beau moment . Mais le confinement ; c'est aussi des « manques », en particulier les petits enfants, les bisous au téléphone ce ne sont pas des VRAIS bisous!!!ce sera le premier déplacement après le déconfinement. Vivement l'été pour retrouver tous ses amis.,en vrai . »
« Étant donné mon grand âge et mes difficultés a marcher, je vivais déjà avant la crise , une certaine forme de confinement » précise Pauline Planés qui fut présidente de l'Association Peuples solidaires durant 14 ans avant de laisser la place à Reine Casanave en 2016. « Me manquent les rires de mes petits-enfants, les visites de ma famille, les bruits de la rue, les échanges entre voisins. Mes journée varient en fonction des appels téléphoniques et des programmes télé. Pour le jour d’après, je souhaite que le monde se souvienne de cette période de partage et d’entraide et mène une réflexion avancée sur l’avenir de notre planète et de notre société. »
Comment Reine et Pauline vivent le confinement !…
Conformément au décret 2020-260 du 16 mars 2020 portant réglementation des déplacements dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus COVID-19, les activités maritimes et littorales de plaisance et de loisirs nautiques sont interdites en mer pendant la période de confinement. Ces dispositions ont vocation à lutter activement contre la propagation du virus COVID-19 en restreignant tous les déplacements. Elles permettent également de préserver tous les moyens de secours en mer. Il est demandé à tous les plaisanciers et pêcheurs plaisanciers de respecter strictement cette interdiction et de la relayer auprès de tous les usagers de la mer. Les contrevenants s’exposent aux sanctions prévues par le décret.La FNPP invite tous les usagers et tous les amoureux de la mer à faire preuve du plus grand civisme et à respecter rigoureusement les mesures mises en place. Ensemble, tous ensemble, contribuons à lutter contre les graves risques sanitaires liés au COVID-19.
Communiqué de La Fédération Nationale de de la plaisance et des pêches en mer COVID-19 Interdiction des activités nautiques…
Le Centre Hospitalier Francis Vals de Port La Nouvelle communique
« En raison du contexte actuel d’épidémie COVID-19 liée au coronavirus, et conformément aux recommandations du Ministère de la Santé, le Centre HospitalierFrancis Vals de Port La Nouvelle informe les proches des patients et résidents qu’à compter du vendredi 13 mars 2020 et jusqu’à nouvel ordre, les visites sont temporairement suspendues. Cette mesure est nécessaire au regard des dernières données épidémiologiquesà jour, afin de ralentir la propagation de l’épidémie et de protéger les personnes les plus vulnérables. L’application de cette mesure de suspension des visites sera maintenue le temps nécessaire mais a vocation à s’interrompre en cas d’amélioration de lasituation.
Le Centre Hospitalier tient à assurer que l’ensemble des personnels est mobilisé afin d’assurer la sécurité et le bien-être des patients et nous mettronstout en œuvre pour trouver des dispositions pour maintenir le contact entre les résidents et leurs proches.
Nous comptons sur la compréhension de tous et vous en remercions. »
Thierry HUC Attaché d’Administration Hospitalière
Le final, La Grande Danse (Qi-gong), n’annonce pas la fin du spectacle. Jusqu’alors très concentrées sur leurs mouvements, les artistes laissent éclater leur joie en troquant leurs costumes pour un training de sport afin d’offrir un grand « au revoir face à vous » à un public qui s’est fait une idée très précise de ce qu’est la zen-attitude.
Reportage William Barbier
Une projection d’images d’une intense féerie en fond de scène, un éclairage jonglant avec le noir & blanc et les couleurs, des écrans de fumée ajoutant au mystère et des chorégraphies mêlant tour à tour rapidité et lenteur avec ou sans armes, furent les supports des face à face avec le public : Rose des Vents aux 4 dimensions, les 5 éléments et leurs animaux, les éventails aux couleurs des fleurs, les rayons de soleil traversent les ombrelles Bagua, l’éclosion de la fleur de lotus, les bâtons naviguent sur les flots, l’Art Danse avec l’Art du dragon (un Taï-chi-chuan explosif), hope (la vie imite l’Art bien plus que l’Art n’imite la vie).
La magie débute par une forme à mains nues de Taï-chi-chuan, boxe du faîte suprême où les artistes se retrouvent face à leur ombre. Les tableaux suivants sont d’autant de face à face qu’il y a de disciplines présentées : Qi-gong, Taï-chi-chuan, Pilates, Art Danse.
« La sérénité, c’est l’acceptation de soi-même et de ce qui est » est le message qu’a transmis Sandra Chaspoul au travers de son association L’Art des Mouvements lors de son spectacle artistique « Face à Face » au Théâtre de la Mer ce 7 mars 2020.
A méditer peut-être, à appliquer sûrement
Bien intégrée par les curieux de tous horizons cette vingtième Bourse aux livres a fait le plein d'acheteurs, de promeneurs et badauds dimanche dernier, souvent en famille. Il faut dire que tous les étals qui envahissaient toute la salle « Jacques Brel » débordaient d’œuvres hétéroclites qui ont fait le bonheur de ces chalands venus avant même l'ouverture des portes pour certains. Une palette de bouquins à des prix défiants toute concurrence, avec des livres de qualité. BD, livres pour les jeunes, policiers, romans en tous genres, beaucoup de nouveautés, des trésors de littérature, des autobiographies , Histoire, Géographie, Politique, cuisine etc.... Les amateurs de lecture s'en sont donnés à cœur joie repartant avec des sacs chargés de leurs choix. De quoi remplir des heures, de semaines voire des mois pour leurs loisirs préférés et se distraire sainement cet été.
Bruno Sancho président 2019/ 2020 du Rotary club service nouvellois est satisfait de cette édition de cette manifestation devenue pérenne
« Les bénéfices seront réservés cette fois aux Restos du cœur pour leur prochaine soirée du 28 mars, ainsi que pour organiser la Journée découverte des jeunes handicapés du canton. Les livres proviennent des Rotariens, des dons de particuliers généreux qui s'investissent toujours nombreux pour notre action. Nous avons vendu 914 livres pour un total de 1525 €, auxquels il faut ajouter un chèque de 200€ offert pour notre Bourse aux livres par l'entreprise d'Alain Porterie. Nous remercions vivement tous ces généreux et nombreux donateurs, et en particulier l'entreprise de déménagement Martinez, de Narbonne, pour le don de cartons, bien utiles, pour entreposer les livres.»
Monique landry, photos William Barbier
Les fonds récoltés seront une aide pour les Restos du cœur et les handicapés du canton
La 20e Bourse aux livres du Rotary club a fait le plein
Fraîchement sortis du four, les bâtards, pains de mie et viennoiseries du char de carnaval de Port-La Nouvelle ont fièrement défilé à Narbonne ce 23 février, pour le plus grand plaisir du public applaudissant le cortège sur le trajet allant de la rue de la Parerie jusqu’aux Barques à proximité de la place de l’Hôtel de Ville. Parmi les 10 chars composant le cortège, celui de Port-La Nouvelle, escorté par son indéfectible équipe d’une trentaine de Nouvellois, a expérimenté avec succès un savant mélange de confettis et de farine pour confirmer si besoin était qu’il représentait le métier de boulanger. Initiative saluée par le maire Henri Martin venu assister avec son épouse au départ du carnaval. Plus de 2 000 personnes ont pu pendant deux heures admirer l’ingéniosité déployée pour réaliser tous les chars dans une méga-ambiance musicale assurée par les bandas et les batucadas. La « boulangerie » a repris le chemin de Port-La Nouvelle pour être fin prête pour le carnaval du 8 mars au départ du gymnase Jean Monnet dès 15 heures. Parmi les nombreux chars, on pourra compter sur celui du Roi et de la Reine de Narbonne avec bien entendu la présence de la reine entourée des ses deux dauphines, tout en soulignant la participation et l’appréciable aide de l’association Narbonne en Fête.
Reportage Christian Salas
Carnaval: «Après Narbonne, le char met le cap sur Port-La Nouvelle»
Cette tradition ramène aux racines et aux origines qui n’ont jamais été perdues de vue. Dans la plus innovante des décisions et des projets, il faut quand même garder les pieds sur terre et se souvenir de là où l’on vient. Le thème du carnaval de cette année est « le roi des métiers », et tout naturellement Christian, qui part bientôt à la retraite et manage donc son dernier char, a pensé mettre en avant les employés municipaux. Ce métier étant largement documenté par les Chevaliers du Fiel, l’idée a été écartée car cela supposait le port du gilet jaune et une consommation importante de Ricard. Ce fut donc le métier de boulanger qui fut plébiscité
Tradition tombée en désuétude pendant des décennies, cela fait maintenant 12 années que Christian Salas, maire adjoint en charge des animations de Port-La Nouvelle, fait revivre le carnaval en faisant construire un char sur une remorque exclusivement dédiée à cet effet. Il a réussi à générer un élan de bonnes idées en fédérant de nombreuses personnes qui, en plus de leur profession ou à la retraite, ont assuré dans une ambiance de solide amitié et de franches rigolades la pérennité du carnaval.
