Photo 1. Fondation Louis Vuitton. Photo 2-3. Simon Hantaï. Recherches picturales. Photo 4-5. La structure des formes géométriques triangulaires composée par Katharina Rosse est un « déclencheur visuel » reliant sol et plafond de la Grande Galerie 10. La créatrice sublime l’espace grâce à sa technique de projection de la couleur par pistolet-pulvérisateur, devenue sa signature picturale : « Ce qui m’intéresse, c’est que l’architecture d’une situation donnée reste présente. Comme ici dans la galerie 10 de la Fondation Louis Vuitton, l’architecture comme ma peinture restent efficaces, les deux propositions se percutent » Photo 6. La série desMisshapedcanvas / Peintures drapéesde Steven Parrino. Ses œuvres marquent à la fois l’abandon total du châssis et l’avènement de la peinture dont la forme se déploie en fonction des particularités architecturales du lieu d’exposition. L’ensemble de ses œuvres s’harmonise bien avec les sculptures colorées de Steven Parrino. + des photos www.facebook.com/media/set/?set=a.10228766999340074&type=3
Les couleurs et les supports s’inventent une liberté nouvelle en envahissant l’espace de la Fondation dont le bâtiment est un vrai geste artistique, conçu par l’architecte américain Franck O’Gehry. L’exposition des œuvres colorées de Simon Hantaï prend comme point de départ de son parcours la peinture Écriture rose (1958 – 1959, donation de l’artiste à l’État. Musée national d’art moderne / CNACGP) et couvre ensuite les grandes périodes successives de son œuvre depuis les Peintures à signes, Monochromes, Mariales, Catamurons, Panses, Meuns, Études, Blancs, Tabulas, Peintures polychromes, Sérigraphies et Laissées pour se conclure sur le « dernier atelier ». Les influences artistiques décisives des créations de Hantaï sont bien mises en valeur ici à travers la présentation d’œuvres d’Henri Matisse (Les papiers découpés, 1947-1952) et de Jackson Pollock (Black painting, 1948), mais aussi de Michel Parmentier et de Daniel Buren qui sont évoqués dans l’exposition par des confrontations. On découvre un ensemble d’œuvres emblématiques qui déclinent les moyens plastiques élaborés par le peintre pour conduire sa peinture vers une nouvelle dimension où dominent la matérialité de la toile à peindre et sa blancheur initiale, le geste machinal, voir automatique, la non limitation des formats et de leur grandeur.
Avec l'exposition « La Couleur en fugue », la peinture sort du champ restreint de la toile tendue sur châssis. Couleurs et supports s’inventent une liberté nouvelle en envahissant l’espace (mur, sol, plafond). Ces diverses variations de l’expansion de la couleur dans l’architecture dialoguent étroitement avec la conception architecturale de Frank O’Gehry. Armés de pinceaux et de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, les cinq artistes de l'exposition ont redéfini les limites de la peinture : Sam Gilliam, Katharina Grosse, Steven Parrino, Megan Rooney, Niele Toroni ont créédes œuvres étonnantes, insolites, réjouissantes.
Invités par laFondation Louis Vuitton, ces artistes sont méconnus en France mais sont déjà bien connus sur la scène internationale. Certains de ces peintres ont révolutionné l’art contemporain. On admire ainsi un ensemble d'œuvres de Sam Gilliam qui ont marqué un tournant majeur dans l’histoire de la peinture abstraite américaine. Son œuvre est associée à la Washington ColourSchool, un courant du Colourfield painting qui s’est développé à New York dans les années 1950. Face à ces installations, on retrouve la célèbre série desmisshapedcanvasde Steven Parrino.  L’artiste fait passer la peinture des surfaces bidimensionnelles à la tridimensionnalité du relief et de la sculpture soigneusement peinte. Parrino privilégie ici les couleurs brillantes, choisies pour leurs valeurs symboliques. Un dialogue s'installe alors entre les deux artistes et leurs créations, sous nos yeux.
Les installations inédites et éphémères de Katharina Grosse et de Megan Rooney ont été réalisées comme des pièces monumentales spécialement et exclusivement pour la Fondation Louis Vuitton. Katharina met la couleur au cœur de son travail. La question de l’échelle, de la fusion entre la peinture, la sculpture et l’architecture est omniprésente dans son œuvre et particulièrement dans son projet « Splinter » pour le bâtiment Franck O’Gehry. Megan Rooney s’est engagée dans une performance de plusieurs semaines pour créer une œuvre unique qui se construit dans un dialogue étroit avec l’architecture sans esquisse préparatoire. L’artiste explore ici la densité d’une palette solaire, riche et colorée.« Withsun » – peinture in situ, réalisée par Megan Rooney dans l’espace de la galerie 8, ouverte vers le ciel. La composition lumineuse est dominée par les teintes et des variations des couleurs chatoyantes d’orange, de mauve, de jaune, de vert, de rose, et reste en connexion avec la nature environnante et ses vibrations printanières.
Les couleurs, les noirs et les blancs, les formes et les textures, les matériaux, les techniques : tous ces éléments se rencontrent, se bousculent, se magnifient ou s'affrontent, pour nous faire ressentir des émotions fortes, des émotions qui donnent tout son sens à cet art abstrait et spectaculaire.
"La Couleur en fugue" et « Hantaï » sont ouvertes au public jusqu’au 29 août2022
Pour la première fois, la Fondation d’art contemporain Louis Vuitton, qui a été inaugurée en octobre 2014, propose une double exposition spécifique lumineuse et colorée : « La couleur en fugue » et « Hantaï-100 ». Il s’agit d’un parcours proposé par les cinq peintres de la scène artistique internationale d’origines et de générations différentes qui s’engagent à transformer les espaces intimes du bâtiment et à faire découvrir aux visiteurs comment la couleur peut transformer de manière radicale l’architecture d’intérieur en produisant un effet maximal.  Simultanément, la Fondation présente une exposition rétrospective inédite, organisée en collaboration avec la famille Hantaï, rassemblant plus de 130 œuvres de l’artiste dont beaucoup n’ont jamais été exposées, et sont pour la plupart de grands formats créés durant les années 1957-2000.
« La couleur en fugue » et « Hantaï-100 » sont ouvertes au public
jusqu’au 29 août 2022 à la Fondation Louis Vuitton
« La couleur ne nous a pas été donnée pour imiter la nature.
Elle nous a été donnée pour que nous puissions exprimer nos émotions » - Henri Matisse
Ils nous l'ont dit ça avec leurs couleurs. Le pouvoir de l'art est indiscutable et son langage est universel. Les amateurs d'art d'Ödemiş, qui s'intéressent à ce sujet, ont rencontré ces précieux artistes qui honorent notre Birgi et ont découvert leurs œuvres ici. Et quelle beauté ils ont confiée à Birgi pour l'avenir ! C'est une bonne chose que nous puissions admirer ces harmonies de couleurs diverses ici. Nous soulignons que la réalisation de toutes ces œuvres est très importante pour la promotion de Birgi, avec la présence de nombreux de nos artistes participants à l'exposition, venus de très loin pour honorer notre symposium artistique que ce soit Ouzbékistan ou Kosovo, Albanie, Corée ou France. Nous espérons qu'avec ces événements, Birgi pourra prendre sa place sur la liste permanente de l'UNESCO pour être promue dans le monde entier.  Je tiens à remercier tous mes collègues, mes amis et artistes qui ont participé à cet évènement pour leurs contributions.", - a déclaré Monsieur le maire d'Ödemiş Mehmet Eriş.Le gouverneur du district d'ÖdemişFatihAksoy, le maire d'Ödemiş Mehmet Erişet son épouse Selma Eriş, le maire adjoint Ufuk Kızıler, le coordinateur des services locaux de la municipalité métropolitaine d'Izmir Hikmet Güriş, BedihaAkartürk, de nombreux citoyens et amateurs d'art ont assisté à l'ouverture de l'exposition. Des certificats de participation ont été remis aux artistes participant au symposium international artistique de Birgi/Ödemis. La directrice artistique Yıldız Arun a dit:«Nous avons décidé d’apporter nos couleurs à notre belle cité de Birgi avec des artistes internationaux, et mettre en valeur soncaractère historique, ses beautés naturelles et son architecture unique. J'espère que nous avons réussi.  Nous avons organisé ici un symposium international d'art, pensant que les beautés de Birgi devraient être diffusées dans le monde entier. Je tiens à remercier M. le maire Mehmet Erişde nous avoir offert une telle opportunité. ». Le gouverneur du district d'Ödemiş, Fatih Aksoy, a déclaré : « Birgi est la prunelle de nos yeux, les mots ne suffisent pas pour décrire ses valeurs et ses beautés… Je pense que de telles organisations apporteront une grande contribution à la promotion de Birgi. Un grand merci à nos artistes. Ils ont contribué à la beauté de cette ville. Je leur souhaite la santé et une bonne inspiration pour leurs créations ».
Les sujets suivants ont été abordés lors du symposium : le développement de l'art aujourd'hui et dans le futur, les perspectives pour l’art contemporain à la sortie dela crise provoquée par la pandémie ; la gestion du tourisme culturel et l’agrotourisme ; la présentation de la créativité et des activités personnelles de chaque artiste et des activités culturelles du pays dont il est originaire. Le maire d'Ödemiş Mehmet Eriş, son épouse Selma Eriş et les représentants du département culturel de la mairie ont été présentent lors d’l’inauguration du symposium d’art, ont participé à des réunions des artistes internationaux, aux soirées de la musique traditionnelle et aussi assisté à l'ouverture de l'exposition de peinture en présence de 9 artistes venus de l'étranger et de 3 de Turquie. Une contribution spéciale à l'organisation a été apportée par la conservatrice et organisatrice Mme Yilldiz Arun qui a méticuleusement fourni les informations nécessaires et s'est occupée de l'organisation du symposium. Parallèlement, des collaborateurs du département culturel de la municipalité d'Ödemişont contribué grandement au succès de cet événement international, il convient de mentionner Mme Ilknur Gündüz, Manager chargé des affaires culturelles ainsi que ses collaborateursAynur Orla Balcıet Emre, mais aussi tous les habitants de Birgi qui étaient merveilleusement gentils et accueillants.
« Parce qu'ils sont tous de pays différents, nous pensons que cela ouvre la voie pour que notre cité historique Birgi soit reconnue dans le monde à travers leurs pays et leurs contacts professionnels et personnels. Comment la peinture influence le monde d'aujourd'hui et de l'avenir, quelles sont les techniques de la peinture actuelle, comment comprendre le message de l'art, comment les artistes ont été influencés par la beauté du lac de Gölcük, comment ils ont interagi à Bozdağ, au village Lübbey alors qu'ils parcouraient l'esprit unificateur de l'art avec leur propre perspective.
Photo 1,2. Birgi est une petite ville construite au XIVe siècle, elle est près d’Ödemiş. La plupart des maisons à l’architecture originale sont du XVIIIe et XIXe siècles. L’Ulu camii (en turc : grande mosquée) est un exemple de mosquée en bois de l’artseldjoukide. Elle a été construite par Mehmed Bey, fondateur de l’émirat d’Aydin qui a fait de Birgi sa capitale en 1308. La mosquée a été construite en 1313. Photo 3. Dans ce symposium a eu lieu l'atelier d'art démontrant les compétences créatives des artistes participants et qui a été couronné à la fin par l'exposition collective des artistes participants. Le symposium a réuni des artistes de France, de Corée du Sud, du Kosovo, d'Albanie, de Macédoine du Nord, d'Ouzbékistan et de Turquie. Photo 4. La Turquie cache de nombreux trésors. De fascinants petits villages plus ou moins accessibles, parfois scandaleusement inconnus, qui méritent qu’on s’y arrête qui accueillent également les passionnés d’histoire et les amateurs de nature.  Larissa Noury au village Lübbey, un endroit incroyable pour échapper à l'agitation de la ville. C’est dans ces endroits paisibles qu’est le cœur de la beauté de la Turquie.  Photo 5. Les artistes du groupe au vernissage de l’exposition et Monsieur le Maire et sa famille. Photo 6. Monsieur le Maire d'Ödemiş Mehmet Erişet Larissa Noury devant son œuvre « Les Couleurs de Golcuk / Odemis » lors de l’inauguration de l’exposition internationale. Plus de photos du Birgi International Art Symposium :www.facebook.com/media/set/?set=a.10228557043451308&type=3
12 artistes de 8 pays ont été invités à participer à cet événement international organisé pour la première fois après la pandémie sur le thème principal “ PAST and FUTURE “.
Des œuvres d’artistes de pays et des cultures différentes ont été réalisées pendent cet évènement et exposées par la suite à BirgiMahallesiDervişağa Madrasa, l'un des quartiers importants d'Ödemişen terme de tourisme.Cette madrasah, actuellement musée de l’histoire locale, a été construite par Derviş Ağa en 1657, et est l'un des rares édifices de Birgi. Clemens Beungkun Sou de Corée du Sud, Daniela Dimchevska de Macédoine, Ermelinda Lupi d'Albanie, Fehmi Hoxha, Hajrush Fazliu et Refki Gollopeni du Kosovo, Larissa Noury de France, Liana Almyasheva et ShukhratAbdumalikovd'Ouzbékistan, Şefkatİşlegen,TülinAkkaş et Yıldız Arun qui sont venus de Turquie ont été les artistes invités à l’évènement. Le programme de cette manifestation était très riche, les activités suivantes ont été développées : la visite touristique du village Lübbey et la participation à son festival d’art et de culture, la visite du lac de Gölçük qui est un lac de cratère à 970 m d'altitude, la découverte de la ville de Birgi et de ses valeurs historiques, architecturales et de son patrimoine culturel, la visite du musée archéologique de la ville d'Ödemiş, et son centre d’art ethnographique, la visite du complexe de l’architecture antique Agora d'Izmir et de ses quartiers historiques.
Birgi International Art Symposium a été organisé du 7 au 14 mai en Turquie par la municipalité à l'Ödemiş, une ville de la province de Izmir à l’est de Turquie. Le projet de cette rencontre artistique a été réalisé grâceà Madame Yıldız Arun, artiste-peintre et commissaire d’exposition et soutenu par la Direction de la Culture d'Ödemiş. Le symposium de peinture a été organisé afin de promouvoir la cité historique du Birgi, qui est actuellement inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, pour la faire mieux connaitre sur la scène internationale.