L’équipe a donc réalisé en six semaines une boulangerie plus vraie que nature, avec un four allumé (par des LED), et des étals de pains confectionnés par la boulangerie Debachy. Henri-Marie Dat s’est approprié le grand panneau à l’arrière du char pour peindre la scène culte de « la femme du boulanger » de Marcel Pagnol où la chatte Pomponnette en prend largement pour son grade. Marc Bazin a montré l’étendue de son talent sur les flancs du char. Le jour du carnaval à Narbonne, à Port-La Nouvelle et à Sigean, deux boulangères et un boulanger seront au fournil, et plutôt que de lancer des croissants dans la foule, ce seront des confiseries offertes par Super U. Un autre sponsor important est le Casino de Port-La Nouvelle qui offre le repas à la reine et aux dauphines qui ont été élues à Narbonne. Le super-char de Christian n’est pas la fin d’une belle histoire, il a transmis à ceux qui vont venir de bonnes habitudes dans la démarche d’aller vers autrui, un comportement solaire qui fait qu’il fait bon vivre à Port-La Nouvelle.
Le char Nouvellois fera sa première sortie au carnaval de Narbonne le dimanche 23 février à 15h et à Port-La Nouvelle le 8 mars avec les Miss bien sûr .
Reportage William Barbier
Le dernier char de Christian au Carnaval de Narbonne le 23 février
Au top départ du photographe les attendant « au large », c’est à qui éclaboussera le plus que l’assaut vers les grands fonds démarre en trombe.
Avec un moral bien « trempé », les givrés s’échangent leurs meilleurs vœux aquatiques en se promettant de se revoir, même date, même heure, même lieu, dans 365 jours, fidèles au principe du rendez-vous à points.
Reportage William Barbier, Georges Baradat et Siegfried Cires
Les « vrais » ours polaires, moins nombreux, sont prêts à plonger, quelque peu déçus quand même par un soleil radieux sans vent et une eau à 13°C, réchauffement climatique oblige.
Comme à l’accoutumée à Port-La Nouvelle, cette tradition rassemble beaucoup de courageux… amassés sur le bord de la plage, emmitouflés comme des Inuits sur la banquise, prêts à immortaliser ce moment sur leurs smartphones.
Cri de ralliement de tous ceux qui ont opté d’éliminer les dernières brumes des excès gastronomiques de la veille (et donc du jour-même) en se jetant à l’eau le 1er janvier au matin.
Givré, j’y vais !!!
Les sauveteurs de la vedette 133 regardent le cortège s’éloigner, larguent les amarres, remontent les pare-battages, et le capitaine consigne dans son journal de bord la réussite de cette périlleuse mission.
Reportage en bateau William Barbier. A terre Monique Bilaude
Se postant à la proue du bateau, le Père Noël découvre et salue à grands gestes la foule compacte prête à l’escorter, une fois à terre et ayant pris place dans sa calèche, jusqu’à la Forêt Enchantée pour prendre possession de sa boîte aux lettres qui déborde de lettres d’enfants.
Il faut croire que cela avait convaincu le Père Noël dont l’image apparaît soudainement sur l’écran depuis la caméra filmant le pont arrière du bateau. Etant au fait des nouvelles technologies, le nouveau passager transmet les coordonnées longitude et latitude du ponton M du port de plaisance au capitaine, et envoie depuis son smartphone un texto à Christian Salas qui l’attend sur les quais.
Ce 24 décembre, la vedette attendait le Père Noël à la sortie du port, à hauteur du phare, le capitaine faisant un dernier check-up des transformations apportées au navire : une carène entièrement refaite, changement de toute l’électronique (nouveau poste de pilotage, deux écrans cartographiques reliées entre eux, GPS, écran tactile avec les fonctions indispensables (caméra à infrarouge pour les sauvetages de nuit, radar, caméra de la salle des machines, …) et deux moteurs flambant neufs de 370 CV chacun avec 30 heures de marche au compteur
L’année passée, le Père Noël avait émis quelques réserves, voire des critiques, quant à l’état de la vedette 133 de la SNSM de Port-La Nouvelle. Le message a été reçu 5 sur 5 en haut-lieu qui voulait que le Père Noël se sente en sécurité quand il vient à la rencontre des enfants par la mer. Paris, la Région, un généreux mécène et la tirelire de la SNSM ont pu réunir le budget pour remettre la vedette à neuf.
Le Père Noël a le pied marin
Pas de Noël sans surprise, et tous les élèves trompettistes du 3e cycle du conservatoire de Perpignan ont offert une prestation qui a fortement impressionné le public. La fin du concert fut saluée par une ovation debout qui a fait oublier un instant que le spectacle se déroulait dans une église, les abbés et les membres de la paroisse appréciant probablement à sa juste valeur l’attachement des ouailles à l’excellence musicale. Il serait malhonnête de taire que la réussite de cet événement musical est due à une entente parfaite entre Roger Rigall (conseiller communautaire de la Communauté urbaine Perpignan-Méditerranée et maire de Llupia), Jean-Marc Fasula (président de l’association Epta Tonic de Perpignan et producteur de spectacles) et Monseigneur André Planet (évêque de Carcassonne et de Narbonne).
Reportage William Barbier
Cette puissante artillerie de cordes et de cuivres accompagne pour la 4e fois consécutive la soprano Laurane Oliva pour le concert de prestige que le maire Henri Martin et son adjoint aux animations Christian Salas donnent à la population en ouverture des festivités de Noël. Dans les « Eclats symphoniques de Noël » la baguette de Daniel Tosi et la puissante voix de Lauranne Oliva ont rythmé des œuvres de Georges Bizet (La Marche du Roi et des extraits des suites n°1 et 2), de Joseph Haydn (extraits de la création de l’Oratorio), et de Franz Schubert (extraits de Stabat Mater).
Ce 20 décembre 2019, quand Jean-Claude Schepers, membre de la communauté de Notre Dame de Bon Voyage de Port-La Nouvelle, a vu son église se remplir de monde, il s’est dit que la sonorisation sera excellente pour le concert de Noël car « chaque personne absorbe une partie de l’écho ». Les meilleures conditions de travail sont dès lors réunies pour le chef d’orchestre Daniel Tosi, directeur du Conservatoire à Rayonnement Régional Perpignan Méditerranée, qui prend possession des lieux avec ses 34 musiciens et 8 trompettistes.
Eclats symphoniques en prélude à Noël
Comme chaque année, en période des fêtes, l’amicale des Sapeurs - Pompiers Nouvellois présente leur calendrier à la municipalté
Cette présentation marque le lancement de leur campagne de distribution dans les foyers nouvellois.
Le Maire Henri MARTIN a encouragé cette initiative et leur a présenté ses meilleurs vœux de réussite dans leurs démarches.
Les pompiers commencent ce vendredi 29 novembre en soirèe le tour de la ville et finiront la campagne fin décembre.
Le ticket « reçu », agrafé au calendrier, servira pour la tombola qui sera tirée fin décembre (certainement lors du loto des sapeurs-pompiers (date à confirmer).
Photo; Le Maire Henri MARTIN, entouré de Fabien NOUGUES, Chef de centre Marie-Lyne BOUDEREAUX, Présidente de l’amicale des sapeurs pompiers nouvellois Et les amicalistes
Présentation du calendrier des sapeurs-pompiers nouvellois
Pour rappel, la pétanque en salle se pratique avec des boules souples avec une enveloppe externe en PVC souple de 4 mm, remplie de microbilles en acier, d’un poids identique aux « vraies » (680 g). Que les amateurs désirant participer à ce championnat et n’ayant pas encore reçu du Père Noël la mallette de 6 de ces boules se rassurent, Didi en a en réserve pour suffisamment de monde. Ne pas attendre le 31 décembre au soir pour prendre de bonnes résolutions pour l’année à venir, c’est dès maintenant qu’il faut s’inscrire en allant retirer les formulaires au service Etat Civil de la mairie, date limite des inscriptions le vendredi 3 janvier 2020. Dans l’agenda, deux dates au gymnase sont à inscrire au marqueur indélébile : le lundi 6 janvier 2020 à 18 heures pour le tirage au sort des poules, et le lundi 13 janvier 2020 pour le début des hostilités en triplettes. Que les dames n’oublient pas qu’il y a un championnat dans le championnat, celui de la coupe féminine, rien n’empêchant de remporter en plus celle de la finale. Les arbitres Ange Macia et Jeannot Navarro sont déjà réquisitionnés, de même que Patrice Ménard, Christian Salas et Eric Tréséné pour la remise des trophées. Le budget de la municipalité ignore l’inflation pour cet événement, le montant à débourser pour s’inscrire et participer à ce championnat reste inchangé, c’est gratuit.
Il fait un temps à ne pas mettre une mouette dehors. Comme la grande salle du gymnase Jean Monnet est chauffée, Didi, responsable du Service Municipal des Sports de Port-La Nouvelle, remet dès à présent sur le métier le championnat communal de pétanque en salle qui démarrera le 13 janvier 2020.
Les boules souples de Didi reprennent du service
Il est grand temps de vérifier les circuits électriques des guirlandes et autres spots LED car le Service Animations de Port-La Nouvelle a refait le plein de cadeaux pour les lauréats du grand concours annuel des illuminations de Noël. Les candidats inspirés, « illuminés » donc, opteront pour l’une des deux catégories : les maisons illuminées (toit, façade, fenêtres, jardin) ou les balcons illuminés. Indispensable pour le jury qui se déplacera le soir dans l’obscurité entre le 20 et le 30 décembre, les décorations des jardins, balcons et fenêtres devront être visibles depuis la rue.