«Birgi International Art Symposium
La beauté est une forme de génie et plus élevée en effet que le génie.
Car elle n'a besoin d'aucune explication. » - Oscar Wilde.
Les associations des artistes et des créateurs du monde aspirent à retrouver cette harmonie. Favoriser l’organisation des événements culturels internationaux et la création d’œuvres artistiques pour faire la promotion de la paix, sans parti pris, et en dehors de tout alignement politique est un objectif principal des associations culturelles. Elles visent à utiliser les arts comme outils de promotion pour protéger :la vie (en incluant l’environnement, et les diversités), les institutions d’éducation ; la culture et les droits d’homme…Organiser et tenir des expositions, spectacles, conférences, réunions, assemblées en conformité et aux fins de promouvoir ces buts.
Le concert international « LA PAIX DANS LE MONDE », s’est tenu le 6 avril dernier au Centre culturel ESPACE RONDA au centre de Madrid. Cet évènement a été organisé par la Maison Royale et impériale Rurikovich/ Soberana Casa Real e Imperial Rurikovich et l'association "Cultura sans frontières" : Asociación “Cultura sin Fronteras” ESPAÑA, présidenteMaryiaKubareva avec la collaboration de l'association française "Couleur-Espace-Culture », présidente Larissa Noury, Paris, France. Le Prince George Alvarez Rurikovich est intervenu lors de l’évènement et présenté à l'innombrable public présent ses meilleurs vœux d'amour et de PAIX.
Le programme du concert était riche et diversifié : danses géorgiennes, concerts pour piano, poésie d’auteur, chantes folkloriques et l’exposition de peintures de MaryiaKubareva et Alexandra Maksimova, avec la participation de Larissa Noury et ses expositions virtuelles en projection de vidéos : DÉFILÉ DES "TABLEAUX VIVANTS"www.youtube.com/watch?v=lCtk_kRiXGs; « La couleur est une espérance du bonheur » www.youtube.com/watch?v=VlLpmBHfbYk ; « Mélodies de l'Univers » www.youtube.com/watch?v=70dvNn1jnM0
Plusieurs personnalités ont assisté à cet évènement important : Gloria Rubio, Présidente de Universal Ateneo, Carlos Uriante, directeur Europa Juventudes, Lola Rodriguez, présidente Grupo de ARTE L-V, commissaire d’exposition, Vichy Vecino, présidenteLuxuryEndlishschool, directeurs des galeries d’arts et centres culturels.« Larissa Noury nous a présenté et a défilé elle-même avec de magnifiques modèles qui portaient les robes peintes qu’elle a crééavec le couturier Jean-Marie Pujol, (ancien collaborateur d’Yves Saint Laurent). Ainsi la haute couture et « les tableaux vivants » de Paris ont été présentés à Madrid pour émerveiller le public, et j'ai eu l'honneur d'être invitéeà ce magnifique spectacle… Une soirée pleine de charme, de couleurs et de magie qui restera à jamais dans nos cœurs », -  expliquait dans l’interview Nataly Jorge, actrice,poète, mannequin.
Les interprètes et les participants de programme ont étonné le nombreux public présent par leur professionnalisme.Le centre culturel Espacio Ronda de Madrida ouvert ses portes au public grâce à la collaboration de nombreux partenaires des associations, des particuliers, des artistes, des musiciens et des créateurs de mode, ainsi il est devenu un nouveau centre de programmation internationale de la capitale espagnole. Les nouveaux projets vont également inclure les disciplines nombreuses pour partager la création artistique au niveau international et créer un portrait du temps et la perspective de dialogues originaux. Dans une périodepropiceà la réflexion, les artistes continuent à créer et à rêver le monde à venir. En espérant que "La beauté sauvera le monde », ils sont bien les sentinelles du temps présent.
Plus de photos d'un clic ici > https://www.facebook.com/media/set/?vanity=larissa.noury&set=a.10228540530718500
Nous répétons souvent cette citation. Dostoïevski n’a pas "dit" cela, mais citait plutôt Schiller, l'idole de sa jeunesse. Toute sa vie, il a eu comme un dialogue intérieur avec Schiller, et si pour Schiller la beauté est l’harmonie, le monde sera sauvé quand il s’harmonisera. Pour Dostoïevski la beauté est une force qui dépasse toutes les normes et est donc capable de gouverner le monde.C'est là qu'entre en jeu l'idée de l'éducation esthétique d'une personne par l'influence de l'art, par sa beauté spirituelle et en même temps sensuelle. "Le monde sera sauvé par la beauté", combiné avec la « bonté ».
L’évènement international
« LA PAIX DANS LE MONDE » à Madrid.
« La beauté sauvera le monde ». – Fiodor Dostoïevsky.
Photo 1. Affiche du séminaire.
Photo 2.-4. Dr.HamdiSheibani, Doyen du College of Engineering- Université Abu Dhabi reçoit Dr Larissa Noury et ses œuvres – le livre « Symbolique des Couleurs.  Art, Design, Architecture » et catalogue d’art pour la bibliothèque de l’université.
3.  Professeur associé en Architecture Mohamed Elkaftangui, Dr.Sadeka Shakour, professeur associé & Coordinateur de Programme Design d’Intérieur accueillent Dr.LarissaNouryà Université d’Abu Dhabi.
Photos 6,7,10. Campus de l'Université d'Abu Dhabi et son College of Engineering
Photos 5,8-9. Les rencontres professionnelles lors du séminaire de Dr Larissa NOURY.
Photo 11. Dr Larissa Noury en harmonie avec Dr. SadekaShakour,professeur associé & Coordinateur de Programme Design d’Intérieur, Université d’Abu Dhabi.
Son College of Engineering est la plus grande école d'ingénieurs des Émirats arabes unis.
Il propose une gamme de programmes d'ingénierie et de technologie au niveau du premier cycle et du troisième cycle, avec régulièrement de nouveaux programmes innovants. « Nous visons à favoriser une communauté d'apprenants qui se consacrent à résoudre certains des défis d'ingénierie les plus multiformes - du réchauffement climatique à l'incertitude financière. Nous accueillons les étudiants dans un établissement universitaire spécialement conçu à cet effet et dans des laboratoires à la pointe de la technologie et les préparons à devenir des penseurs indépendants, capables de résoudre les problèmes et des innovateurs en ingénierie. Sous la direction du Dr Aly Nazmy, l'ancien doyen, le Collège a connu une croissance importante. En tant que plus grande école d'ingénieurs d'Abu Dhabi et des Émirats arabes unis, nous offrons une culture d'apprentissage dynamique et de nombreuses opportunités de leadership à nos étudiants, en les dotant de compétences et d'expertise avancées pour leur donner un avantage concurrentiel. En tant que doyen, je me sens humble et honoré de diriger ce Collège - un lieu où l'imagination, l'empathie, l'intégrité et l'intellect fusionnent pour créer, innover et découvrir des moyens qui amélioreront notre qualité de vie. » - a confié Dr. HamdiSheibani, Doyen, College of Engineering. – « Nos professeurs et chercheurs hautement qualifiés s'associent à des universités et des centres de recherche internationaux, nous offrant des programmes de stages efficaces qui permettent à nos étudiants d'acquérir une expérience de travail pratique, de développer leurs réseaux et de trouver des problèmes réels difficiles pour les projets de conception de synthèse. ».
Le mardi 22 mars 2022, Dr. Larissa Noury a donné un séminaire intitulé "Colour Harmony in Art & Interior Design : Theory, Practice, Education". Les étudiants et les professeurs de College of Engineeringont accueilli avec un intérêt professionnel et un grand enthousiasme le workshop, organisé par le doyen Dr.HamdiSheibani et Dr.SadekaShakour,professeur associé & Coordinateur de Programme Design d’Intérieur, Université d’Abu Dhabi.
Dans cet atelier, Dr Larissa Noury a parlé de ses trois livres sur les harmonies des couleurs en architecture et dans les villes du monde. Elle a démontré l’importance des harmonies chromatiques employées dans les civilisations et les cultures différentes. “ Nous avons travaillé ensemble avec Mme Sadeka Shakour en tant que membres de l’équipe d’experts pour créer un nouveau Visual Arts Curriculum, commandé par le Ministère de l’éducation sous la direction de Dr Nasser El-Gilani. Ce projet fut une très belle expérience qui a réuni les professeurs et les experts de différents pays: University of Alberta – Canada, University of Sapienza – italie, Art&Design Hight School Itecom, France, New York - Université Abu Dhabi, Emirates arabes université etc. Et c’est avec plaisir que je reviens aux Emirates pour partager mes connaissances et mes expériences.” – a répondu lors de l’interview aux questions des journalistes Dr Larissa NOURY. La méthode d’emploi des harmonies des couleurs dans le projet du design et architecture interieure a été présentée avec des possibilité d’application d’un logiciel spécifique « Harmonies of Colours ». https://www.youtube.com/watch?v=t6nJlKzvCWE
 
Dr. Aly Nazmy, l'ancien doyen du College, professeur associé en Architecture Mohamed Elkaftangui, Dr Sadeka Shakour et son assistante enseignante-chercheur AyahHammashainsi ainsi que des nombreux étudiant en architecture sont venus assister aux séminaires et ont tous partagé leurs avis professionnels sur le sujet : il est important de faire des choix en suivant une méthode stratégique, en choisissant le style, les palettes de couleurs et les échantillons des matières pour créer un espace harmonieux. L’harmonie dans le design d’intérieur est essentielle pour le confort visuel. Plusieurs perspectives de collaborations possibles sont envisagées dans l’avenir.
Avec cinq collèges offrant plus de 50 programmes de premier cycle et de troisième cycle, des campus à Abu Dhabi, Al Ain, Dubaï et la région d'Al Dhafra, et de multiples affiliations avec des institutions de renommée mondiale, une éducation de qualité véritablement internationale est garantie pour les étudiants.Son actuel président est Ali Saeed Bin Harmal Al Dhaheri.
L'Université d'Abu Dhabi a été classée parmi les 750 meilleures universités du monde (et 6e aux Émirats arabes unis) en 2018. Abu Dhabi est entrée dans la liste des meilleures villes étudiantes cette année, se classant au 92e rang mondial avec deux de ses universités figurant dans le classement mondial des universités QS 2022. Cette année, la ville obtient son meilleur score dans la catégorie des vues étudiantes, basée sur une enquête auprès de plus de 85 000 étudiants.
« L’éducation est comme une lanterne qui éclaire votre chemin dans un impasse sombre » - Zayed bin Sultan Al Nahyan
L'Université d'Abu Dhabi est une université des Émirats arabes unis avec des campus à Abu Dhabi, Al Ain et Dubaï. Elle a été créée en 2003, après trois ans de planification par Hamdan Bin Zayed Al Nahyan et d'autres citoyens des Émirats arabes unis. L'Université d'Abu Dhabi est la plus grande université privée des Émirats arabes unis. Elle s'est engagée à devenir l'institution de choix pour les étudiants de tous les Émirats et plus largement de la région.
Le séminaire « Harmonies des Couleurs en art et Design intérieur » à l’Université d’Abu Dhabi.
Cette magnifique pyramide à degrés composée de six terrasses de 60 mètres de haut est unique, c’est une merveille architecturale vieille de 4 700 ans. Autour d'elle s'étend la plus ancienne nécropole de l'histoire pharaonique quifut bâtie il y a quarante-huit siècles dans le souci d'atteindre la perfection éternelle. Elle a été conçue par l’un des premiers génies universels et célèbre architecte Imhotep à l’époque du pharaon Djéser, l’un des pharaons de la troisième dynastie de l’Égypte antique. C'est avec Djéser que l'architecture des tombes royales prend un nouvel élan, réunissant en un seul complexe deux éléments importants jusque-là distincts et donnant au monument funéraire une envergure inégalée. La tombe royale n’est pas seulement une affirmation du pouvoir terrestre à l’image du palais, mais devient aussi le symbole de la divinité du pharaon.
Non seulement l'architecture est faite de pierres, ce qui représente une véritable révolution technique, mais la forme pyramidale naît, qui montre une conception religieuse différente. Elle ne représente pas les rayons du soleil, mais plutôt un escalier gigantesque facilitant l’ascension de l’âme du pharaon vers le ciel et la descente des dieux vers la terre.
La dépouille et le sarcophage du pharaon se trouvent au fond d’un puits de 28m que recouvre la pyramide et non dans une chambre sépulcrale à l’intérieure de pyramide. Ainsi on peut considérer que Djéser, le premier souverain de la III° dynastie et le précurseur de cette nouvelle conception architecturale a inauguré « l’époque des pyramides ». En effet, la forme choisie de pyramide à degrés reliés à un ensemble des structures est très rapidement devenu l'élément principal du complexe funéraire au point que l'on parlera désormais de « complexe pyramidal ».
L'enceinte de l’ensemble est dotée de quatorze fausses portes, réservées à la force vitale du pharaon (Kâ) qui pouvait les emprunter, et d'une porte réelle, qui donne accès à la cour méridionale à travers une salle hypostyle et un vestibule. C’est la porte d’entrée générale de l’ensemble funéraire Sakkarah.Selon égyptologue Jean-Philippe Lauer, « L’enceinte est bastionnée et ornée de redans et s’élevait à l’origine … à près de 10 m 50 ». Elle mesure environ 545 mètres en longueur et 277 mètres en largeur. Elle délimite une surface d’environ une quinzaine d’hectares.
Les décors extérieurs du mur d'enceinte étaient d'inspiration thinite, c'est à dire qu'ils avaient le même style que ce qui se faisait durant les Ière et IIe dynastie. Ce sont des extrusions de la façade plane, peu profondes et rectangulaires. De nos jours, le style fait un peu penser à de l'art-déco. L'entrée du complexe est unique, elle ne mesure guère qu'un petit mètre de large ou approximativement 3 de haut. Il n'y a pas de porte et on se retrouve dans un couloir d'une vingtaine de mètres et 6,60 de haut. Ce couloir était décoré de 20 demi-colonnes saillantes des murs, 10 par côté. L’architecte Imhotep est le premier à utiliser les colonnes dans l’architecture. Le type d’ordre fasciculé des colonnes est absolument unique dans l’art égyptien. Les traces de couleur rouge témoignent d’un décor polychrome omniprésent.