Envie de vous brancher ? Les inscriptions sont ouvertes dès à présent, et ce jusqu’au 15 décembre, soit en vous rendant au Service Animations au 1484 avenue de la Mer, soit en téléphonant au 04 68 48 06 86, soit par mail à l’adresse salaschristian@orange.fr. Les prix seront remis en main propre aux lauréats courant janvier 2020 lors d’une réception au service animations.
Appel aux illuminés de Port-La Nouvelle
Le Président PUYEO a souligné dans ses propos, que la générosité de chacun peut sauver nos proches.
« Les dons sont utilisés pour l’ensemble de nos actions de lutte le plus souvent près de chez vous, vous contribuez à 3 missions pour une prise en charge globale de la maladie. Chercher pour guérir. Accompagner pour aider Prévenir pour protéger » Chaque donateur sera destinataire d’un reçu libératoire du montant de leur don.
Pour tout renseignement: Ecole de danse " Compagnie CYRIAC " 06 86 93 90 28 / 06 80 22 95 17: compagniecyriac@orange.fr
Chaque année, la campagne Octobre rose permet de sensibiliser le grand public sur un problème de santé public majeur : le cancer du sein. Un mois de sensibilisation au cancer du sein, soutenu par des associations. Armelle, Professeur de danse, associée à ce dispositif, s’est mise à disposition, durant ce mois, à Port-la Nouvelle, Salle du FORUM, et à NARBONNE (Léo Lagrange) une urne, était mise à disposition des élèves dans tous les cours. C’est sous le Nom de « Rose Pilates »,Gym après Cancer, qu’Armelle (certifiée PILATES), dispense ces classes de Pilates Spécifiques
Le Rose Pilates s’inspire totalement du Pilates (déjà enseigné par Armelle) pour combattre précisément les déficits qui peuvent exister à cause des différents traitements du cancer du sein et se fixe des objectifs : Agir sur le corps dans sa globalité, Faire agir en parallèle le corps et l’esprit/effort de concentration.
C’est avec bonheur que le Président de La Ligue contre le cancer, comité de l’Aude, le Docteur Jacques PUYEO, a reçu le Président de la Compagnie Cyriac chargé de lui remettre la totalité des dons récoltés à cette occasion.
OCTOBRE ROSE : L’Ecole de Danse & de bien-être Compagnie Cyriac
Clôture son action « ROSE PILATES »
Plus de 30 participants (dont l’Agachon club de Sigean) ont ainsi été sensibilisés à la fragilité du milieu marin et à la richesse, souvent non perçue par le grand public, de la laisse de mer.
De nombreux restes de coquillages, algues, … ont été récoltés sur la plage puis examinés de plus prés par tous les participants ;
Un diaporama a ensuite été présenté pour mieux comprendre les enjeux liés à la préservation de la laisse de mer. Nathalie Vialade, instructeur en biologie marine, a délivré une information aussi complète qu’accessible à tous, y compris aux enfants présents.
Cette animation municipale a été réalisée dans le cadre de la labellisation Pavillon Bleu détenue par la commune depuis de nombreuses années.
Claude Roquelaure, Directeur Général adjoint de la commune, qui a initié cette action, a noté le succès de cette opération qui de ce fait sera très certainement reconduite l’an prochain, en souhaitant une météo aussi agréable que lors de cette journée.
La ville de Port-la nouvelle a organisé une journée de découverte « laisses de mer », gratuite et ouverte à tous, sur les plages du front de mer et de la Vieille Nouvelle le samedi 16 novembre en partenariat avec le club de plongée sous-marine Nouvelle Vague.
ANIMATION « DECOUVERTE DE LA LAISSE DE MER » – Samedi 16 nov. 2019
Pour donner le ton, les Pinces à linge ont ouvert les hostilités avec un répertoire ne laissant aucun doute sur leur penchant prononcé pour les plaisirs de la chair couplés à une grossière sensualité en paroles. Il n’en fallait pas plus pour qu’Alain Coquin’s déboule dans la salle dans un déguisement laissant augurer le pire. « Quand j’ai entendu les chansons du début, j’ai senti que j’allais me lâcher ! » et il trouve rapidement ses victimes parmi les spectateurs : « Oh, une blonde, il faut que je parle lentement », « Tiens, un puceau, on va se le faire », « Cette coiffure, c’est un écureuil ? », « T’as fait la racine de tes cheveux, oui mais il y a quatre ans »,
Photo: Michèle Ferval, le maire Henri Martin, le président du don du sang nouvellois Christaian Jourdan, Yvette Salas et Monique Bilaude
Que le premier calendrier 2020, édité par le Don du Sang Nouvellois soit remis par son président Christian Jourdan à son principal et fidèle supporter est un événement incontournable. C’est donc ce 5 novembre, en compagnie de ses bénévoles Michèle Ferval, Yvette Salas et Monique Bilaude, qu’il a remis officiellement le calendrier au maire Henri Martin qui apporte son aide tant financière que logistique.
Ce fut aussi l’occasion de faire un bilan des collectes de sang sur l’année 2019 (il y en a encore une en décembre) suite aux drastiques restrictions opérées sur les collectes d’été.
En effet, en 2018, une dizaine de collectes d’été furent organisées, s’étalant chaque fois sur deux jours, alors que seules trois collectes d’été d’une seule journée furent « autorisées » en 2019. Malgré cela, « on a fait un bon été » essentiellement par la mise à disposition par la mairie du grand podium du front de mer.
Faire encore mieux, ou au moins autant, en 2020 dépendra de ce qui sera davantage mis en cause ou supprimé en haut lieu.
L’encre n’a pas fini de couler au sujet du pire qui est à craindre, alors que c’est de sang dont on a besoin, précise le Président
L’Amicale Nouvelloise se fait un sang d’encre pour garder le cap
Photos: 1 Philippe Proia. 2 Christian Mathonneau, Henri Martin, Martial Verschaeve.3 Signature de la convention par Christian Mathonneau.4 Signature de la convention par Henri Martin. 5 Partenaires pour défendre les Nouvellois
La vocation de l’association UFC-Que Choisir de l’Aude est de représenter et de défendre les intérêts des consommateurs, le bilan du traitement de plus de 12 000 dossiers de ces 3 dernières années présente un taux de 80% dans un cadre de conciliation permettant de récupérer plus de 2 000 000 €. Afin de contribuer à la protection de ses citoyens isolés face aux professionnels, Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle, a réuni ce 24 octobre à la mairie Christian Mathonneau et Martial Verschaeve, respectivement président et vice-président de UFC-Que Choisir Aude (et administrateur national), et Philippe Proia, apporteur d’un projet de convention de partenariat entre Port-La Nouvelle et UFC-Que Choisir de l’Aude. Henri Martin a signé cette convention par laquelle sa commune s’engage à réceptionner et à numériser les dossiers de litige de ses citoyens en situation d’isolement et à les transmettre à UFC-Que Choisir. > Lire la suite
Qu’il soit social, technologique ou géographique, l’isolement va parfois de pair avec la disparition de certains services publics et de moyens d’informations « palpables » (journaux locaux, affiches). Les premières victimes, parmi lesquelles les personnes âgées, sont celles ne disposant pas de moyens de communication numérique et sont donc des consommateurs vulnérables face à des litiges commerciaux engendrés par des professionnels de la vie économique (distributeurs, fabricants, commerçants, artisans, syndics de copropriété, …).
Elle est italienne, elle vit et travaille sur les collines de Asti en pleine nature, en adéquation totale avec ses aspirations et sa peinture. Au travers de ses nombreux voyages, elle va se nourrir des couleurs et de la culture de chaque pays pour en garder une empreinte qui va la suivre tout au long de ses créations artistiques. Les matériaux qui composent ses toiles elle les aura glanés dans la nature ou chinés dans ses nombreuses pérégrinations tout au long de ses déplacements sur la planète.
Les toiles sans frontière de Gisella Penna jusqu’au 2 novembre à Broncy
Elle va composer ses œuvres dans une énergie primitive mais avec un élan vital à travers la stratification des tissus peints, rapiécés, récupérés afin de créer une empreinte et un relief suffisant pour la création de sa toile. Les formes, les couleurs, la fantaisie, un certain humour donnent à ses œuvres cette impression d'être tout à coup happé vers un autre ailleurs. La technique utilisée est une nouvelle liberté pour les dimensions, établie par des supports en tissus qui ne sont pas limités par une structure en bois (toile classique). Sur un fond peint avec les couleurs acryliques, des morceaux de tissus recyclés (lin, vieux coton, chanvre, velours) déchirés, coupés, fendus, sont assemblés selon le rythme de la composition pour donner du relief, cousus et peints en plusieurs stratifications. Le vernissage de ce 11 octobre a été suivi du concert de « Carmela’s project ». Carmela Marie, la chanteuse franco-espagnole, et ses trois musiciens forment le Carmela’s Project. La formation qui a vu le jour en février 2012 est composée de Philippe Cauchi- Pomponi, pianiste compositeur, Lionel Martinez, drums- percussionniste, et Jean-Philippe Jalby, contrebassiste et guitariste. Ensemble ils parcourent le répertoire spanish jazz dans un style très dépouillé, intimiste, sensuel et suave où les nuances et l’écoute entre chaque musicien priment. Le Carmela’s Project voyage dans l’univers incontournable des grands auteurs compositeurs afro et latino-américains, avec les célébrissimes « Besame mucho », « Quizás, quizás, quizás », « Veinte años » ou encore « Caravan » que le souffle de la voix chaude et puissante de Carmela Marie réinvente.