A l’extérieur du pavillon royal et « des tombes sud et nord » une magnifique polychromie dont subsistait encore quelques traces lors de leurs découvertes devait donner à leur monument assez massif une légèreté étonnante. Le contraste entre le plein et le vide a été souligné par la peinture rouge sur les supports et les couvrements tandis que les bases des façades étaient adoucies visuellement grâce à la représentation de teintures multicolores. Les toitures et les couvrements pour la première fois ont été constitués en bloc de pierres monolithiques arrondies dans la partie inférieure et peintes en rouge pour les accentuer et imiter des poutres en bois. La façade à cobras de la maison sud se différencie par une magnifique frise de cobras sculptés - ces serpents sacrés étaient les protecteurs symboliques de la royauté - la polychromie de la façade présentait une alternance de pilastres verticaux peints en ocre rouge avec le jaune sablé de la brique crue. Les cobras étaient peints en rouge foncé pour assurer un meilleur contraste.
Les parois de la chambre souterraine de la pyramide du Roi Djéser aussi bien que de la chambre de la tombe du sud en granit rose sont remarquablement embellies par un magnifique décor de carreaux en faïence de couleur bleu-vert et turquoise en camaïeu. Les parois en calcaire de cet ensemble de chambres étaient revêtues de délicats faïences bleues « cousues » dans les panneaux en pierre pour imiter les nattes et les clayonnages faites de roseaux. Certains panneaux s’achèvent en forme d’arc (un cintre formé d’un pilier-djed) comme symbole de stabilité et de résurrection. Ce prodigieux décor architectural des chambres et des couloirs imitant le style du palais royal reste un de plus beau exemples de l’art égyptien. Les murs en faïence bleu représentent symboliquement la façade du palais royal à Memphis, les stèles représentent les portes du palais et les faïences qui recouvrent les murs représentent les festivités du Heb-Sed, la fête de jubilé célébrée traditionnellement à partir de la trentième année de règne d'un pharaon.
L’idée de « complexe pyramidal » est exprimée à plusieurs reprises dans les Textes de Pyramides. Il s’agit des formules magiques, en écriture hiéroglyphique, destinées à garantir la vie éternelle de pharaon. Ces formules constituent un rituel, elles décrivent l’ascension du pharaon vers le ciel, son installation parmi les étoiles et son passage à l’état d’Osiris. Ce sont les plus anciens écrits religieux du monde et on les trouve pour la première fois dans la pyramide d’Ounas de Saqqarah.
La pyramide d'Ounas est une pyramide à faces lisses située à côté sud du pyramide de Djéser, à Saqqarah. Elle a été construite par le pharaon Ounas, dernier roi de la V° dynastie. Elle est la première pyramide dont la chambre funéraire est décorée par les plus anciens textes disposés sur les parois. Son nom antique est « La pyramide qui est la beauté des lieux ». La pyramide dominait l'ensemble avec son revêtement en calcaire fin dont une partie est visible au sud du monument. L'accès aux appartements souterrains et à la chambre du sarcophage se faisait au nord. Ces pièces forment l'aspect le plus spectaculaire de l'ensemble funéraire d'Ounas. En effet ils sont couverts de hiéroglyphes formant les premiers exemples de textes des pyramides qui seront plus largement développés encore lors de la VIe dynastie. On en trouve aussi dans les quatre autres pyramides de l’ensemble de Saqqarah : la pyramide de Teti, la pyramide de Pepi II etc.
Les deux grandes salles à l’issu d’un vestibule à l’intérieur de la pyramide d’Ounas sont décorées de motifs astronomiques et couvertes des hiéroglyphes, originellement peints en bleue. Il s’agit de Textes des Pyramides et d’un décor aux motifs géométriques qui donnent l’illusion d’un tissage avec l’emploi de couleurs jaune et rouge. C'est la première fois qu'une chambre funéraire royale reçoit un décor aussi élaboré et comprenant sur ses parois le premier corpus théologique connu de l'histoire de l'humanité. La chambre est couverte par une voûte en chevron décorée d'étoiles à cinq branches jaune or et bleu nuit. Les motifs en reliefs et très tactiles sont gravés sur la surface de la pierre d’albâtre translucide, cela donne à l’ensemble décoratif un effet mystérieux. 
Le sarcophage du roi, sculpté dans un bloc de granit noir, est encore en place le long de la paroi occidentale sur laquelle figure une représentation de l'enceinte à redans du palais.
Tout au long de l’Ancien Empire il apparaît certain au vu des découvertes des textes des pyramides que l’architecture des pyramides répondait à des codes précis, savamment pensés puis inscrits dans la pierre même des caveaux funéraires afin d'ajouter l'écrit éternel à cet écrin de pierre destiné à assurer l'immortalité d'un roi divin.
On découvre à Saqqarah des mastabas, des tombes des hauts fonctionnaires de la Vème dynastie et du début de VIème dynastie (environ 2400-2200 av.J.C.) : les tombes d'Idut, d’Unas ank, de Inefert etc. Les murs sont richement décorés dans ces tombes: l'intérieur de la tombe a révélé une remarquable représentation des différentes scènes de la vie quotidienne ainsi que des scènes de chasse, de pêche, d’agriculture et même du payement de l’impôt. On y trouve une scène rare représentant la naissance d’un hippopotame. Les murs sont richement décorés et colorés malgré leurs 4400 ans : la couleur ocre rouge domine pour accentuer les figures humaines (corps des hommes), mais on trouve également le jaune ocre (pour le corps des femmes), les bleu et vert turquoises, le noir, le blanc, et le rouge violacé. Le style du décor est toujours très fin et même si les couleurs ne sont pas parfois bien conservées, la thématique des sépultures de cette période reste la même : scènes agricoles, d’offrandes, de pêche dans le marais, de chasse aux oiseaux, de vendanges. Parfois sur les stèles, on trouve des hiéroglyphes peints en jaune qui ressortent sur un fond rouge foncé avec une note violacée imitant le granit.
Le pays des Pharaons possède une centaine de pyramides.La première structure jamais construite en pierre de taille l’a été à Saqqarah. Saqqarah est une vaste nécropole de la région de Memphis, la première capitale d’Egypte au sud de Caire, qui s'étend sur près de vingt kilomètres. On sait que depuis le début de la construction en pierre (pyramide de Saqqarah en forme de mastaba) le calcaire des carrières locales était largement utilisé. Avec le temps, avec les acquis, les expériences et les connaissances, les Égyptiens sont arrivés à la conclusion qu'ils seraient en mesure de construire de grandes pyramides lisses parfaites grâce aux qualités du calcaire de Tourah. L'ensemble de la nécropole de Saqqarah est situé à l'orée du désert - à la lisière du monde de la mort. Il témoigne d'une volonté de défier le temps. Elle connait une occupation ininterrompue tout au long de l'histoire de l’Egypte Antique : de ce fait, tombes royales, mastabas, pyramides et sépultures plus modestes en calcaire blonde dorée se côtoient et présentent de nombreux témoignages sur la vie quotidienne de l'Égypte ancienne grâce aux bas-reliefs colorés.  Une des plus célèbres et énigmatique est la pyramide de Djéser, au centre de la nécropole.
Photo 1.Saqqarah est l’ensemble funéraire du pharaon de la IIIè dynastie DjéserNeterietket (2630-2611). Il est connu pour sa célèbre pyramide à degrés. Les décors extérieurs du mur d'enceinte étaient d'inspiration thinite. Le style fait un peu penser à de l'art-déco basique très tendance dans les années 20 du XX siècle. Photo2. La colonnade d'entrée à Saqqarah. Les colonnes étaient peintes en rouge, elles-mêmes stylisaient les supports formés de tiges de roseaux ou des palmes réunies en faisceaux, procédé qui dut être commun en Egypte ancienne. Photo3.-5.Saqqarah : la pyramide à degrés de Djéser, IIIè dynastie. (Site Egypte antique). Imhotep, architecte, prêtre, médecin et ministre du pharaon, construit dans un premier temps un mastaba, sur lequel il édifie une première pyramide de quatre degrés, puis une deuxième de deux. La pyramide de Djéser et le montant en granit rouge du temple funéraire d'Ounas. Photo6. La pyramide d’Ounas comportait trois entrées à colonnes papyriformes.Elle dominait l'ensemble avec son revêtement en calcaire fin dont une partie est visible au sud du monument. Pour couvrir la pierre brute jaunâtre utilisée pour la construction, les égyptiens ont utilisé une belle pierre lisse et lumineuse des carrières de Turah donnant à l’édifice l’aspect d’un diamant. Celle-ci a été décorée par des inscriptions et des bas-reliefs. Photo 7-9. L’intérieur des appartements funérairesde la pyramide d’Ounas. Les énormes blocs de pierres des dalles de calcaire inclinées s’appuient l’une sur l’autre, arrangées dans le style Herringbone(En termes de maçonnerie, on parle d’appareil en arête-de poisson). La décoration est en forme de ciel astronomique et comprend une myriade d’étoiles, immortelles tout comme l’âme du Roi. Ounas a été le premier pharaon à faire inscrire sur les murs de son tombeau ces formules magiques, qui étaient supposées l’aider à ressusciter et monter au ciel. Telles des étoiles de mer, les étoiles à cinq branches représentent probablement les formes humaines simplifiées des rois ressuscités qui recouvrent le plafond de la chambre funéraire. Elles représententOunasaspirantà se transformer en étoile dans le but de monter au ciel.Des formules magiques pour l’au-delà, des dessins et des motifs colorés couvrent chaque centimètre carré de la chambre funéraire. Les parois de la « salle de l’horizon » qu’Ounas aurait eu à traverser présentent des signes et des formules joliment incisés sur la surface de l’albâtre translucide et peintes en bleu. Photo 10.Des murs sont richement décorés dans les tombes de Saqqarah:  la couleur ocre rouge domine pour accentuer les figures humaines (corps des hommes), mais on trouve également jaune ocre (pour le corps de femmes), les bleu et vert turquoises, le noir, le blanc, le rouge violacé. Photo11. A l'intérieur de la pyramide de Djéser, dans les galeries et les chambres souterraines, on trouve les murs qui sont décorés de tuiles de faïence bleu. (Ici : la restitution au Musée d’Imhotep de Saqqarah).Le mur de faïence bleu serait en fait une reconstitution d'un mur de pierres de turquoise qui proviendraient des mines de turquoise de la péninsule du mont Sinaï. Les pierres de faïence bleu auraient été substituées pour camoufler des actes de vandalisme perpétués par des voleurs de momies et de sépultures à l'époque.
« Incarnations des forces vitales, les couleurs forment un langage qu'il faut interpréter. En elle-même, chaque couleur possède une valeur spirituelle et symbolique qui détermine son utilisation tant artistique que matérielle. » - Georges Lannoë-Villène.
Quelque quarante-cinq sièclesaprès leur construction, malgré le nombre incalculable d’études et de recherches qui leur ont été consacrées, les pyramides d’Égypte continuent de susciter notre interrogation sur les techniques mises en œuvre pour leur construction. Mais surtout, elles n’en finissent pas de nous émerveiller.
 
« Les Couleurs de Saqqarah »
La polychromie en art et architecture de l’ancienne Egypte et de toute la civilisation des Pharaons a été caractérisée par des constructions exceptionnelles de pierre à partir de 3000 avant J.-C. L’Egypte est particulièrement riche en minéraux, y compris en pierres de plusieurs coloris et de différents degrés de solidité. On y trouve différentes sortes de carrières. Les carrières de calcaire, de grés et de granit sont dispersées un peu partout le long du Nil, avec une plus grande part près du Sud du delta, du côté du Caire et dans sa partie Sud.
Les pyramides de Gizeh ont été faites avec une pierre locale, directement extraites sur le plateau de Guzeh.Les autres pyramides, celles de Dahchour ou de Saqqarah par exemple, sont également faites en pierres locales, il y a des carrières tout le long du Nil, de Memphis au Sud de Thèbes. Les pierres granitiques proviennent de carrières près d'Assouan, dans le Sud du pays. Les pierres de calcaire fin, très blanches, proviennent de la carrière de Tourah. Tourah est à l'Est du Caire, dans une zone qui est de nos jours fortement urbanisées. Certaines de ces pierres provenaient d'une autre carrière, celle de Massarah. Le grès, lui, provient pour l'essentiel des carrières du Sud de Thèbes.
Ainsi pour ces constructions sacrées a été créé une palette large de nuances de pierres naturelles comme le calcaire blanc, le grès ocre, le quartzite rouge et jaune, le granit rose, la granodiorite noire, le gneiss gris aux veines blanches, la grauwacke verte, la stéatite brune ou marron, et la brèche tachetée veinée de jaune foncé, de rouge et de gris de diverses nuances.Les mines de cuivre et de turquoise dans la péninsule du Sinaï représentaient eux deux sources de matières précieuses pour l'artisanat et l'industrie de l’Ancienne Egypte.
Lors de la création des grandes pyramides et des temples, on utilisa beaucoup de granit rose et gris d’Assouan, de la diorite noire, de la péridotite vert gris, de l’onyx rouge, blanc et noir: cela a formé une polychromie naturelle. Toutefois, suite aux particularités de la religion et du regard esthétique, toutes les pyramides et temples ont exigé un traitement décoratif des surfaces, car cette civilisation était caractérisée non seulement par son amour de la vie, mais aussi par sa croyance en la vie éternelle. Voilà pourquoi ces bâtisseurs érigèrent des monuments prestigieux qui préparaient au départ vers les rives éternelles. Toutes les créations architecturales (temples, mastabas, pyramides, tombes) à travers leurs décorations « exprimaient une symbolique cosmique, grâce à laquelle la puissance terrestre de Pharaon était garantie, entretenue, rénovée par le mouvement éternel des astres, c’est-à-dire l’énergie même qui anime l’univers » (Christian Desroches-Noblecourt, La Grande Nubiade, Paris : Stock.) 
Les Pyramides de Guizeh ont été construites avec les pierres d’une couleur gris-jaune provenant de carrières de calcaire de Gizeh. Les pyramides de Kheops et de Khephren ont été revêtues de pierres fines, le calcaire fin de Tourah et el-Maasara. Le revêtement de la Grande Pyramide a été connu pour son aspect scintillant du blanc/gris métallisé et réfléchissant, car la surface a été recouvertes de pierres de calcaire fin blanc parfaitement polies et lissées. Ses surfaces polies constituaient une sorte de miroir solaire. La pyramide de Mykérinos a été revêtue de pierres en granit rouge et rose d’Assouan jusqu’au milieu de sa hauteur.À l'origine la pyramide était recouverte d'un parement de granite rouge pour les seize premières assises depuis sa base, soit sur plus de vingt mètres de hauteur, puis de calcaire jusqu'au pyramidion qui a disparu et dont on ne sait s’il était initialement en calcaire ou en granite. Il ne reste rien aujourd'hui du revêtement excepté les premières assises couvertes de granite. 
La polychromie du "Temple du Sphinx" qui est en fait un temple consacré au Dieu Rê, le fameux Dieu Soleil des égyptiens est très riche et complexe.  
Construit juste devant les pattes du Sphinx ce temple est de taille et de forme similaire au temple bas du complexe funéraire de Khephren, et il a été construit dans son alignement, comme s’il s’agissait de deux temples jumeaux. Le temple du Sphinx a été construit avec des blocs de calcaire taillés dans la roche provenant du plateau de Gizeh, dans les carrières locales. Ses murs étaient recouverts de blocs de granit rose venant des carrières lointaines d'Assouan, dans le Sud de l'Egypte, et les murs intérieurs l'étaient de pierres calcaires de Tourah, une carrière souterraine à l'Est du Caire qui a la caractéristique de fournir une pierre blanche à la granularité très fine. Les sols, eux, étaient parfois recouverts d'albâtre, une pierre également très riche en nuance gris roses, violacées. Certains murs intérieurs étaient recouverts d'albâtre, voire même de granit rose, pas uniquement du calcaire de Tourah.
Le Grand Sphinx est une partie importante de Guizeh : mi-homme, mi-felin il est représenté sous les traits du rois Khefren, frère et successeur de Chéops. C’est une des plus grandes sculptures monumentales au monde : 57m de longueur totale, 20m de hauteur, largeur maximale de 14 mètres ; hauteur de la tête : 5,20 m. Le Sphinx est comme le gardien du temple face à d’éventuels pillards. Le corps et la tête sont taillés à même le roc (les archéologues évaluent à environ un million d'heures le temps qui a été nécessaire pour sculpter le Sphinx). La nécropole de Gizeh fut abandonnée par les Pharaons durant presque mille ans. Thoutmosis IV a fait désensabler le sphinx entièrement, puis pour le protéger du sable et du vent il a fait construire un mur en briques crues haut de neuf mètres l'entourant latéralement et en arrière. Enfin, pour le mettre en valeur il ordonna de le peindre ; son visage et son corps prirent la couleur rouge vif et la coiffe, les couleurs jaune et bleu. Des traces de peinture sont toujours identifiables sur le visage et le corps du sphinx, et certaines parties des murs protecteurs sont toujours présents avec certaines briques portant le seau de Thoutmosis IV.
On voit combien la notion de couleur pour les anciens Égyptiens ne saurait se réduire à ce que nous appelons aujourd’hui une longueur d’ondes dans le spectre visible : elle inclut tout autant la texture, la durabilité et surtout la lumière que des assemblages multicolores permettaient d’exprimer en tant que telle. Quelque quarante-cinq sièclesaprès leur construction, malgré le nombre incalculable d’études et de recherches qui leur ont été consacrées, les pyramides d’Égypte continuent de susciter notre interrogation sur les techniques mises en œuvre pour leur construction et décoration. Mais surtout, elles n’en finissent pas de nous émerveiller. 
 
Photo1-2. Les principaux matériaux des pyramides sont le calcaire, le granit et la syénite (un granit appauvri), les grés, le bois et la brique crue. Toutes les pierres sont extraites de différentes carrières, le bois, lui, provient de forêts du delta du Nil ou de contrées plus lointaines, au Sud du pays.Le noyau de la Grande Pyramide se compose principalement de blocs bruts de calcaire qui ont été extraits sur le plateau de Gizeh. Ce calcaire, cependant, est de faible qualité et a une couleur jaune brunâtre. Photo3. L’entrée dans la pyramide de Kheops.Pour la construction de la chambre, du granit rose-rougeâtre a été utilisé, car il pouvait supporter le poids des blocs de pierre au-dessus de lui. Photo4. Le plateau d’une surface idéale en pierre noire devant la grande pyramide de Kheops surprend par la coupe idéale des pierres. La palette naturelle environnante est enrichie par les nuances roses et gris noir. Photo5. Les pyramides de Gizeh n’étaient pas de couleur jaune orangé comme on peut les voir aujourd’hui. Elles étaient d’une blancheur éclatante car recouvertes de plaques de calcaire blanc finement polies. Les égyptiens ont utilisé pour les couvrir la pierre de construction une belle pierre lisse et lumineuse donnant à chacun des édifices majeurs du site l’aspect d’un diamant. Celles-ci masquaient le calcaire jaune employé pour la construction. La Grande Pyramide avait une apparence très différente à sa construction, grâce à un revêtement composé de blocs de calcaire poli d’un blanc cristallin ; elle était d’un blanc éblouissant. Aujourd’hui, cependant, la Grande Pyramide n’est plus d’un blanc éclatant, car les blocs de calcaire de Turah ont été enlevés au Moyen Âge. Au cours du 14ème siècle, un tremblement de terre massif a détaché de nombreuses pierres de l’enveloppe extérieure. Les pierres délogées ont été prises par le sultan bahreïni An-Nasir Nasir-ad-Din al-Hasan en 1356 pour construire des mosquées et des forteresses au Caire voisin. Photo6-7. Des pierres de granit rouge taillées couvraient aussi partiellement le bas de certaines pyramides, ici:  Pyramide de Mykérinos. De l’albâtre, une sorte de calcaire très dur, a également servi pour décorer des temples dans la vallée de Khephren par exemple. Ces parements ont disparu, du fait de l’érosion ou de pillages pour construire d’autres bâtiments. Photo 8-9. Le temple du Sphinx et le temple de la Vallée (temple de Granite)de blocs de granit rose venant des carrières lointaines d'Assouan. Photo 10. Détail du sol de temple de Sphinx. Les sols étaient parfois recouverts d'albâtre, une pierre translucide et décorative, également très riche en nuance gris roses, violacées. Photo11. Sur le visage de sphinx on peut voir apparaître certaines couleurs et en particulier la couleur rouge vif de la face, puis une bande bleue correspondant à la bandelette du maintien la fausse barbe. Ces couleurs sont les vestiges de la première restauration réalisée sous le règne de Thoutmosis IV.
Elle fut une civilisation de la couleur, mais aussi de la brillance, privilégiant souvent les jeux de contrastes entre le support mat et l’éclat des vernis sur certaines peintures murales ou mobilières, la magnificence des placages métalliques dans la grande architecture » - « Couleur, matériau et lumière : la pensée chromatique dans l’Égypte ancien », Christophe Barbotin.
Mais le pays des Pharaons posséde une centaine d’autres pyramides et nous découvriront leur polychromie et leurs décors très diversifiés, riches et symboliques. « L’Égypte fut une civilisation de la couleur. Les qualités exceptionnelles de son climat nous permettent d’en conserver un aperçu significatif : objets multicolores, bas-reliefs chatoyants sur les murs des temples et des tombes, des palais et parfois des maisons.
Les pyramides dans le monde ne cessent de fasciner les hommes pour une raison simple : les méthodes de construction et les principes de leur décoration intérieure comme extérieure demeurent sans réponse. Il y a plus de questions qu’il y a de réponses. Quand nous parlons de pyramide, nous pensons tout de suite aux pyramides de Gizeh. Chacun connaît les pyramides de Khéops, Khéphren et Mykérinos, les trois plus grandes pyramides d'Egypte situées sur le plateau de Gizeh.
 
« Les pyramides : couleurs et mystères »
Plusieurs artistes et amateurs d’art sont venus au vernissage du 15 février 2022. Des créations étonnantes en tous genres ont embelli l’espace de Grand Palais éphémère : plus de 2000 artistes, de toutes nationalités et de toutes tendances ont présenté leurs travaux en peintures, sculptures, gravures, photographies, mosaïques, installations, architecture…  Cette année, on pouvait apprécier l’incroyable plasticité des « Tableaux vivants » dans des installations et performances étonnantes, proposée par Larissa Noury.
La richesse de la palette des couleurs a été surprenante et des œuvres dynamiques et multiformes ont été présentées par les artistes des quatre coins du monde. L’ensemble formé par les pavillons du Japon, de la Chine, de la Corée, de la Russie, montrait la grande diversité des tendances créatrices.
Les artistes qui organisent bénévolement cet événement ont retrouvé avec bonheur les amateurs, les collectionneurs et le public de tous les âgesintéressés par un Art Contemporain et vivant après deux ans d’interruption !
Pendant les travaux du Grand Palais, Art Capital a ouvert ses portes au Grand Palais Éphémère et proposé sa grande exposition artistique annuelle au cœur de Paris, sur le Champ de Mars, face à la Tour Eiffel, là où les expositions universelles avaient eu lieu. Le plus professionnel de ces salons, le Salon Comparaisons compte 30 groupes correspondant à autant de sensibilités ou de tendances de l’art actuel :Mémoires croisées, Exubérantes écritures, Expressionnisme, Transposition figurative, Paysage et poésie, Métaphore, Amérique latine, Geste et synthèse, Abstraction lyrique, Singulière sculpture, Visionirique étrange, Art-metis, Chine, Les naïfs, Constructivisme, Sculpture plurielle, Matière et lumière, De l’apparence à l’imaginaire, Résonnances intérieures, Figuration actuelle, Signes et traces, Ostendo, Maxiréalisme, Installations libres, Evocation narrative, Japon, Expression hors normes, La vie en instantané, De l’inertie au mouvement, Ut picturapoesis. Le public a apprécié trouver ainsi confrontés des styles, des démarches et des techniques.
Photo1-3. « De l’apparence à l’imaginaire ». Les peintures et performances de Larissa Noury.
Photo4. « Singulière sculpture ». « Représenter l’étrange Humain dans son environnement, à travers l’image qu’il se donne de lui-même, le cadre qu’il se fabrique et les mythes qu’il s’invente. Mettre en scène les formes spontanées, atypiques et fantasques de ses impulsions premières ». La sculpture de Bruno Lemée.
Photo5. Salon dessin et peinture à l’eau. Les œuvres de Larissa Noury : Peinture et « tableau vivant » présenté par Beta.
Photo6. « Métaphore » . « Du grec métaphora veut dire le transfert d’un sens à l’autre.Des artistes dont les thèmes se réclament de la réalité, mais qui aspirent à donner à leur œuvre un sens autre. » - Moreno Pincas.
Photo7.  « Constructivisme ». « L’abstraction géométrique est le fil conducteur sur lequel vient se greffer tout un vocabulaire où la sensibilité artistique se manifeste par une variété des formes, des matériaux utilisés, des techniques de représentation » -Hernan Jara.
Photo8. Groupe des photographes de l’évènement Artcapital 2022.
Photo9.   « Figuration actuelle » : « On assiste actuellement à une renaissance sous des formes multiples et des techniques nouvelles de l’art figuratif. Les grands Maîtres, riches de leur expérience imposaient un enseignement académique classique, les sculpteurs du groupe « Figuration actuelle » ont su conserver les bases de cette école mais se sont adaptés à notre époque en créant des styles, des formes d’écriture avec beaucoup de liberté et d’originalité. » - Jean Lemonnier. Sculpture d’Arnaud Kasper « La Main-Poisson, où la caresse de l'océan, une invitation à la protection de notre patrimoine culturel et océanographique ».
Photo10. « La vie en instantané » : « L’image capturée est apprivoisée,transformée à l’envie.
La palette des couleurs est incroyablement surmultipliée et donne des possibilités immenses.
Notre manière de faire s’impose. Beaucoup d’Artistes prennent cette nouvelle direction.
Et pourtant dans le fond, l’un de nos sujets de prédilection est toujours et encore l’être humain et particulièrement la Femme, une inspiration éternelle ! » - François Fasnibay.
Photo11.Un groupe des artistes exposants : Arnaud Kasper, Adelaide Andreu, Francois Fasnibay, Larissa Noury, Eric Wickström.
Photos de Laurent Rosemain, HaryGovindin, Roland Sérèmes, Guy Landry , Patrick Nadjar, Philippe Dureisseix, DtPerou , Philippe Langonnet, Larissa Noury Thierry Joly, Jean-Paul Abulker
Visite virtuelle du salon ARTCAPITAL2022 : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10228097165154638&type=3
Art Capital est un evènement annuel d’importance nationale et internationale dans l’art contemporain. Cette année, Art Capital a été organisé à Paris du 15 au 20 février. Dans la tradition historique des salons artistiques, Quatre Salons sont réunis depuis 2006 dans ART CAPITAL, permettant d’exposer des artistes confirmés ou émergents : Comparaisons, Le Salon des Artistes Français, Le Salon des Artistes Indépendants, Le Salon du Dessin et de la Peinture à l’eau.
Art Capital 2022, un evènement artistique mondial à Paris.