Reportage Dominique André
Deux petites conditions à remplir pour être acteur de la fête de l’An 9 ce samedi 7 septembre sur la place Léon Blum à Port-La Nouvelle. La première, très simple, il suffit d’être né, en précisant tout de même que ce soit en 1919, 1929, 1939, 1949, 1959, 1969, 1979, 1989, 1999, 2009 et au plus tard le 7 septembre 2019.
La deuxième condition est d’habiter ou d’avoir habité à un moment de sa vie à Port-La Nouvelle. Vous êtes éligibles ? Contactez le Service Animation au 04 68 48 06 86 ou rendez-vous sur la page Facebook « Port-La Nouvelle » ou « Fête de l’An 9 Port-La Nouvelle » pour recevoir l’invitation
Ceux en possession du magazine d’information de juillet 2019 y découperont l’invitation en page 11. A partir de 17.30 heures, venez participer à ce méga anniversaire intergénérationnel à l’occasion du week-end de la fête locale de la ville. Un moment inoubliable immortalisé par des photos de groupes et le partage du verre de l’amitié. Ce jour, il n’y aura toujours pas de mot spécifique dans le dictionnaire pour désigner une personne fêtant son anniversaire, sauf si on adopte celui de « lanceur de chapeau », ce que chacun des « fêtés » fera à l’unisson avec celui offert par la municipalité pour la photo finale. Ce sera aussi l’occasion pour ceux qui sont aux manettes de cet événement, Eric Tréséné, Marlène Begué, Christian Salas et Marie-Christine Sabardeil, de rapprocher les extrêmes, à savoir la rencontre du maire Henri Martin avec l’aïeul(e) de la fête et le dernier-né, pour la photo symbolisant le mieux la convivialité « made in Port-La Nouvelle » sans distinction d’âge.
Le décor était donc planté, les bénévoles des Anciens de l’ESN pouvaient « allumer le feu ». Au niveau de la sécurité, il fallait veiller à ce que tous les convives puissent suivre les précieux conseils en cas de canicule, c’est-à-dire s’hydrater et surtout boire en suffisance. Vincent Pentoux, le patron de l’Adresse, s’est dévoué pour cette aide à la personne avant qu’elle ne soit en danger : les bières et les rosés étaient bien frais, et il avait prévu une palette de 540 bouteilles d’eau de source Cristaline qui a été fortement sollicitée. On remet ça de plus belle l’année prochaine a tranquillement annoncé Alain David à son équipe.
Reportage William Barbier
Fort du succès de la sardinade du mois de juillet, il décrète que 150kg de ces petits poissons argentés seront sacrifiés sur l’autel de la convivialité ce 10 août sur la place du Souvenir Français. Au service animations de la ville, Christian Salas a tenu à peaufiner l’ambiance musicale de cet événement, et avec 15 albums solos et 5 compilations, il s’est dit qu’inviter le chef de file de la nouvelle génération des orchestres de musette, de danse et de variétés serait une bonne idée, et il a donc appelé à la rescousse le globe-trotter de l’accordéon Jean-Luc Vicente. Ce dernier a tendu un micro à la Perpignanaise Olya, chanteuse professionnelle pour qui, en bal musette et en chansons françaises et internationales, les airs des années 50 à nos jours n’ont pas de secret, qui a répondu à son invitation. Le décor était donc planté, les bénévoles des Anciens de l’ESN pouvaient « allumer le feu ».
« Canicule ou pas, ça va chauffer ! ». Quand on a été joueur et entraîneur de l’Etoile Sportive Nouvelloise, qu’une fois les crampons remisés il y a 17 ans on prend la présidence des Anciens de l’ESN, et qu’une des premières bonnes initiatives fut d’instaurer la fête de la sardine à Port-La Nouvelle, il est facile de deviner que la devise d’Alain David est « droit au but ! ».
Sardinade, cocktail de bonnes choses pour les papilles et les oreilles
Derrière ce tableau idyllique se cache un travail intense de préparation de la part de la direction du SMEJ. Pour tout séjour à l’extérieur de la ville, un dossier complet est monté : un résumé avec les dates de départ et de retour, le public d’enfants et leur nombre, l’équipe des animateurs avec les fonctions, les rôles et les éléments non négociables, les objectifs éducatifs de la commune, les objectifs pédagogiques des séjours, le lieu et l’hébergement, les activités, les règles de vie quotidienne, le bilan quotidien des actions mises en place, l’utilisation du téléphone portable pour éviter les dérives, le harcèlement, les sanctions, les temps libres, l’autonomie (actes de la vie quotidienne, s’habiller, toilette, rangement, …), la sécurité (gros dossier), l’assistance sanitaire, la protection solaire et caniculaire, la gestion des accidents, la liste des affaires à emporter. Au retour du séjour, une évaluation est faite en fonction des objectifs fixés : amusement et plaisir, découverte et enrichissement du savoir, responsabilité et autonomie, solidarité et respect des règles de vie. Les moniteurs veillent à ce que tous les objectifs soient atteints sans attendre nécessairement de la reconnaissance en retour (que tout se déroule bien est somme toute « normal »), le maire Henri Martin quant à lui veille à ce que le support financier soit à la hauteur de ses ambitions pour « sa » jeunesse.
Reportage William Barbier
Photo 1) A la maternelle, le maire Henri Martin et Maryse Ségui ont rencontré ce 8 août les Marguerites, les Cigales, les Libellules et les Orchidées, des groupes de bambins donnant leur avis sur leurs récentes activités psychomotrices, manuelles, artistiques et d’expression, les sorties (plage, cinéma, aquajet à Narbonne-Plage), les jeux, les séjours (Walibi, Aqualand à Saint-Cyprien) et la piscine.
Photo 2) A l’école André Pic, on frise la saturation avec des pics de 125 enfants pendant certains jours. Répartis en 3 groupes en fonction des âges, les enfants ont vécu des expériences inoubliables (plage, beach volley, bivouac, piscine, top chef spécial Grèce, VTT, paddle, bouée tractée, …) et ont vu d’autres horizons en visitant Arles, le Lac du Salagou, la plage de Piémanson, le parc animalier de Martigue et Aqualand. Le point d’orgue sera le 23 août avec une méga grillade au stade suivie d’un déplacement à vélo vers la plage pour un remake de Koh-Lanta.
SMEJ, quatre lettres qui signifient pour les enfants de Port-La Nouvelle, pendant leurs vacances d’été, des souvenirs plein la tête, car encadrés par des moniteurs chevronnés ils vont pouvoir apporter une tout autre dimension au terme « loisirs » pendant des activités diverses et ludiques durant lesquelles à tout moment on abordera ce qui leur servira toute leur vie : l’autonomie, la propreté et le respect sous toutes ses formes.
Un Service Municipal au service de l’Enfance et de la Jeunesse
Le soleil joue les prolongations, le mercure se plaît dans la partie haute du thermomètre, la lune prend tout son temps pour se manifester, c’est peut-être le bon moment pour penser aux vacances. Mais où aller ? Dans le cocktail, on aimerait bien un léger clapot des vagues, le chant des cigales, et quelques palmiers. Tout naturellement on flashe sur l’île Maurice, la Réunion, la Grèce, les Bahamas, les Canaries, … Aux critères de choix on ajoute qu’il ne faut pas faire exploser le budget, et le Languedoc Roussillon relègue de facto les destinations exotiques aux oubliettes. Allez, on fait le difficile, et on rêve d’une plage interminable de sable doré, d’animations diurnes et nocturnes pensées tant pour les adultes que les enfants, un arrière-pays qui sent bon la garrigue, et la gratuité généralisée pour le stationnement de la voiture. Ah, un petit détail, ce paradis existe bel et bien et ce premier Août la station de Port-La Nouvelle affiche complet !
Reportage William Barbier
Sur la plage (pas du tout) abandonnée
Le nid fut rapidement découvert et le lieu tenu secret jusqu’à l’éclosion des petits qui se sont immédiatement mis à l’entraînement en testant le sable mou et le sable dur. Les résultats étant prometteurs, Didi lance le « Beach Mouette Tour » en première mondiale sauf que, Brexit oblige, il l’a baptisé « Mouettes sur Sable ». Ce jeudi 1er août à 17 heures, la plage du front de mer fut le théâtre de ces premiers vols sablés, l’événement étant accessible à tous sans modération et qui aura lieu aussi en nocturne le 7 Août à 21h sur la plage du Front de Mer.
Reportage William Barbier
En vacances à Port-La Nouvelle, un touriste belge s’est ému du sort réservé aux mouettes se fracassant bec et ailes sur le bitume de la ville. Il remarqua qu’un homme en particulier, Didi Nénon, chef du service municipale des sports, prenait plaisir à faire souffrir ces volatiles en incitant toute la population à participer à ce rituel barbare. Ce n’est que lorsque de la sciure de bois sortait des plaies que le touriste comprit qu’il s’agissait du Jeu de la Mouette dont il avait déjà eu des échos jusqu’en Belgique. Il n’en restait pas moins qu’au fur et à mesure des championnats organisés entre familles et associations, sans compter les démonstrations et les initiations en front de mer, les mouettes en bois perdaient de leur superbe. Le Belge, en assistant à des parties de beach rugby, de beach tennis, de beach soccer et de beach volley, a proposé à Didi d’organiser un championnat BCBG (Beach Cup Belgian Gabian) sur la plage. Ayant entendu cette suggestion, un couple de mouettes, une blanche et une bleue, s’est échappé de la volière de Didi avec l’intention de procréer la prochaine génération destinée à évoluer sur la plage.
Comme pour le champagne, on sable aussi les mouettes
On ignore encore toujours s’il y a vraiment beaucoup de greniers dans l’Aude, toujours est-il que l’allée menant à la salle Roger Couderc et toute la superficie de son parking offraient ce dimanche le spectacle de ce que tout chineur ou collectionneur espère découvrir, une véritable caverne d’Ali-Baba de trésors. Plus qu’un franc succès de foule, ce fut la cohue, dans la discipline s’entend, mais la cohue quand même. La seule façon de résister à des coups de cœur à répétition est d’y aller avec seulement en poche un billet de cinquante euros : tout se négocie en centimes, aucun exposant ne sera capable de rendre la monnaie. Ceux qui en font l’expérience ont la confirmation que cela fonctionne, mais on les voit prendre discrètement en photo les objets qu’ils espèrent bien retrouver lors d’un prochain vide-greniers, en ayant pris soin à ce moment de retirer auparavant quelques piécettes de leur tirelire. Reportage William Barbier
« Vide-greniers » en France, « vente de garage » au Canada ou « brocante » en Belgique, le point commun est la vente d’objets d’occasion par des particuliers qui veulent s’en défaire.
Zéro déchet en donnant une seconde vie aux objets
Le rythme est pris, il y a la foire aux livres de ce dimanche 28 juillet en la salle Jacques Brel, et on remet le couvert de 9h à 18h le dimanche 11 août. Nadine vise déjà 2020 « si tout va bien », c’est-à-dire en fonction de la disponibilité de la salle. Si les livres se vendent comme des petits pains, Nadine confesse que « Je suis heureuse de voir que le goût pour la lecture est resté intact malgré internet, je remarque un engouement pour les romans en tous genres, les livres anciens techniques (mécanique, électricité, inventions), les manuels scolaires prisés par des responsables d’ateliers linguistiques et des étrangers enseignant le français dans leur pays, les livres pour enfants et les bandes dessinées, ainsi que les dictionnaires ». Par contre, les encyclopédies par lots entiers à des prix massacrés ne trouvent pas acquéreur (« merci à internet »). Les grands vainqueurs des pires ventes sont les livres sur la politique, « les Mitterrand, Hollande, Sarkozy et autres restent sur le tapis, je les ai mis à côté des livres ayant pour thème l’humour » précise Nadine, pour qui on devine que la dépendance due au fait que les humains ont besoin les uns des autres (= solidarité) a ses limites.
Reportage William Barbier
Des distributions vestimentaires et mobilières gratuites sont effectuées tout au long de l’année en priorité aux urgences sociales, aux sans-abris et aux victimes de catastrophes naturelles, et des dons sont également faits à des associations en contact régulier avec l’Afrique. Depuis quelques années, les dons de livres affluent chez Farandole, autant si pas plus que les vêtements, et il fallait trouver une solution par manque de place pour les stocker. Pour fêter les 20 ans de son association créée le 15 septembre 1997, Nadine a intégré dans son exposition de t-shirts une foire aux livres, et contre toute attente le succès de foule fut immédiat. L’expérience fut renouvelée en 2018 au point de devoir organiser deux foires.
… Alors l' association Farandole, je la qualifie d’Entraide et Solidarité, car c’est vraiment le reflet de ce qu’on fait ! ». L’association nouvelloise présidée par Nadine Bettayeb fonctionne sur le principe du don : vêtements, chaussures, linge de maison, jouets, bibelots, vaisselle, électroménager, meubles, … qui retrouvent une seconde vie dans la boutique solidaire « mille et une vies » ouverte à tous.
« Je n’aime pas le mot « caritatif …
Et à partir de là, Jean-Claude retrace toute l’évolution des constructions et des aménagements, année par année, mois par mois, presque heure par heure : préventorium, école, centre de convalescence, centre de réadaptation pour adultes, centre de thalassothérapie, destruction. Arrive alors la seconde partie de la conférence, beaucoup plus animée, où Jean-Claude projette de nombreuses photos permettant de se replonger dans la vie quotidienne de ces enfants malades, et les moniteurs et monitrices Yvette, Andrée, Carmen, Richard, … se revoyant sur les photos, racontent comme si c’était hier les promenades sur la plage avec les bains par groupes de huit enfants, les cours à l’école, l’ambiance dans les réfectoires et les dortoirs, les soins, les sports. N’y tenant plus, Gérard se lève, lui qui avec ses compétences de plombier a transformé le BAM (Bassin d’Apprentissage Mobile) en piscine en dur et est devenu par la force des choses maître-nageur, ne cachant pas sa fierté quand quelqu’un l’apostrophe encore aujourd’hui dans la rue pour lui dire « Si je sais nager, c’est grâce à vous ! ». Gérard raconte alors l’histoire du mainate : cet oiseau qui savait parler et calmait les enfants souvent arrachés à leurs familles, soit pour des raisons médicales, soit de précarité, a un jour apostrophé une préfète en lui disant « Tais-toi ! ». Et on comprend dès lors qu’on est parti pour les prolongations, chacun des participants ayant son scoop de l’époque à évoquer. Avec l’accord de Sandrine Castro, une autre réunion informelle sera organisée « entre nous » à la médiathèque pour que chacun puisse évoquer ses souvenirs, plus que probablement une belle occasion pour Jean-Claude Embry de faire une nouvelle moisson d’informations pour compléter son érudition.
Reportage William Barbier
La première partie de son diaporama, bien qu’étant la rétrospective historique depuis l’époque de la construction de l’établissement, Jean-Claude se laisse à nouveau gagner par la nostalgie : « Peu de gens savaient autrefois que c’était un préventorium où des enfants ont vécu et souffert, mais aussi connu des moments de bonheur comme, par exemple, quand tous habillés de la même couleur ils assistaient à l’entrée d’un bateau dans le port ». Et les détails de cette scène se bousculent dans la mémoire de Jean-Claude, entendant encore les enfants crier au vieux pilote monsieur Carbas « Envoyez sirène, envoyez sirène ! » qui, s’exécutant, était accueilli par une énorme « merci, merci » en chœur des enfants. Sur l’autre rive, les Nouvellois et les estivants criaient dès lors aussi « envoyez sirène, envoyez sirène, merci, merci ! ». Jean-Claude avoue qu’il a pleuré le jour de la démolition et qu’il est venu tous les jours voir disparaître le site pierre par pierre. Il se ressaisit et attaque la première photo de son diaporama qui est l’adjudication du samedi 27 février 1926 des travaux de construction d’un immeuble pour la colonie scolaire de La Nouvelle.
« Quelles sont les personnes ici présentes qui ont eu un lien direct avec le préventorium, comme membre du personnel ou comme malade ? ». A cette question posée par l’historien Jean-Claude Embry, presque tous les bras de ceux venus assister à sa conférence à la médiathèque de Port-La Nouvelle se lèvent. Première émotion donc pour Jean-Claude qui se tourne ensuite vers l’écran : « Cette photo, je l’ai prise le 31 juillet 2008 à 20.30 heures, parce que c’était le dernier jour de vie de cet établissement. Le lendemain matin, le 1er août, on a vu défiler des ambulances qui ont emporté les malades qui y étaient hospitalisés vers le nouvel hôpital du Chemin des Vignes ».
Le Préventorium de La Nouvelle ressuscité pour un soir
Le premier lecteur est Henri Martin qui constate que Micheline a choisi de communiquer ses trésors au plus grand nombre, jusqu’à 4 ou 5 générations, et on devine l’émotion des personnes qui sont aujourd’hui presque centenaires et qui vont prendre connaissance de photos représentant des scènes qu’ils ont vécues en life. Et si le livre remonte le fil du temps, il parle aussi d’avenir, car tout le monde s’apercevra que l’histoire locale, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, s’appuie sur le passé. Pour preuve, on retrouve dans le livre les premières traversées à la nage, déjà présentes en 1925, interrompues pendant la guerre, reprises en 1949, et programmées le 15 août depuis 1952 ; on sait aujourd’hui que Novarems a remis cette compétition à l’honneur le 15 août 2018. Autre résurrection réussie par Novarems, qui ignore encore que les joutes ont repris depuis 2016, conformes aux joutes languedociennes organisées en juillet 1954 sur le chenal. Certes, on ne reverra pas le plongeoir, uniquement pour des raisons de sécurité liées au trafic portuaire, mais la municipalité facilite la tâche de certaines associations pour leur permettre de faire renaître ces vestiges du passé. Un ouvrage édité par la commune de Port-La Nouvelle à qui l’auteure a cédé tous ses droits (aucune rémunération), et quiconque se le procurera au prix de 15€ comprendra que c’est parce que Micheline adore Port-La Nouvelle, la mer et la plage qu’il a été écrit.
En vente chez Super U et aux tabacs du Boulevard du Monument aux Morts et de l’Avenue de la Mer, on peut aussi consulter le livre à la médiathèque.