«L’art, c’est le plus court chemin de l’homme à l’homme. » André Malraux
Les couleurs en architecture sont nécessaires pour embellir, mettre en valeur, illuminer et séparer les espaces et aussi pour communiquer des stimuli conscients et subconscients. La couleur peut être associée au symbolisme ; les couleurs prennent des significations différentes selon la période artistique, historique ou culturelle ; les couleurs changent face à la lumière; parmi de nombreuses autres caractéristiques. La méthode d’emploi des recherches et des pratiques du projet en design et architecture sur les harmonies des couleurs a été présentée avec des possibilité d’application d’un logiciel spécifique « Harmonies of Colours ».https://apps.apple.com/sk/app/harmony-of-colors/id426672176?mt=12
Le reportage sur le site de l’Université BUE : https://www.bue.edu.eg/news/seminar-on-colours-of-architecture-by-dr-larissa-noury/
www.youtube.com/watch?v=SqSXS-Jne9w&t=1s
https://fb.watch/aSgIcDDLxm/
https://www.facebook.com/media/set/?vanity=Arts.Design.BUE&set=a.472652711244424
Le mercredi 19 janvier 2022, le Dr Larissa Noury a donné un séminaire intitulé "Colours of Architecture". Les étudiants et les professeurs de la faculté Arts et Design du BUE- British University in Egypte ont accueilli avec un intérêt professionnel et un grand enthousiasme le workshop, organisé par le doyen de la Faculté d’Arts et Design, le professeur de l’Architecture intérieure, Monsieur Hassan Metwally.
Il a présenté sa faculté et la bibliothèque, puis a introduit au public présent Mme Noury :
« Larissa est une artiste, designer-coloriste, architecte et photographe. Larissa est titulaire d'un doctorat en histoire de l'art, de l’Université Michel de Montagne, Bordeaux, et d'un diplôme en architecture (Saint-Pétersbourg). Elle est l'auteur de trois livres, « Couleur dans la Ville », « Symbolique. Ville en couleurs » et « Symbolique des Couleurs ». Elle est professeur de Couleur ITECOM Art&Design, à Paris. Elle était chercheuse-coloriste invitée au ScandinavianColor Institute de Stockholm et professeur invitée du département Arts Appliqués à l’Université Bordeaux-3. Elle est actuellement la présidente-fondatrice de l'association internationale CEC « Couleur-Espace-Culture ».
Larissa a participé à plus de 30 expositions individuelles et collectives en France, aux États-Unis, au Japon, en Australie, au Portugal, en Corée, en Espagne, en Inde. La Chine, la Malaisie, l'Argentine et d'autres endroits dans le monde. Actuellement, elle est en Egypte pour exposer son travail au World Art Forum https://www.worldart-forum.com/larissa-noury/ . Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections privées et dans neuf musées du monde. »Dans cet atelier, Dr Larissa Noury a parlé de la relation entre la couleur et l'architecture dans les villes du monde et dans les civilisations et les cultures différentes.
L'Université britannique en Égypte - BUE, est une université privée, un organisme indépendant et laïc à but non lucratif d'enseignement supérieur, situé à El Shorouk, ville du gouvernorat du Caire, Egypte. L'université a été inaugurée le 22 mars 2006   lors d'une cérémonie en présence du Prince de Galles, Duc de Cornouailles. Elle est située à quelque 30 km au nord du centre de la capitale actuelle. Créé en 2005, le campus de l’université avec les différentes facultés s'étend sur environ 44 hectares : Faculté d'Administration des affaires et des Sciences économiques et politiques, Faculté de Droit, Faculté des Arts et Design, Faculté de Communication de masse, Faculté des Sciences de l'Ingénieur, Faculté d'Informatique, Faculté de Puériculture, Faculté de Pharmacie, Faculté d'Odontologie.
Photo 1-4. Campus de l’université British University et le Faculté des Arts et Design. Photo 5. Affiche du séminaire. Photo 6. Logo de la faculté Arts et Design.Photo 7. La visite de la Faculté avec le doyen de la Faculté d’Arts et Design, le professeur de l’Architecture intérieure, Monsieur Hassan Metwally et Dr.OsamaObanar, organisateur de l’évènement.
Photo 8-9. La remise de signe de distinction de l’Université BUE à Larissa NOURY. Photo 10. Dr. Larissa Noury à l’issue du séminaire « Couleurs en architecture » dans le hall principal du Faculté des arts et design BUE.
« La couleur est un outil essentiel dans l’aménagement architectural. Elle joue un rôle important dans la perception d’un espace intérieur et dans l’espace urbain. Au-delà des préférences et de la simple décoration, les couleurs véhiculent des codes qui influencent nos comportements et notre bien-être. »
« La British University in Egypte accueille le séminaire « Couleurs en architecture » de Dr.Larissa NOURY »
Mme Randa a ajouté : "Cet événement est le premier du genre et s’est tenu en Égypte, terre de civilisation et de culture. Après l'événement, plusieurs initiatives artistiques et de développement devraient être lancées, pour mettre l'accent sur le concept de continuité et le développement durable".
Mme Shereen Badr, co-fondatrice et PDG de Sheranda World Art et PDG du World Art Forum, a déclaré : « Grâce à ce forum, nous nous efforçons de rassembler des artistes du monde entier pour diffuser un message qui élève l'importance et valeur de l'art en jouant un rôle clé dans la diffusion et la sensibilisation aux problèmes de société, l'échange d'idées et d'expériences sur un avenir durable dont nous faisons tous partie. Le forum présente des expositions, des institutions culturelles et des artistes de 30 pays. Pendant cinq jours, les visiteurs ont fait le tour du monde en découvrant les différents arts visuels présentés par des galeries et des centres culturels d'Europe, d'Asie, d'Afrique, des États-Unis, d'Australie et du Moyen-Orient. »
Le Forum mondial de l'art (WAF) a proposé un large éventail d'événements artistiques et de tables rondes qui ont permis de discuter sur le rôle de l'art dans la promotion des objectifs de développement durable et la création de partenariats entre artistes et partenaires de développement. La séance de dialogue spécifique s’est tenu le dernier jour et visé à construire un réseau mondial composé d'artistes et de partenaires dans le domaine du développement durable.
Trois tables rondes importantes ont été organisées lors du World Art Forum. Les conférenciers invités comptaient parmi les meilleurs artistes et experts en développement durable au niveau international. A la suite de leurs contributions les carnés des recommandations sont prévues avec plusieurs initiatives importantes en art et le développement durable à mettre en œuvre par WAF.
Dr. Larissa Noury, coloriste en art, design et architecture, lauréat de prix de l’institut suédois pour son programme « Ecologie de la couleur et la stratégie environnementale » a représenté la France et partagé son expérience professionnelle lors de la table ronde avec son exposé « Les Couleurs de la Nature : Art et Haute couture ». Le forum WAF contribuera à la promotion du concept de dialogues culturels pour le renforcement de l'identité culturelle égyptienne et mondiale en soulignant leur capacité de créativité et d'innovation : « Le plus fructueux de tous les arts c’est l’art de bien vivre », - disait Cicéron.
Photo 1 Le Musée national de la civilisation égyptienne est un grand musée (espace d'exposition de 23 235 m2) dans l'ancienne ville de Fostat, qui fait maintenant partie du Caire en Egypte. Le musée a été ouvert récemment et présente une collection de 50 000 objets, présentant la civilisation égyptienne de la préhistoire à nos jours. Photo 4. Lors de l’inauguration du World Art Forum, plusieurs personnalités du gouvernement et du monde diplomatique ont été présentes. Le Ministère de la Culture a été représenté par Dr Inas Abdel Dayem, le Ministère de Planification et du Développement Economique a été représenté par Dr Hala El Said, le Ministère du Tourisme et des Antiquités a été représenté par Dr Khaled Enany, le Ministère de la Migration représenté par l'Ambassadeur Nabila Makram et le Ministère de l’Environnement représenté par le Dr Yasmine Fouad. L’évènement a été soutenu par Dr GhadaWaly, Adjointe au Secrétaire général des Nations Unies et Mme Elena Panova, représentante résidente des Nations Unies en Egypte. Le WAF a été parrainé par Tatweer Misr, Ramsco Trading and Distribution et Oman Air. Photo 6. Mme Randa Fouad, présidente de Sheranda World Art et présidente du World Art Forum et Larissa Nouryà l’issu de la soirée de l’inauguration. Photo7, 14. « La Couleur ! Quelle langue profonde et mystérieuse, le langage des rêves » - cette phrase de Paul Gauguin a été le point d’inspiration dans les œuvres picturales de Larissa Noury présenté au WAF. Ici : « Aurore astrale »et « Printemps éternel ». Photo9.  Les œuvres des artistes, présenté par Biross Design compagny. Photo10. Sculptures de Jorg Van Daele, New Jorg Gallery, Belgique. Photo 11 Mme Randa Fouad, présidente de Sheranda World Art et présidente du World Art Forum et Larissa Nouryà l’issu de la soirée de l’inauguration.Voir + des photos www.facebook.com/media/set/?set=a.10227935642116663&type=3
L'artiste contemporaine, Mme Randa Fouad, présidente de Sheranda World Art et présidente du World Art Forum, a déclaré : « Le World Art Forum approuve le lien entre les arts contemporains et les Objectifs de développement durable des Nations Unies qui est compatible avec la Vision 2030 de l'Égypte. Nous sommes ravis de voir cinq ministères parrainer un événement aussi important, ainsi que nos partenaires, le Bureau de représentation des Nations Unies en Égypte et la Société internationale d'art contemporain de New York. »
« Le but d’un art, le but d’une vie ne peut être que d’accroitre la somme de liberté et de responsabilité qui est dans chaque homme et dans le monde » – Albert Camus,1957
Le magnifique Musée national de la civilisation égyptienne a accueilli en janvier dans la capitale de l’Egypte, la ville du Caire, la premièreédition du plus grand événement international d'art contemporain : le "Forum mondial de l'art" ( « World Art Forum- WAF »). Ce forum s’est déroulé du 15 au 19 janvier 2022.
« L'art est un langage universel : World Art Forum - Caire, Egypte »
« Thierry Mugler, Couturissime » est l’occasion de découvrir ou redécouvrir cet artiste total avec 140 tenues qui n’ont pour la plupart jamais été exposées, ainsi que des vidéos, des dessins, des photos etc. Tour à tour danseur, homme de scène, photographe et créateur, Mugler a marqué son époque par des créations à la fois futuristes et élégantes : « J’aime bien dire que mes vêtements sont pour un futur meilleur, un futur plus joyeux ». Son style distinctif a transcendé les modes et influence encore aujourd’hui des générations de créateurs. Durant l’exposition, le thème de la science-fiction succède à celui du monde animal et aquatique : les super-héroïnes des bandes dessinées, le design industriel et les automobiles futuristes deviennent de nouvelles sources d’inspiration. Comme à l’Opéra, les salles deviennent les actes et révèlent les multiples univers d’un couturier, metteur en scène, photographe, parfumeur et danseur.
« Depuis toujours, je suis fasciné par le plus bel animal sur terre : l’être humain » - selon Mugler le monde animal des reptiles, des insectes, des oiseaux et des papillons et leurs graphismes sont des sources d’inspirations pour les créations fantastiques : « Les Métamorphoses ». Il s’inspire aussi de la science-fiction des héroïnes de bandes dessinées, des armures médiévales, du design industriel et des automobiles futuristes. « J’ai toujours essayé, dans mon travail de rendre les gens plus forts en apparences qu’ils ne le sont vraiment » - cela a donné la collection « Robot ».
En inventant la « Glamazone », une femme chic, fantaisiste et moderne, il défie les tendances hippies, flower power et folklorique, très en vogue dans les années 70. Le look Mugler avec ses figures géométriques aux formes accentuées sont tracés avec la précision d’un dessin d’architecte, comme au laser (ce qui n’est pas très étonnant car on sait qu’au début de sa carrière il prend des cours à l’écoledes arts décoratifs de Strasbourg, pour y poursuivre des études d’architecte d’intérieure). Ainsi est apparu la collection « Belle de jour, belle de nuit ».
Dès la fin des années 1960, la photographie de mode se développe en se substituant aux illustrations pour s’imposer pleinement. L’exposition consacre, dès le deuxième étage, une place de choix à ce média avec de nombreux tirages rares signés des plus grands artistes et photographes de mode, parmi lesquels Guy Bourdin, Jean-Paul Goude, Karl Lagerfeld, Dominique Issermann, David LaChapelle, Luigi &Iango, Sarah Moon, Pierre et Gilles, Paolo Roversi, HerbRitts et Ellen vonUnwerth ainsi que la collaboration fructueuse entre Thierry Mugler et le photographe Helmut Newton. On découvre ainsi la mode mise en scène, et sublimée par la vision d’un photographe : « Le but est surtout faire réagir les gens, de leurs offrir des grands moments et de susciter de grands sentiments… les toucher, les aimer » - disait le créateur. Une salle est dédiée aux réalisations photographiques de Mugler lui-même qui se lance, dès 1976, dans les prises de vues de ses propres campagnes visuelles, jouant du glamour et de la beauté de ses muses, de Jerry Hall à Iman, dans des lieux extrêmes, du Groenland au Sahara, de New York au Versailles, jusque sur les toits de l’Opéra de Paris.
Photo12. Costumes pour la représentation de la tragédie de Macbeth donnée par la troupe de la Comédie Française.
Photo13. Collection « Star et strass ». Mugler révolutionne la mode avec ses défilés-spectacles et ses mannequins vedettes : « J’ai toujours pensé que la mode ne se suffisait pas à elle-même et qu’il fallait la montrer dans son environnement musical et théâtral. » On comprend bien cette démarche car lui qui a pratiqué professionnellement la danse classique et a travaillé 14 ans au ballet de l’opéra de Rhin a développé le nouveau principe des défilés qui sont de grands événements de la mode avec leurs décors, leurs mises en scène et leurs chorégraphies.
Photo 14. Le Parfum « Angel », créé par Muglerbouscule les codes et les tendances de la parfumerie traditionnelle.Le design du flacon en étoile de 5 branchesréalisé par les verreries Brosse et sa couleur bleutée originale sont propices à la rêverie :l’invitation au voyage est omniprésente. La femme-enfant accro aux douceurs se mélange à la femme fatale ultra glamourà la fois futuriste et élégante. En le baptisant "Angel", Thierry Mugler élève les femmes adoptant son parfum au rang de déesses des cieux. Ce parfum est aussi audacieux et innovant que la mode mise en scène par le créateur-styliste. Ici la collection privée de l’auteur.