Reportage William Barbier
Ensuite elle décide de confronter ces vues anciennes que très peu de gens connaissent avec la réalité d’aujourd’hui, et photographie ces mêmes lieux avec son appareil numérique, et un drone. Avec une moisson de 250 photos qui lui permettent de remonter jusqu’à la création de la commune en 1844, elle fait appel à Jean-Claude Embry, historien dont les connaissances sur des points de détail de la vie de la commune sont immenses (« c’est la bible » confirme Micheline), pour que certaines prennent vie sous sa plume, car il est bien sûr question d’éditer un livre, mais pas n’importe lequel. Pas question de saturer le livre avec une pléthore de détails qui l’éloignerait définitivement de la cible choisie de lecteurs, le grand public, et n’intéresserait finalement que quelques passionnés ou experts. Le duo Micheline et Jean-Claude, tous deux qualifiés par le maire Henri Martin de « gardiens du patrimoine culturel au sens historique », décident en janvier de cette année du titre du livre par « Port-La Nouvelle, la station au fil du temps », et Micheline, après avoir réalisé toute la mise en page, confie les fichiers à l’imprimeur en juin. Le livre de 168 pages est imprimé à 400 exemplaires.
Depuis 1973, Micheline Cathala, actuelle élue en charge du patrimoine de Port-La Nouvelle, recherche auprès des Nouvellois des photos anciennes, des cartes postales, des documents, même des photos sur plaque de verre, butin que peu à peu elle capitalise en le mettant précieusement à l’abri.
Le temps, une dimension mesurée par Micheline Cathala depuis 1844
De la place St Charles au front de mer les baffles sont soumis à rude épreuve, la vedette de la SNSM parcourt le chenal avec des touristes jusqu'à la tombée de la nuit, pour profiter du spectacle du feu d'artifice... Lire et + de photos
Sur des chariots aux dimensions de la tintaine (plate-forme) des lourdes barques, l’entraînement est d’autant plus « chaud » que le déplacement se fait sur des roulettes à 360°, et trouver la bonne position ne s’acquiert que si on ne perd pas une syllabe de l’entraîneur : « Le gaucher, si tu le prends là, tu mets ton pied comme ça, tu plies le genou, tu lèves le talon, car si tu loupes le pavois de l’autre, tu tombes à l’eau. La barque a atteint sa vitesse, les pavillons se croisent, tu lèves la lance, tu viens le chercher et tu te jettes, mais pas trop car si l’autre se lève de suite, tu pars par devant. Si tu tiens ton pavois comme ça, au moment de l’impact tu tournes le buste, ta jambe arrière ne sert plus à rien, et tu tombes à l’eau. Si tu tiens ta lance comme ça, t’es mort, il va te prendre là, ton buste ne va pas bouger mais ton bouclier oui, et c’est fini ». Lire la suite
Ce 10 juillet, devant le local de Novarems, François Ortolan, le jouteur de ligue de Valras, explique aux candidats jouteurs comment faire bonne figure aux Joutes Languedociennes prévues le 21 juillet dans le chenal à l’entrée du port de Port-La Nouvelle.
Ce jeudi 18 juillet c'était jour de fête au caveau Rocbère de Port- La Nouvelle. A partir de 17h Corinne aidée de Audrey et Nicole avait organisé un apéritif rafraîchissant et convivial en extérieur avec des dégustations de vin blanc, rouge et rosé. Tandis qu' à l' intérieur Dana faisait une démonstration de peinture sur verre en direct tout en prodiguant gracieusement des conseils à la petite Léa passionnée par ce travail minutieux. Une belle convivialité régnait parmi les participants qui ont ainsi pu découvrir et apprécier les vins de la gamme Rocbère comme le chardonnay 2018, vin blanc servi très frais, car le beau temps était de la partie pour cette première dégustation estivale, qui sera renouvelée au mois d' août.
Le caveau est ouvert tous les jours de 10h à 12h30 et de 15 h à 19h00. Fermé le mardi.
Quand le plaisir des yeux n' a d'égal que celui du palais on en redemande
Après une écharpe mayorale et un bonnet de marin lors des éditions précédentes, c’est un cactus plus vrai que nature, mais réalisé en tricot, qu’Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle, a reçu de Sylvie Lucion, présidente de l’association De Fils en Aiguilles, un cadeau piquant à l’occasion de l’inauguration officielle du yarn bombing édition 2019. Pourquoi un cactus ? Lire et Photos
Il y a 17 ans de cela, Alain David prenait les commandes de l’Amicale des Anciens de l’Etoile Sportive Nouvelloise (ESN) et, avec la complicité des pêcheurs à l’époque, organisait la première Fête de la Sardine. Aujourd’hui, cette fête est devenue une institution dans Port-La Nouvelle, et ce 13 juillet l’équipe bien soudée de bénévoles installait ses quartiers place du Souvenir Français pour pouvoir disposer d’un maximum de place, tant pour les immenses brasiers que pour les tables. Lire et + de Photos
Ce 15 juillet, la collecte s’est tenue sur le podium de la grande scène de la place St-Charles en front de mer, et les touristes ont répondu à l’appel, en très grosse majorité venus du nord de la France. Entre 14.30h et 19.00h, ce sont 62 poches de sang qui ont été collectées, avec un premier don pour 7 personnes. Ce fut aussi l’occasion pour Christian Jourdan de rencontrer son homologue de l’Amicale des Donneurs de Sang de Moirans en Isères (38430), le président Bernard Sezyk, qui, pour des raisons techniques, n’avait pu donner son sang lors de la collecte organisée chez lui il y a 15 jours. Profitant de ses vacances à Port-La Nouvelle, lui qui a donné régulièrement en plasma et plaquettes, et maintenant quatre fois par an du sang depuis qu’il a dépassé les 66 ans, s’est acquitté de son 146e don. Le message sur son t-shirt est on ne peut plus explicite : « Je donne, tu donnes, ils vivent ! ».
Après avoir dûment complété le document de préparation à l’entretien préalable au don de sang, et suite à cet entretien avec le médecin, il arrive que le candidat donneur ne puisse pas donner son sang. Pour Christian Jourdan, président de l’Amicale des Donneurs de Sang de Port-La Nouvelle, ce n’est pas vraiment un échec car il retient la beauté du geste de cette démarche de vouloir donner son sang pour autrui. Il y a près de deux mois, la collecte de sang s’est tenue en la salle Jacques Brel, permettant l’afflux des donneurs réguliers nouvellois.
Du donneur au patient, la mission de l’Etablissement Français du Sang (EFS)
L’organisation des obsèques comprend le transport de corps avant et après la mise en bière, l’accueil thérapeutique d’écoute et de soutien des familles, les soins et toilette mortuaire, les cercueils personnalisés, les capitons, les cérémonies personnalisées, les plaques funéraires, les fleurs, la marbrerie, sachant qu’il est fait appel exclusivement à des fournisseurs locaux. Les contrats obsèques seront efficacement gérés (la convention obsèques devenant testamentaire). Un package crémation comprend le cercueil et l’urne, le package inhumation comprend le cercueil, les cartes de remerciements et le recueil de condoléances.
Comme Port-La Nouvelle est en bord de mer, une attention a été portée sur la dispersion des cendres, interdite en bord de plage ou au bout de la jetée. EPF va donc se rapprocher de la SNSM pour organiser la dispersion des cendres au large. Encore plus originale, l’urne submersible qui va lentement se désintégrer sur le fond de la mer. La perte d’un être cher peut être celle d’un animal de compagnie, EPF y a pensé avec l’urne en céramique pour chien et pour chat, ainsi qu’une urne en carton biodégradable.
On l’a bien compris, les familles endeuillées vont passer ce cap douloureux avec bien plus de baume au cœur qu’en signant un simple bon de commande. Inauguration officielle début septembre, il y a des décisions qui doivent être prises de son vivant.
Le logo de l’entreprise est en réalité une citation du poète-résistant René Char (1907-1988) qui ne laisse aucun doute sur la façon de concevoir l’épreuve du deuil : « L’intensité est silencieuse, son image ne l’est pas ». Marylène Leuschner et David Bastide se sont associés pour créer cette entreprise où l’originalité est le maître-mot, à commencer par les cercueils. Ils sont fournis par le fabricant Carles S.A. (agence de Perpignan) en gamme Parisien et en gamme Tombeau, en pin ou en chêne selon qu’ils sont destinés à la crémation ou à l’inhumation, et c’est en partenariat avec Personifia qu’ils sont entièrement personnalisés. Dans l’assortiment, le modèle « Port-La Nouvelle » ne manque pas d’étonner et de séduire, Marylène avouant « c’est moi qui fais les photos ». Il y a également l’urne personnalisée à l’identique. Et, par extension, tous les thèmes sont permis : chasse, pêche, rugby, football, moto, voiture, …, sachant que les photos peuvent être fournies par la famille ou les amis.
Au 133 rue Voltaire à Port-La Nouvelle, quand on franchit le seuil de l’enseigne EPF (Ecume Pompes Funèbres), on est accueilli par Magali, l’hypnothérapeute qui va immédiatement veiller à ce que les 5 étapes du deuil soient respectées : successivement le choc et déni, la colère, la négociation (tentation irrationnelle de « marchander » le retour du disparu), la dépression et la douleur, et enfin l’acceptation.
Une dernière demeure pour la vie
Le trajet est de 130m jusqu’au virage de la bouée et retour jusqu’à la ligne d’arrivée que parcourront côte à côte les deux barques La Nadière et Ste Lucie. Il y a 12 équipes, il y aura donc 6 courses en 2 manches, chaque équipe faisant deux fois la course, une fois sur chaque barque, l’une du côté quai, l’autre du côté « large », ceci pour que tout le monde soit sur le même pied d’égalité quant au matériel (poids de la barque) et aux conditions de navigation (courant).
Faire connaître et partager les valeurs de la rame traditionnelle ne peut se faire que par la pratique, et une des belles vitrines du club Novarems de Port-La Nouvelle est l’organisation de son Défi Interentreprises dans le chenal du port. Pour l’édition 2019, son président Frédéric Cantie et les membres à la barre du club ont convaincu 12 équipages de se mesurer dans cette compétition où l’effort physique est au diapason de la convivialité, à savoir intense. Les 12 équipages inscrits sont les Jeunes Sapeurs-Pompiers (JSP), l’Adresse, Le Quartier Libre, Les Pompiers de Port-La Nouvelle, Carrefour Express, Métaph’Or de La Palme, L’Escale, Palettes Occitanes 1 et 2, La Pena, l’Amicale des Communaux et Foselev (Les Alcools)
Il est tôt le matin ce dimanche, et le vieil homme, regardant le ciel, se dit que les conditions sont propices pour aller pêcher le calamar sur son petit bateau. Il prépare sa canne avec les leurres adéquats, et parmi ses cannes soigneusement alignées dans son atelier, en choisit deux autres au cas où il y aurait du poisson. Ce devait être une journée calme et pourtant il voit dès le départ son horaire bousculé lorsque les feux de la capitainerie de Port-La Nouvelle l’empêchent de sortir du port pour donner priorité aux manœuvres d’un gros navire. Lorsqu’il franchit enfin le phare, il décide de ne s’éloigner que d’un mille de la côte et de taquiner le calamar dans les quinze mètres de fond. Il prépare sa canne, la fixe un moment sur un support, et retourne à son poste pour jeter l’ancre. Quelle n’est pas sa surprise de voir, qu’essoufflée, une petite perruche ondulée bleue a choisi sa canne comme perchoir salvateur. Lire la suite
Les sapeurs-pompiers assurent la surveillance fin mai, en juin et septembre. Sur les 9 km de plage, 2 sont surveillés, bien sûr celle du front de mer, et aussi une partie de la plage des Montilles fréquentée par un public très nombreux. Les 4 postes de secours sont équipés d’une pharmacie, de VHF, de hauts parleurs, d’un défibrillateur, de zodiacs, d’un quad et de tiralos pour les personnes handicapées. Autre aspect très important de la sécurité, les CRS disposent d’un pouvoir judiciaire pour constater les infractions et gérer le début de la procédure et transmettre à l’OPJ local et/ou au Parquet selon le cas. Ils détiennent également un pouvoir de police administrative en étant chargé de faire respecter les arrêtés municipaux et préfectoraux. Par leur appartenance à un corps policier, l’effet de dissuasion est indéniable, ils connaissent les techniques nécessaires à la maîtrise d’individus irrespectueux, des altercations musclées étant parfois la seule alternative possible pour assurer la tranquillité et la sécurité du public
Les cinq CRS MNS pour la saison estivale 2019 ont été reçus ce 4 juillet au Poste de Secours 1 par Henri Martin, maire de la ville, Georges Baradat, conseiller municipal chargé de la sécurité des plages, et Claude Roquelaure, directeur général adjoint, pour la traditionnelle photo marquant l’ouverture des plages. Pour les CRS MNS, le brigadier-chef Pierre Lascoux assume la fonction de chef de plage, et Marcel Verge, président des Secouristes Nouvellois, est responsable de l’effectif SNSM. On ne lésine pas sur la sécurité : les 5 CRS MNS assurent une surveillance des plages et des baignades à Port-La Nouvelle depuis plus de 40 ans, et cette année ce sera du 4 juillet au 1er septembre, de 11h00 à 19h00 heures, assistés par 15 sauveteurs qualifiés SNSM titulaires du BNSSA, du permis côtier, et du diplôme de secourisme en équipe PSE1 ou 2.
Le maire de Port-La Nouvelle, également Président de l’Association des Communes Maritimes du Languedoc Roussillon, intervient régulièrement auprès du Ministre de l’Intérieur en faveur du maintien pérenne des effectifs CRS MNS (Maîtres-Nageurs Sauveteurs) sur les plages de la région, quatre actuellement dont celle de Port-La Nouvelle.
Les C.R.S M.N.S comme gage de sécurité sur les plages
Le maire Henri Martin a confirmé son attachement à consacrer beaucoup de temps à l’école publique et aux enfants de Port-La Nouvelle. Le confort des enseignants et des élèves a toujours été une priorité de l’Equipe municipale, et l’isolation des établissements sera le premier chantier. Au sujet de la scolarité, ayant eu jusqu’à présent un(e) seul(e) maître(sse), les élèves auront un enseignant pour chaque discipline au collège, « un changement à appréhender avec beaucoup de simplicité car cela va vous permettre d’ajuster votre capacité d’écoute avec la personnalité de chaque professeur » conseille Henri Martin, et d’ajouter « vous allez rentrer dans la cour des grands, quand on change de dimension dans tous les systèmes organisés, quand on est le petit nouveau et qu’on vous néglige un peu, on a une certaine propension à vouloir se hisser sur la pointe des pieds pour faire comme les grands ; je vous encourage à rester comme vous êtes, ne cherchez pas à imiter les autres, restez des élèves qui vont se forger une personnalité bien à eux ».
« Sans le soutien des parents, nous ne serions arrivés à rien » fut la remarque de Patrice Boffelli, directeur de l’école André Pic, accueillie par une salve d’applaudissements des élèves de CM2 lors de la remise des dictionnaires ce 1er juillet. Pour Patrice, cela fait 21 ans qu’il se retrouve devant cet aéropage de parents et d’élèves pour cette cérémonie symbolisant le passage au collège, conscient d’avoir fait passer les valeurs et les codes de la République, le concept de mixité sociale, et surtout d’avoir fait comprendre que c’est en travaillant ensemble qu’on tire tout le monde vers le haut.
Le conseil que le maire ne cesse de prodiguer quand il rencontre des élèves de quelque niveau scolaire que ce soit est de s’ouvrir aux enseignants, aux parents, à la mairie, à la police municipale si un comportement les chagrine ou les interpelle, de ne rien garder pour eux qui permettrait au doute de s’installer dans leur esprit. Les 61 lauréats ont reçu leur dictionnaire des mains de leurs professeurs respectifs (Patrice Boffelli, Téo Blondeau et Laure Khelil), la police municipale leur remettant l’Attestation de Première Education à la Route « APER ». Port-La Nouvelle est une des pionnières pour cet apprentissage du code de la route, et Henri Martin étudiera dans quelle mesure une partie de la fiscalité liée aux activités portuaires pourrait apporter une aide complémentaire sous forme de bourse pour l’obtention de l’onéreux permis de conduire, la mobilité étant essentielle pour la recherche d’un emploi ou pour s’y rendre.
Reportage William Barbier
Un dictionnaire pour comprendre et toucher les mots
1 Michel Jammes maire de Sigean, 2 Hervé Baro 1e vice-président en charge des solidarités territoriales et de l’économie de proximité, 3/4 Henri Martin maire de Port-La Nouvelle et Marie-Christine Théron-Chet, maire de Roquefort des Corbières les conseillers départementaux, 5 le public
« Pour la 4e année consécutive, André Viola, président du conseil départemental de l’Aude, tient à faire le bilan de ce qui a été fait de nouveau, quels projets ont été menés à bien ou ajournés, quels besoins des Audois et Audoises ont été satisfaits, à quelles préoccupations une réponse a-t-elle été apportée, et surtout « comment faire mieux encore ? ». Pour les Corbières Maritimes, ce rendez-vous a eu lieu ce 24 juin à la mairie annexe de Sigean, piloté par Hervé Baro, premier vice-président en charge des solidarités territoriales et de l’économie de proximité, et accompagné du binôme de conseillers départementaux Corbières Maritimes, Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle, et Marie-Christine Théron-Chet, maire de Roquefort des Corbières.
1 Discours d’inauguration du maire Henri Martin. 2 Paule Marin et Sandrine Castro aux commandes de la culture. 2 Sandrine Castro directrice du pôle culturel, 4 Eric Lallemand directeur général des services, Stéphane Blanquer directeur des services techniques, Thierry Cutillas entreprise bâtiment gros œuvre, François Roques architecte, le maire Henri Martin, Paule Marin déléguée à la culture. 5 Acoustique parfaite pour les spectacles musicaux. 6 Le maire pour quelques instants sur les rives du Mississipi
« Sont passés à quelques encablures d’ici les Phéniciens, les Phocéens, les corsaires, les Romains … » est le début du discours de bienvenue à l’inauguration du Centre Broncy flambant neuf ce 27 juin. Impossible de faire l’impasse sur le mois de novembre 1704 qui marque le début des travaux de ce lieu stratégique du port grâce au soutien de l’Archevêque Charles Le Goux de la Berchère, le creusement du Canal de la Robine en 1776, et la date du 21 juillet 1844 à laquelle un édit de Louis-Philippe proclame La Nouvelle « commune française » avec son premier maire Jean Baptiste Rival nommé le 2 octobre 1844.