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Photo1. Le musée des Arts Décoratifs de Paris accueille l’exposition « Thierry Mugler : Couturissime »
grâce au soutien du musée des Beaux-arts de Montréal et de la société Mugler jusqu’à 24 avril 2022. Ici : l’affiche de l’exposition, photo Alan Strutt.
Photo 2-4. Les créations fantastiques : « Les Métamorphoses ».
Photo 5. Galerie des Glaces, Château de Versailles. Dauphine de Jerphanion en « Lamé Glacé » par Thierry Mugler.
Photo 6-8. La collection « Robot ». Thierry Mugler innove dans les formes autant que dans les matières et joue avec le cuir, le métal, le vinyle…
Photo 9-11. La collection « Belle de jour, belle de nuit ». "Ma mesure, c'est la démesure." - confiait le styliste.
Le Musée des Arts Décoratifs accueille l’exposition « Thierry Mugler : Couturissime ». Elle retrace l’univers fascinant du créateur, ainsi que ses multiples collaborations artistiques dans les domaines de la mode, de la photographie, du spectacle, de la musique et du cinéma.  Conçue, produite et mise en itinérance par le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), cette exposition retrace l’œuvre du créateur à l’imaginaire original et qui a su créer un style propre dans la mode, la haute couture et la parfumerie. Ses créations sont ici mises à l’honneur dans les galeries de la Mode Christine et Stephen A. Schwarzman jusqu’à fin avril 2022.
«Thierry Mugler au Musées des Arts Décoratifs  » .
« La plus grande élégance, c'est la vérité.Thierry Mugler » 
Photo1-2. Le surnom de « ville rouge » de Marrakech est bien mérité. Rouge est la couleur de la terre en cet endroit, qui servait et sert encore à la construction d’édifices et de bâtiments dans cette ville du Maroc. De l’orange mandarine au rosefuchsia, de l’ocre profond au rouge vermillon, le rouge Marrakech se prête à toutes les nuances, tous les reflets et vient rythmer le bleu azur du ciel, tranchant sur le vert des palmiers et le blanc des neiges à l’horizon. Le rouge Marrakech s’impose comme une couleur chaleureuse, énergique, pénétrante, rassurante et enveloppante. Il n’en fallait pas moins pour que le Maroc tout entier adopte cette couleur et lui voue une véritable passion !
Photo3. La Koutoubia est le minaret culminant de 77 mètres de haut, qui s’élance au-dessus d’une vaste mosquée, symbole du passé historique de la dynastie des Almohades. Au coucher du soleil, ses flancs au décor divers semblent s’enflammer par une torche gigantesque.
Photos4. La célèbre place Jemaâel-Fna a étéproclamée«Chef d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité» par l’UNESCO en 2001. Elle constitue le centre névralgique de la médina. Cette place principale est un théâtre à ciel ouvert.
Photo5-6. Les pittoresques souks de médina.
Photo 7-8. L'art islamique a trouvé son expression dans les couleurs de gamme froide (bleu, blanc, turquoise, cobalt, vert émeraude etc.) qui animent la composition complexe de formes géométriques. Parfois on voit la présentation stylisée de poèmes calligraphiés ou de végétaux, mettant en valeur la beauté de plantes exotiques car l'islam interdisait toute représentation des êtres vivants,
Photos 9-11. Jardin et villa Majorelle.Aujourd’hui ils appartiennent à la fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent.
Photo12-14. Musée Yves Sant Laurent (réalisé le cabinet d’architectes Studio KO) se lit en façade comme un assemblage de cubes, habillés de dentelle de briques rose foncé, motif qui rappelle la trame de textile.  L’intérieur, telle une doublure de vêtement, est radicalement different: velouté, lisse, lumineux. L’exposition met en valeur les modèles haute couture de créateur mais aussi  son travail ( les esquisses, les croquis, les dessins ) pour le théâtre, les ballets, le music hall et le cinema.
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Arrivé à Marrakech dans les années 20 du XX° siècle, il a créé son atelier villa avec l'architecte Paul Sinoir en 1931. Il a fait aussi planter les plantes exotiques, les essences les plus rares venues de terroir marocain et de ses voyages dans le monde entier
Aujourd'hui l'ancien atelier villa qui représente le plus pure style art déco aux murs d'un Bleu royal exceptionnel (devenu Bleu Majorelle) est transformé en musée d'art berbère. Ce sont deux nouveaux propriétaires de ce lieu magique Yves Saint Laurent et Pierre Bergé qui ont fait le réaménagement de la Villa et du jardin abandonnés après la disparition de Jacques Majorelle en 1962. Dans le jardin les pots de fleurs en couleurs surréalistes, les jeux des ombres de pergolas et des reflets pittoresques dans les piscines et bassins animent et reflètent les innombrables nuances de Bleu Majorelle. Dans l’atelier du peintre on trouve aujourd’hui un musée dédié à la culture berbère : on découvre ici les objets qui attestent de la riche diversité des savoir-faire berbère. Les parures en argent sont créés par les artisans bijoutiers remarquables, souvent itinérants et sont composés d’ambre, de corail, d’amazonite comme l’expression de l’identité tribale et le statut social de la femme qui les porte.
Le musée Yves Saint Laurent ouvert en 2017 se trouve juste à côté du jardin Majorelle. L'architecture moderne en briques rouge s'intègre bien dans l'environnement et répond aux nuances rouges claires de la ville. Le musée rend hommage à la passion du célèbre créateur de mode. Couleurs, textures, coupes, esquisses, ses dessins et croquis et bien évidemment ses robes et leurs accessoires démontrent l’incroyable inventivité du créateur, passionné de haute couture, mais aussi son admiration intacte depuis des années 60 jusqu'à la fin de sa vie pour l'art et le stylisme des artisans marocains. « Au Maroc, j’ai compris que mon propre chromatisme était celui des zelliges, des zouacs, des djellabas et des caftans. Les audaces qui sont depuis les miennes, je le dois à ce pays, à la violence des accords, à l’insolences des mélanges, à l’ardeur des inventions. Cette culture est devenue la mienne, mais je ne me suis pas contenté de l’importer, je l’ai annexé, transformé, adapté ». – Yves Saint Laurent.
Ses multiples nuances de couleurs rouges, roses, orangées qui deviennent flamboyantes sous les rayons du soleil, surtout au moment du coucher de soleil, lui ont valu le nom de la cité rouge. Ses palais, ses jardins et parcs, ses musées et bien évidemment sa mythique place Jemaâ el-Fna nous donnent l’image d'une ville bien vivante, à la fois à l'esprit traditionnel et moderne, avec ses multiples facettes multicolores.
La dominante architecturale qui sert de repère urbain est la Koutoubia avec son incroyable minaret de 77 mètres de haut. Elle se trouve au sud de la médina sur la place principale de la ville, mais aussi sur l'artère reliant la ville nouvelle et la vielle ville. C'est un chef-d'œuvre de l'art hispano-moresque du XIIème siècle. Le minaret de Koutoubia est couronné par 4 boules d'or et construit en grès schisteux. Son volume imposant représente quatre faces différemment décorées, cette architecture servit de modèle pour celui de la Giralda de Séville.
La médina est une cité médiévale fortifiée et densément peuplée datant de l'Empire berbère, avec des allées entremêlées tel un labyrinthe, où les souks (marchés) animés vendent des étoffes, des poteries et des bijoux traditionnels.Les pittoresques souks forment un quartier phare de Marrakech. Ici les innombrables artisans vous proposent sans cesse leurs produits dans une ambiance chaleureuse et sympathique. 
La médina est le cœur historique, spectaculaire, exotique, chargé d'émotions et d’impressions. Mais la nouvelle ville est aussi impressionnante, elle participe beaucoup à l'identité de la cité impériale. Plusieurs restaurants branchés, boutiques, banques, bureaux, bars, avec leur architecture moderne mise en lumière colorée pendant la nuit est un complément important de l'image de la ville Rouge. Le lieu le plus harmonieux, le havre de paix et de verdure où la beauté des plantes exotiques se conjugue avec l'architecture art décorevisitée est le jardin et la villa Majorelle. Cette invitation à la contemplation et à l'envoûtement nous est parvenu grâce au travail du peintre-orientaliste et collectionneur français Jacques Majorelle (1886-1962), fils d’un célèbreébéniste Art Nouveau Louis Majorelle.
« Apprenez à penser en couleur et vous verrez le monde autrement » - Michel Pastoureau
Marrakech est une ville pleine de mille et une couleur.La capitale touristique et historique de Marrakech est une cité impériale. C'est un condensé du Royaume, on peut dire un Maroc en miniature.
« Les couleurs de Marrakech. » 
Cet endroit un peu à l'écart de la civilisation nous permet d'admirer des levers et des couchers de soleil inoubliables : le jeux d'ombres et de lumières nous montre une palette infinie de nuances rougeâtres, mauves, jaunes et orangées.En fonction de la lueur du jour, les dunes sont éclairées différemment. On admire la vertigineuse beauté de la voie lactée lors d’une nuit dans un camp au milieu des dunes.C’est un environnement Zen par excellence : les dunes de Merzouga offrent un cadre idéal pour la méditation.
La ville de Tinghir, (son nom vient du tine ghir, le lieu (tine) de la montagne (ighir, épaule ou crête) se trouve au nord-ouest de Merzouga. Elle est bâtie le long de l'oued Toudra, et entouré par une superbe palmeraie d'une grande densité, une de plus belle au Maroc. La cité étendue nous emmène vers les gorges de Toudra avec leurs anciennes kasbahs, aujourd’hui souvent malheureusement en ruine. Située entre les montagnes du haut Atlas et celles de Saghro, elle est perchée à plus de 1 300 m d'altitude avec des pics pouvant atteindre 3 000 m d'altitude au nord. La rivièreToudgha a creusé au cours du temps ces couches de roches, ce qui a donné naissance à d’impressionnantes gorges hautes de 300 m. De plus, les gorges du Toudgha, souvent appelées le Grand Canyon du Maroc sont les plus belles du sud marocain et sont surtout célèbres pour avoir été le lieu de tournage de nombreux films dont les plus célèbres : Lawrence d’Arabie et Cent mille dollars au soleil. La lumière de la fin d'après-midi est extraordinaire ici : les nuances vertes de végétation font un contraste saisissant avec les montagnes rougies par le soleil et grisées à l'horizon. Le cours d'eau de la rivière avec les reflets de deux gigantesques murailles de granit rose qui font plus de 300 mètres de hauteur ajoute à cette image les effets de vibrations impressionnantes.
Les gorges de Dadès sont encore plus sauvages et ont conservé leur caractère traditionnel berbère. Les routes en serpentine et de plus en plus escarpées permettant de découvrir les paysages à couper le souffle sont bien aménagées pour offrir à nos yeux des vues panoramiques sur une vallée accueillante. Les peintres ici n’ont pas à sortir leurs couleurs pastels. Le sol est rouge et la nature verdoyante. C’est ce contraste du vert et terracote, cette ligne de démarcation très nette entre les terres irriguées et celles qui ne le sont pas qui rend ces paysages si attrayants. Aït Arbi et ses soi-disant fameuses « pattes de singe » sont des formations montagneuses étonnantes. Cette curiosité géologique est particulièrement stupéfiante lorsque le soleil se couche. De l’autre côté de l’oued - les ruines d’une ancienne kasbah, un paysage empreint de mystère et de mélancolie.
Parfaitement bien situé au croisement de chemins menant aux gorges de Dadès, à la vallée des Roses et à la vallée des Oiseaux, Boumalne du Dadès est une ville de 30 000 habitants qui offre des vues absolument superbes sur les rives verdoyantes et les montagnes multicolores environnantes. Les magnifiques kasbahs de toute beauté, aux façades très travaillées, sont richement décorées et souvent utilisées ici pour les tournages de films. L’ensemble Ksar d'Aït Ben Haddout est un des meilleurs résultats de restauration du patrimoine architectural berbère. Ce village permet de rencontrer l’art berbère, pour y sentir la magie des harmonies de l'architecture et de la nature, la sensation de bout du monde : ce village se trouve sur la route qui relie Ouarzazate à Marrakech. Il est possible de se sentir ici hors du temps tellement le site a sauvegardé son identité et son authenticité. L'architecture est en terre, en pisé pour les habitations, pour la mosquée, pour la synagogue, mais aussi pour les murailles qui protègent la cité. Chaque maison, chaque porte, chaque cour intérieure recèle un trésor architectural. Construit en terrasses, l'ensemble de ksar offre à chaque niveau de superbes vues sur le village et sur l'oued de Ouarzazate. Sa situation géographique exceptionnelle, l'architecture en parfaite harmonie avec le paysage lui a valu d'être le lieu principal pour le tournage de célèbres films tels que "Laurence d'Arabie", "Gladiateur", "Games of Thrones » et beaucoup d'autres. Ouarzazate ( ouar signifie en berbère "sans" et zazate "les bruits" ) est le carrefour des routes du sud, c'est une ville connue par son architecture de kasbahs bien restaurées. Le plus grand ensemble architectural est le Taourirt. Il a été parfaitement restauré par l'UNESCO et le centre de conservation et de résiliation du patrimoine architectural. C'est dans cette cité que le film "Astérix, mission Cléopâtre" a été tourné.
L’Atlas est une région la plus étonnante et dépaysante, avec ses canyons rouges de Tissemoumine, les dunes dorées de Marzouga, les déserts noirs et caillouteux de Rissani et de Zagora. Ces couleurs, ces architectures, ces magnifiques paysages, ces villages en pisé harmonieusement intégrés dans l'environnement est un émerveillement sans fin.
Dans les médinas, centre historiques des villes, fondées par les Arabes, on trouve très belles réalisations en architecture particulière (mosquées, minarets, médersas) avec un décor étonnant presque mathématique liée à l’esthétique symbolique de l'islam. Le sud-est marocain et ses dunes de sable à perte de vue créent une atmosphère tout à fait spéciale. Le désertde Chebbi et le village de Merzouga, leurs étendues des rocailles grises et les vagues sans fin aux couleurs changeantes d’ocre rouge aux jaunes dorés sont des paysages presque lunaires.
Les peuples nomades du Sud construisent les larges tentes traditionnelles qui sont recouvertes de bandes tissées en laine ou en poil d’animaux, cousues entre elles. Certaines tentes sont blanches et surmontées de boules dorées, symbole d'autorité.
(Caïdales). L'architecture berbère quant à elle est depuis toujours symbolisée par des constructions de pisé, kasbahs (forteresses habités) et ksour (villages fortifiées), aussi bien qu’agadir (greniers-forteresses). Ces constructions particulièrement fragiles se trouvent dans les vallées du Drâ, Dadès, Ziz, Todra et sont réalisées en pisé, mélange de cailloux et d'argile avec un peu de paille tassé entre deux planches lors de la construction.
Photo1-3. Merzouga et ses majestueuses buttes sableuses du désert nous offre tous les ingrédients d’une expérience extraordinaire. Photo4-5 La ville de Tinghir et les gorges du Toudgha. Photo6-10. Vallée Dades. Tamnalt : Aït Arbi et « les pattes de singe ».BoumalneDades, Région de Souss-Massa-Draa. Photo 11-13. Aït Ben Haddou est un ksar, car il s’agit d’un village fortifié, entouré d’une muraille et qui comporte en son sein des habitations. Une kasbah, ou casbah, est un bâtiment de plan carré qui dispose d’une tour à chaque angle. Le ksar d’Aït Ben Haddou comporte également plusieurs kasbahs. Photo14. Vallée des Roses.
Voir plus des photos “Couleurs du Maroc » : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10221933353623202&type=3
C'est une invitation qui nous fait voyager dans le temps. Elle offre un atout incomparable d'allier à la diversité géographique des découvertes culturelles passionnantes.  Les magnifiques kasbahs et les ksour, leurs pratiques de construction nous racontent l'histoire d'une région au carrefour des cultures berbères, juives et arabo-islamiques .La richesse architecturale des médinas des grandes villes, les montagnes de l'Atlas, les espaces temps mystérieux du désert et les dunes dorées de Sahara, la beauté sauvage de vallées, les contrastes et les camaïeux rouge-rose des villages, accrochés au montagnes escarpées forment une mosaïque extraordinaire de paysages étonnants et harmonieux. Cette diversité des contrastes dans les paysages s'est renforcée par la présence de cultures différentes. La grande variété de styles des arts, des cultures et des architectures est liée avec cette originalité ggéographique mais aussi avec les origines historiques.
« Le seul véritable voyage n’est pas d’aller vers d’autres paysages, mais d’avoir d’autres yeux » Marcel Proust
 
Le sud du Maroc est un pays de rêves, de senteurs, de couleurs, une concentration de richesses et de diversité qui reste encore très peu connu.Ce territoire possède des paysages somptueux et le patrimoine architectural est ici sublime. Les oasis vertes et les dunes sculpturales, les montagnes multicolores et les déserts monochromes, les gorges pittoresques et les vallées créent un cadre spectaculaire pour mettre en valeur l'architecture locale.
« Les couleurs du sud du Maroc » 
En présence de Monsieur le Maire de Mesnil-le-Roi Serge CASERIS, de Monsieur le Maire de Maisons Laffitte Jacques MYARD, Monsieur le Maire de Radepont Patrick Minier, des membres de l’association d’AGHORA ainsi que de nombreux invités et représentants de la mairie, les magnifiques modèles   Perrier Olga, Magalie, Beta,Adélaide, Nathanaël,Vessela, Elisa, Marie, Alicia et Laureen ont magnifiquement présenté les robes peintes. Cette fois les harmonies chromatiques de « Tableaux Vivants » ont été présentées en exclusivité avec les créations sculpturales de Georgine Glaenzer, modiste et styliste.  Diplômée de l’Ecoles des Arts Décoratifs de Paris et lauréate du Salon des artistes décorateurs au Grand Palais, Georgine réalise des véritables sculptures coiffantes à l’esprit haute couture par la pureté de ses formes aériennes drapées et plissées, inspirées par l’art japonais et les créations de Madame Carven. La première collaboration de Larissa et Georgine a été leur performance en hommage à Christo sous Arc de Triomphe emballé. Un film a été créé à cette occasion : www.youtube.com/watch?v=uCHsfhPzQVo.
Les messages dans le livre d’or ont été très encourageants : « Merci mille fois d’être venue jusqu’à nous pour cette belle exposition magnifiée par un défilé qui réjouit les yeux et les cœurs ! Un peu d’âme slave à Mesnil le Roi » - Serge, CASERIS, Maire du Mesnil ; « Ravissement des yeux. Symphonie des couleurs. La beauté féerique se conjugue avec douceur et talent grâce à Larissa Noury dans une présentation sublime » – Jaques MYARD, Membre Honoraire du Parlement, Maire de Maison Laffitte ; « Une belle découverte… Nous sommes enchantés de ce moment de grâce », « Une superbe exposition qui réunit à la fois charme, élégance, fantaisie et noblesse !
Un grand merci pour cette échappée de couleurs et des matières. » ; " Une véritable source de lumière. Merci!", " Magnifique travail, ces œuvres sont magnifiques, lumineuses et laissent la place à la rêverie. Félicitations!" Bravo, quelle inspiration! Quelle lumière! très originale!", ","Toujours aussi magnifique, agréable et reposant, comme il y a trois ans! Continuez, ne lâchez rien, c'est beaucoup de bonheur en contemplation", " C'est magnifique! Et tellement original! Les couleurs sont bien choisis et donnent quelques choses de plus aux dessins qui sont déjà très très beaux!" « Quel beauté vos toiles, Larissa, et vos créations de haute couture… Vos œuvres sont habitées. On voit que lorsque vous créez vous êtes en communion avec l’Univers et le Cosmos, le visible et l’invisible ; on ressort enchanté de cette magnifique ode à la nature … A bientôtpour une nouvelleexposition!», «Tellement d'émotion, de passion, de plaisir de pouvoir porter ces pièces uniques emprunts d'histoire et de culture ou la signature créative des artistes Larissa, Jean-Marie et Georgine. Les tableaux vivants...plus qu'un défilé haute couture, c'est la combinaison de l'art, de la culture, associés à la mode et à la couleur. Milles mercis pour ce cadeau inestimable » - Magalie Grava.
« Larissa n’est pas seulement une créatrice, c’est une innovatrice surdouée qui n’a pas peur de sortir des cadres et de mélanger les genres. Elle s’ancre en effet dans une tendance très moderne en proposant un concept d’œuvres qui entrent en interaction avec le public. Des tableaux tactiles que l’on peut toucher pour mieux les « sentir », aux tableaux vivants, ces robes haute couture qu’elle peint. Dessinées en collaboration avec le créateur Jean-Marie Pujol (Christian Dior, Yves Saint Laurent), ces toilettes incroyablement audacieuses et féminines sont réalisées en résonance avec les toiles de l’artiste. Comme un tableau, chaque robe porte un nom et raconte une histoire, un conte merveilleux… Les tableaux de Larissa sont une véritableodeà la lumière, au sens du spectre solaire et des couleurs qui le compose. Son amour et sa culture scientifique du sujet l’amènent naturellement à le travailler sous tous ses angles, donnant naissance à des toiles intelligemment lumineuses. » - Marion Drack.
Photo1. Mesnil le Roi. Photo 2. Affiche de l’évènement. Photo 3. Le final de défilé en présence de Monsieur le Maire de Mesnil le Roi Serge CASERIS, Monsieur le Maire de Radepont Patrick Minier et Monsieur le Maire de Maisons Laffitte Jacques MYARD. Photos 4 -6. Détails de l’exposition. Photo7-11. Les robes peintes présentées par Marie, Magalie, Beta, Larissa, Adelaide, Nathanael, Vessela, Elisa, Alicia et Laureen et Olga, lors de la soirée du défilé et de clôture de l’exposition.
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Grâce au soutien de la Mairie de Mesnil le Roi, de son Maire Monsieur Serges CASERIS et de l'association AGHORA l’exposition des artistes et créatrices de mode a été une grande réussite. Georgine Glaenzer, NathanaelThuillier, Larissa Noury, Coline Pintrand, Evelyne Soliotopoulos accompagné par Walter Di Mantova ont présenté leurs créations uniques et personnelles.
Les photos des défilés ont complété l’exposition de tableaux tactiles et de robes peintes de Larissa NOURY. Les visiteurs étaient très intéressés et étonnés de voir les robes de haute couture peintes créées par Jean-Marie PUJOL, styliste. Le défilé de mode le 3 octobre organisé dans le cadre de FashionWeek de Paris fut en particulier très applaudi. Les vidéos « Tableaux Vivants: Peinture Tac-tile & Haute Couture » https://www.youtube.com/watch?v=62tdXWegr_g.
Plusieurs photographes professionnels se sont déplacés pour faire de magnifiques photos de cet évènement inoubliable. Sous l'œil, le regard et le flash magiques de Thierry Joly, HaryGovindin, Laurent Rosemain, Guy Landry, Camille Boileau, Corinne Leon, ces instants précieux et ces souvenirs photos resteront à jamais.
L'exposition « l'Art et la Mode » du 25 septembre au 3 octobre à l’espace Brassens de Mesnil le Roi a suscité beaucoup d’intérêt. Cette exposition et le défilé ont montré la continuité des créations des grands couturiers locaux : Louise CHERUIT, qui a eu sa boutique place Vendôme à la fin du XIXè et au début du XXè siècles demeurait au Mesnil ; Le fabricant de tissus Gilbert LESUR, de renommée mondiale dans ce domaine, demeurait au Mesnil ; Jacques FATH, un grand couturier, est né à Maisons Laffitte ; Marcel BOUSSAC, un industriel du textile du renommée internationale et ami de Christian Dior et qui venait beaucoup chez BOUSSAC demeurait à Maisons Laffitte ; MOLINEUX et BALMAIN, avaient leurs maisons de campagne à Maisons Laffitte ; Jeanne LANVIN demeurait au Vésinet…
« L’Art et la Mode »
« La mode est l’architecture : c’est une question de proportions », - Coco Chanel
Mais Corfou, c'est 217 km de côtes, des eaux translucides et une multitude de baies, de criques et de plages. Ici, les montagnes vertes habillées de champs d’oliviers plongent vers des plages féériques à l’eau turquoise. C’est ça Corfou : un paradis en Méditerranée où les contraires font plus que s’attirer, ils cohabitent pour mieux nous séduire…
Dans la partie nord de Corfou se trouvent les plus belles plages dans la baie de Kassiopi, l'interminable plage de sable blond d'Arachavi et le canal de Sidari. La côte nord-ouest est une dentelle de criques et de rochers où se trouve la plage double de Porto Timoni, deux plages dos à dos entre les rochers qui plongent dans des eaux turquoise à couper le souffle. Une particularité que l'on retrouve vers le sud sur la plage de Limniaprès la splendide baie de Paleokastritsa. Un magnifique village et son ensemble de restaurant Belle Vista nous fait découvrir toute cette splendeur de de la scénographie paysagère surprenante.
La côte sud-est est la partie la plus branchée de l'île, notamment à Moraitika : ambiance Beach bar et discothèques de rigueur. Autour de ce lieu on découvre des adorables villages de pécheurs devenus ports de plaisance pour yachts et voiliers. Une pause rafraîchissante dans un cadre verdoyant où on peut trouver également les vestiges de bains romains.
Depuis Corfou, il est possible de rejoindre les îles de Paxos et Antipaxos. Les deux îlots au large de la pointe sud de l'île sont de véritables jardins d'Eden, deux fragments de terre qui se seraient détachés de Corfou sous un coup de trident de Poséidon. Le dieu des mers y aurait vécu, loin des regards, ses amours avec une nymphe dans des eaux volées à la palette d'un peintre céleste. Une invitation à la beauté.
On accoste à Paxos dans le petit port de Gaïos, village carte postale avec ses tavernes traditionnelles, ses ruelles pavées et ses merveilleuses plages aux pieds de falaises spectaculaires. Antipaxos, la petite sœur de Paxos aux eaux turquoise qui n'ont rien à envier aux Caraïbes, n'est qu'à 2,5 km au sud et ne compte qu'une cinquantaine d'âmes à l'année. C’est un lieu de l’exploration des fameuses « grottesbleues » creusées dans la roche et aussi une parfaite l’occasion de plonger dans des lagunes cristallines ou de profiter de plages paradisiaques.
Le lac Korission est un lieu unique et le parfait endroit pour s’isoler sur l’ile. Séparé de la mer par un fin bandeau de terre, ce lac d’eau douce offre un décor apaisant. On peut y admirer lors de jolies balades les oliviers, les orchidées et autres flamants blancs.
Par ailleurs, ce fut le décor d’une scène du douzième James Bond, Rien que pour vos yeux.
Larissa Noury
Toutes les rues pavées ramènent tout naturellement vers la grande esplanade où les Corfiotes aiment se retrouver le soir pour boire un verre à la terrasse d'un des bistrots qui longent le célèbre Liston. Cette allée a été inspirée par la rue de Rivoli à Paris et a été construite par le Français Ferdinand de Lesseps au XIXe siècle. C'est aussi le lieu idéal pour suivre un match de cricket qui se joue sur le gazon vert impeccable, un héritage de l'époque britannique. A quelques kilomètres de la capitale on trouve un de plus fameux site de Corfou, le palais de Sissi. Appelée Achilleion, cette demeure cossue et colorée est entourée de jardins luxuriants. Il s’agit d’un des monuments les plus incontournables de l’île. L’impératrice Sissi s’est fait construire aussi un palais d’été ensoleillé dans le village de Gastouri, au sud de Corfou qui est devenu le musée très fréquenté actuellement.À la pointe sud de la ville de Corfou se trouve l’une de ses attractions les plus visitées. Il s’agit de l’îlot de Pontikonissi, un nom qui signifie « petite souris ». Ce mignon toponyme est bien mérité puisque l’îlot offre l’une des plus jolies vues de Corfou ! De plus, ce lieu est chargé de légendes, plus particulièrement, liées au mythe d’Ulysse.