Quand la culture déploie ses ailes sur la ville
Le maire enchaîne avec le développement économique en se focalisant sur le bâtiment « Broncy ». Au 19e siècle, c’était le chantier naval Fontès, qui deviendra au 20e siècle un entrepôt de stockage de barriques de vin appartenant à Joseph Manya, et ensuite la scierie et l’entrepôt de stockage de bois d’importation des Ets Gaillard. En 1983, la société UTA y crée une surface commerciale qui, après restructuration, laisse le bâtiment à l’abandon. La ville de Port-La Nouvelle l’acquiert à vil prix, et l’utilise un premier temps comme lieu de stockage de matériel divers. Progressivement, il devient un espace utilisé « avec les moyens du bord » pour des expositions. C’est par une délibération du 1er février 2017 que naît le projet «Espace Broncy », la superbe salle polyvalente inaugurée ce 27 juin. Le maire a voulu rendre un vibrant hommage à Josette Villefranque, épouse de Roger Broncy, professeur d’anglais durant de longues années au collège La Nadière ; artiste dans l’âme, en toute intimité et humilité, il photographiait, dessinait, peignait et écrivait, plus d’une centaine de ses œuvres ayant été retrouvées après son décès en 2010. En mémoire de son mari, Josette a dévoilé une première exposition de dessins au crayon à mine à la médiathèque municipale de Port-La Nouvelle. Dans un geste d’amour, elle a fait don des œuvres de Roger à la ville pour que perdure la mémoire de son aimé. A partir d’aujourd’hui, Sandrine Castro, directrice du pôle culturel nouvellois, et Paule Marin, maire-adjoint déléguée à la culture, disposent de l’Espace Arts et Rencontres Roger Broncy, de la médiathèque et du Théâtre de la Mer pour faire exister et rayonner les arts majeurs, non seulement à Port-La Nouvelle, mais sur le territoire. Pour cette inauguration, de nombreux artistes locaux avaient accroché leurs plus belles toiles aux cimaises : Marc Bazin, Muriel Crespin, Louis Maria, Isabelle Santori, Pierre Guilloteaux, Henri Marie Dat, Alice Sachez, Marc Brisset, la Ruche des Créateurs exposant les œuvres de dix de ses membres. La musique est l’art des sons, et le public a pu apprécier non seulement la virtuosité du quatuor Santandrea Jazz « New Orléans », mais également la qualité du son grâce aux panneaux acoustiques maîtrisant les nuisances sonores.
Les espaces « Bercy » et » Broncy » ont cela en commun d’être polyvalents et modulables à souhait, l’un à Paris, l’autre à Port-La Nouvelle
La fête de la musique est l’occasion de « faire du bruit » le 21 juin partout en France. Ce qu’espère Interfel, l’association interprofessionnelle des fruits et légumes frais, c’est qu’également sur le plan national toute la population ait pu vivre à l’heure de la « fraîch’attitude » lors d’une campagne de promotion du 14 au 23 juin. Le jour du solstice d’été est choisi pour faire (re)découvrir les fruits et légumes frais aux jeunes générations de Port-La Nouvelle, en commençant dès le matin par la crèche où deux diététiciennes ont accueilli les bambins et leurs parents. Tant un spectacle pour les papilles que pour les yeux, les enfants ont découvert que les mangues, cerises, raisins, fraises et ananas n’existaient pas qu’en petits pots, et le message a été bien compris par les parents que manger équilibré s’apprend tôt ; ils ont donc porté toute leur attention sur une riche documentation sur la feuille de route à suivre : « faire aimer les fruits et légumes frais aux enfants » et, suite logique, « à table les ados ! ». A midi, ce fut au tour des collégiens de La Nadière de découvrir la palette survitaminée à la cantine, et quoi de plus efficace que de proposer les fruits et légumes, prêts à croquer, en libre-service. Il reste à espérer, qu’à la maison, les parents leur montrent l’exemple en se régalant également de ces trésors de la nature, autant par plaisir que pour garder la forme. De statut d’accompagnement, faire passer un légume à celui de mets central est un exercice qui vaut la peine d’être tenté.
Manger équilibré s'apprend dès l'enfance
Fidèle au poste, Lucien Tarantola s’est emparé du micro devant le Monument aux Morts de Port-La Nouvelle, pour lire le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées. Lire, ou plutôt marteler que dans l’indifférence ou l’incompréhension, près de 110 000 soldats sont tombés en Indochine, 80 000 y ont été blessés, et on ne saura jamais combien de dizaines de milliers d’hommes ont subi une éprouvante et meurtrière captivité. La première phrase du texte annonce que « la mémoire est un ciment pour notre nation, elle nous unit et nous rassemble, elle lie les générations », et, levant les yeux, Lucien Tarantola n’a pu que regretter, qu’à part la présence des élus et des associations patriotiques, la place était bien vide. Le devoir de mémoire laisse indifférent, « faire son devoir » ne semble s’appliquer que pour ceux qui y laissent la vie.
Pour faire court, les livres d’histoire retiendront pour les générations futures les années 1946 et 1954 pour situer dans le temps le début et la fin de la guerre d’Indochine. Au Viêt Nam, elle opposait l’armée française aux troupes des nationalistes et des communistes vietnamiens, le Viêt Minh. Le mois de mai 1954 correspond à la défaite de l’armée française à la bataille de Diên Biên Phu. Partant du principe qu’il n’y a pas de « guerre oubliée », la nation rend hommage chaque année, le 8 juin, aux morts pour la France des unités françaises d’Indochine qui, des combats de 1940 contre les troupes japonaises jusqu’en 1956, date de la dissolution du corps expéditionnaire français d’Extrême-Orient, ont combattu pour le pays. Cette année, le gouvernement a voulu leur rendre un hommage solennel dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides à Paris, en y associant une très importante participation d’anciens combattants des guerres d’Indochine, décalant dès lors les cérémonies départementales au 13 juin.
Le devoir de mémoire, une question de volonté..
Un avant goût de vacances pour les scolaires de Port- La Nouvelle et Portel des Corbières
Un attroupement d'enfants aux mines réjouies, des parents, professeurs, et assistantes scolaires, s'activaient en cette fin de matinée du 13 juin sous un beau soleil, autour des douches de plage du front de mer. La classe d'Anita Baillergeau professeure de CP à l'école André Pic de Port-La Nouvelle accompagnée de parents, Christophe, Patricia, et Pascal, mais aussi la classe de la professeure Véronique de CP de Portel des Corbières, aidée par Elodie et des parents, Olivier, Vincent, Françoise et Patrick sont venus passer la matinée au bord de la mer sous un soleil radieux. Les enfants architectes en herbes s'en sont donnés à coeur joie, avec tout le matériel adapté pour confectionner de beaux châteaux de sable. Aussi avant de regagner le parc Leclerc pour y dévorer le pique nique, tous se sont installés pour la photo souvenir avec le maire Henri Martin, le maire adjoint Christian Salas, Eric Lallemant DGS et Claude Roquelaure DGA, qui passaient par là ( presque par hasard avec le Pavillon Bleu ). C'est à la piscine dans l'après midi que se poursuivait cette belle journée comme un avant goût de vacances. Les parents accompagnateurs ont eu le plaisir de partager ces moments de joies avec les enfants. Le maire nous confiait, chapeau aux enseignantes et personnels encadrant pour leur investissement sans faille auprès des enfants.
Selon 8 Français sur 10, le Pavillon Bleu est une garantie de propreté des plages et de la qualité des eaux. Les critères pour l’attribution du pavillon bleu (exemple d’actions). L'éducation à l'environnement :avec mise en place de 5 activités. Gestion des déchets tri sélectif d'au moins 3 types de matériaux sur la plage ou à proximité (100m), La qualité de l'eau de baignade doit être en qualité « Excellente ». Pour protéger l'environnement lutte contre le camping-caravaning sauvage lors de la visite annuelle de contrôle. La plage du front de mer de Port - La Nouvelle est labellisée depuis 1988 (sauf en 90 et 93). Port-la nouvelle est par ailleurs titulaire de la certification « Démarche qualité des eaux de baignade » depuis 2010 mise en place par l’ Etat et les associations d’élus du littoral. Cette certification garantit la qualité des eaux de baignade et des plages et la capacité de la commune à faire face à un risque de pollution maritime ou une situation de crise (en matière environnementale ou relative à la santé des baigneurs) sur la plage et dans le plan d’eau. Elle est attribuée à la suite d’un audit sur la commune qui s’étale sur 2 journées par an.
C' est un label à forte connotation touristique, symbole d'une qualité environnementale exemplaire. Créé par Téragir en 1985, le Pavillon Bleu valorise chaque année les communes et les ports de plaisance qui mènent de façon permanente une politique de développement touristique durable. Présent dans 45 pays sur tous les continents. En tant que touriste, se rendre sur une plage Pavillon Bleu c'est choisir un site disposant d'un certain nombre d'équipements. Un sondage de l'institut BVA montre que 67% des Français connaissent le Pavillon Bleu et qu'il pourrait inciter 81% des Français dans leur choix de lieu de vacances !
Le Pavillon Bleu expliqué aux enfants ... mais pas que !...
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