La ville principale porte le nom de l'île comme souvent dans les îles grecques. L’architecture évoque un melting-pot multiculturel. La ville de Corfou est un véritable musée à ciel ouvert où cohabitent colonnades doriques, bâtisses de style géorgien, façades italiennes, arcades françaises ou maisons coloniales anglaises. Les ruelles du bourg de Kerkyra s'étalent harmonieusement dans le prolongement de deux citadelles monumentales qui s'avancent vers la mer. La ville ancienne et son cœur historique offre un décor paisible de façades aux couleurs pastel rehaussées de volets verts et bleus, des magnifiques petites églises orthodoxes aux intérieurs flamboyantes. Les ruelles sont étroites et on ne se lasse pas de flâner dans le labyrinthe du centre-ville aux faux airs d'Italie.
Surnommé « l’île émeraude », ce joyau méditerranéen une riche histoire. Corfou a connu les influences de l’antiquité grecque, la puissance de la Rome antique et de l’empire Byzantin, mais aussi de brèves périodes d’occupation Normande, Napolitaine, Vénitienne, et même Française sous Napoléon puis russe. Elle a été protectorat anglais de 1815 à 1864 avant de devenir et demeurer grecque depuis. Cette croisée des plus grands empires européens et de leurs cultures ont participé à la création des paysages de l’ile. Francs, Vénitiens, Turcs, Britanniques, chacun y a laissé son empreinte et a façonné de ses mains ce petit bout de terre en mer ionienne. On sait qu’au fil des siècles, Corfou a attiré les marchands, les voyageurs mais aussi les grands écrivains, de Goethe à Lawrence Durell. L’île a aussi été un refuge pour l’impératrice Sissi.
Photo 1-3. Corfou, ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO avec ses ruelles pittoresques et les citadelles monumentales.
Photos 4-5. Palais de Sissi Achilleion. Construit pour l’impératrice d’Autriche, Élisabeth de Bavière, ce palais du XIXe siècle est dédié au héros mythique, Achille.
Photo 6-7.  L’îlot de Pontikonissi, Vlaherna et son monastère, reliée à la terre par une jetée et Pondikonissi et l’église de Pantokrator.
Photo 8-9. Moraitika– beau lieu tranquille du jour et l’ambiance Las Vegas & Beach bar dans la nuit.
Photos 10-11. Baie de Paleokastritsa et Bella Vista.
Photo 12-14. Les îles de Paxos et Antipaxos et les grottes marines à couper le souffle, dont les eaux bleues claires nous laisserent sans voix.
Photo 15-16. Le lac Korission et les innombrables oliviers de l’ile de Corfou.
« Le voyage est une espèce de porte par où on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve » - Guy de Maupassant
 
Corfou est une magnifique île Grecque, une des îles ioniennes aux architectures et paysages riches en couleurs et en contrastes bigarrés. La nature étonnante, les paysages verts et montagneux offrent une grande diversité aux harmonies étonnantes au côté de vestiges historiques et de plages sublimes aux couleurs paradisiaques.
« Corfou : joyau méditerranéen à la palette bigarrée et riche en histoire ».
 
Photo 10. La gravure ancienne qui permet de reproduire l'ambiance qu'il y a eu du 15ème au 19ème siècles, voire au début du 20ème ...Elle n'est pas tout à fait impartiale, car le Grand Météore n’est pas dominé par Varlaam aussi nettement, donc c’est une image allégorique pour accentuer son importance dans l’ensemble.
Photo 11-15. L’harmonie sereine et intemporelle du paysage et de l’architecture sacrée, l’aura de Météores enchante et calme nos esprits par sa beauté sans égale
Crédits photos  Larissa NOURY  : Plus d’images > https://www.facebook.com/media/set/?vanity=larissa.noury&set=a.10227080005366279
Photo 7-9. Le monastère Agios Roussanou a été bâti sur un rocher vertical et imposant. Le complexe de ces édifices couvre complètement la plateforme du sommet de ce rocher abrupt dont il paraît constituer l’aboutissement naturel.De là-haut, le pèlerin et visiteur communie avec toute la majesté et la magie de ce paysage unique des Météores. La beauté sauvage s’équilibre avec la sérénité de l’environnement paysager. Les fresques qui décorent les murs d’une petite et charmante église constituent un des plus brillants exemples d’art post-byzantin. Les fresques appartiennent à l’art de l’école crétoise et elles couvrent entièrement la nef et le vestibule. Aujourd’hui il est devenu un monastère de femmes.
Photo 1. Vue panoramique de Météores. Photo2-6.Le magnifique monastère Varlaam : L'endroit fut occupé à partir du XIVe siècle par un cénobite nommé Varlaam, ce qui explique le nom du monastère. Le monastère fut fondé au XVIe, son église principale qui fut achevée en 1544 comporte de très belles fresques. L'église présente un exemple d’architecture sacrée byzantine avec un bel assemblage contrasté de pierres et de briques, et de coupoles sur tambours. Dédiée à Tous-les-Saints les fresques dont les parois intérieures sont entièrement couvertes représentent tous les martyres orthodoxes grecs, son panthéon, la mise en croix de Jésus, la Dormition de Marie, les fondateurs qui tiennent la maquette de leur projet, et Saint Jean Baptiste. Le musée présente une partie du trésor du monastère, des ciboires, des croix d'or, des icônes très anciennes, des manuscrits enluminés ..
Ces peintures perpétuent avec succès la tradition de l’art post-byzantin dans ce qu’elle a de meilleur.
Les Saints Météores constituent une cité de pierre hors de ce monde, composés de plus de mille pitons rocheux dans la partie occidentale de la Thessalie, entre les chaînes montagneuses du Pinde et les monts Antichasia. Aucune description humaine ni aucune image ne peut décrire leur beauté imposante. Les Saint Météores sont reconnus en tant que site protégé et sauvegardé de l’humanité pour leur témoignage chrétien, historique, architectural, artistique, pictural, hagiographique et plus généralement culturel et géologique.
Les Météores, bâtis dans des conditions impossibles, sans route d'accès carrossable, abritent encore des habitats humains à la fois permanents et précaires, devenus vulnérables sous l'effet de l'évolution. Le filet, dans lequel on hissait grâce à un treuil les pèlerins intrépidesà la verticale de l'à-pic des 373m par lequel le monastère de Varlaam domine la vallée, est le symbole de la fragilité d'un mode de vie traditionnel, menacé de disparition.
Si l’extérieur des ensembles de monastères reste sobre, intégré de manière très subtile et nuancée dans le paysage naturel, les murs des katholikons (l’églises dans les monastères) sont couverts de peintures et de fresques riches en polychromie. On peut remarquer qu’à l’intérieur beaucoup de couleurs à base de minéraux et leurs compositions contrastées ont été utilisées, et qu’il est très intéressant de voir comment ces fresques peuvent raconter des histoires.
Les Météores sont inscrits sur la liste du Patrimoine mondial pour les motifs suivants : Ces monastères "suspendus dans les airs" (c'est le sens en grec du mot Météora) représentent une réalisation artistique unique ; la transformation d'un paysage en lieu de retraite, de méditation et de prière par l'architecture trouve ici une de ses expressions les plus fortes ; c'est aux Météores que se définissent, avec les fresques exécutées en 1527 par Théophane le Crétois, les caractéristiques iconographiques et stylistiques essentielles de la peinture "post-byzantine", dont le rayonnement fut immense et durable ; les Météores offrent un exemple éminent de types de constructions monastiques illustrant une période historique significative : celle des XIVe et XVe siècles où l’idéal érémitique des premiers temps du christianisme a été remis en honneur tant par les communautés monastiques d'occident (en Toscane par exemple) que par celles de l'église orthodoxe.
Ces fantastiques rochers vertigineux accueillirent, probablement dès le XIe siècle, des ermites et des anachorètes. Vers la fin du XIIe siècle, une petite église, la Panaghia Doupiani ou "Skete", fut construite au pied de l'une de ces "colonnes du ciel" où vivaient déjà des moines. Au XIVe siècle, époque d'instabilité politique et d'insécurité en Thessalie, les monastères se juchèrent systématiquement sur ces pitons inaccessibles. Vers la fin du XVe siècle, cette nouvelle Thébaïde regroupait 24 monastères. Le déclin ne s'amorça qu'au XVIIe siècle. De nos jours, seuls six monastères abritent encore des communautés religieuses :Aghios Nicolaos,AghiosStephanos, Aghia Trias, Varlaam et le Miteoron/ Grand Météores ou Monastère de la Transfiguration, Roussanou.
Enormes masses résiduelles de grès et de conglomérats dégagées par l'érosion fluviale au cours de l'ère tertiaire puis sculptées par une série de séismes qui ont multiplié failles et fractures, isolant des pitons aux parois escarpées, les Météores surplombent abruptement la vallée du Pénée et la petite ville de Kalambaka en Grèce. Leur palette est riche et s’enrichit de couleurs ocres, jaunes et rouges en plus d’un vert particulièrement vif.
« Dieu redémarre le monde à travers des astéroïdes et l'installe avec des Météores ».- A. Bequiri
Sereins, spirituels, magiques, extraordinaires, époustouflants, immenses, inspirants, impressionnants…Voilà quelques mots que l’on utilise pour décrire les Meteores. Ils sont une huitième merveille du monde,de surprenantes « colonnes du ciel ». Découvrir les Météores est une expérience unique car ils associent la grandeur de la nature à l’histoire, l’architecture sacrée, et illustrent l’inlassable désir humain de se connecterau Divin.
« Météores : harmonie du paysage et de l’architecture sacrée ».
Le public parisien ainsi que les nombreux touristes et visiteurs ont été invités à une exposition de peinture à Paris "Magie à Paris : Couleurs et Saveurs slaves". Le 20 juin 2021 fut la journée de sa quatrième édition. Les collectionneurs et les amateurs d'art de Paris et d'ailleurs sont venus voir cette exposition qui a eu lieu à La Cantine Russe qui fait partie du célèbre conservatoire Serge Rachmaninoff au 26, Avenue de New York de Paris. Le conservatoire Serge Rachmaninoff a été fondé en 1923 par les anciens professeurs des conservatoires impériaux de Russie, émigrés à Paris à la suite de la Révolution de 1917. Elle comptait parmi eux le pianiste et compositeur Serge Rachmaninoff, qui en est devenu le premier président d'honneur, le chanteur Fédor Chaliapine, le compositeur et chef d’orchestre Alexandre Glazounov etc.
Les artistes qui exposaient sont slaves d’origine (russe, biélorusses, ukrainiennes) : Svetlana Korol, Victoria Yakovin, Natalia Naida Tikhon, Alina Tagzieva, Larissa Noury, Julia Gontcharova.Elles sont venues de pays différents, et vivent maintenant toutes en France. Chacune de ces artistes est venue en France des raisons différentes et elles se sont rencontré à Paris. C’est dans cette ville d'art et de création, une ville magique, révélatrice des talents,qu’elles ont développé leurs techniques uniques de peinture.  Marcel Duchamp définit l'art ainsi : "Je crois que l'art est la seule forme d'activité par laquelle l'homme en tant que tel se manifeste comme véritable individu. … parce que l'art est un débouché sur des régions où ne domine ni le temps, ni l'espace."
En effet, l'art est le propre de l’être humain puisque c'est une activité qui fait appel aux sens, à l'émotion, à l'intellect.  Beaucoup de domaines concernent l'art : l'architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la poésie mais aussi la danse, le cinéma, le théâtre, la photographie etc.
L’exposition de peinture "Magie à Paris : Couleurs et Saveurs slaves" a présenté une large palette des créations des artistes slaves : huile sur toile, acrylique, gouache, aquarelles, les robes, les éventails et d’autres objets peintes. Les œuvres de ces styles différents ainsi que les performances artistiques ont été bien appréciées par le public. « Un artiste ne peint jamais la vie telle qu’elle est. Il la colore de sa personnalité et de ses désirs » -, disait Lucille Roy. Pour la clôture de l’évènement une belle soirée de couleurs, de saveurs et de musiques et de danses slaves a eu lieu dans l’incontournable restaurant « La cantine russe ».
Photo 9. Le gâteau unique et artistique pour l’évènement exceptionnel. Photo 10. Svetlana Korol :«Voilier perdu». Photo 11. Une incroyable performance de Yulia Gontcharova qui s’est transformée en Joconde de Leonardo da Vinci, qui aurait fui le musée du Louvre. Photo 12. Victoria Yakovine. “Sœurs” Photo 13-14. « La cantine russe » du Conservatoire Rachmaninoff et une de ces affiches: « Aimer et étudier un grand art de la musique. Il vous ouvre le monde entier des émotions, des passions, des pensées. Il peut vous faire spirituellement plus riche. Grace à la musique vous trouverez les nouvelles forces auparavant inconnues. Vous verrez la Vie dans les nouvelles nuances et couleurs. » - Dimitri Chostakovich.
Voir les photos de l’évènement :https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10226712872948198&type=3
Photo1. Les artistes de l’évènement "Magie à Paris : Couleurs et Saveurs slaves". Photo2-3. Larissa Noury présente ses créations : une robe peinte et peintures tactiles -triptyque « Crépuscule » . Photo 5-6.Alina Tagzieva : « L'Ame d’une fleur » et « Sérénité ». Photo 7-8. Natalia Tikhon Naida : « Délice du paradis et Conte d’Hiver ».
La reprise des activités culturelles dans la ville Paris est marquée par l’ouverture de plusieurs théâtres et musées. Après six mois de fermeture, les galeries viennent de rouvrir partout à Paris et en France. Plusieurs expositions offrent une excellente transition entre la vie d'avant et celle qui redémarre.
«Exposition "Magie de Paris: Couleurs et saveurs slaves"
« Tout artiste est précieux car il apaise le monde humain et enrichit les cœurs des hommes » - NatsumeSuseki
Les
Bavards
du
Net 2.Fr
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En 2011 elle représente ses livres sur l'étude chromatique au congrès mondial du design CIPED, Lisbonne et de l’AIC - Association Internationale de la Couleur à Zurich, Suisse, en 2012 en AFSF, Californie et en Chine, Ningbo. En 2013-2015 - Oaxaca, Mexique, «Image of the city: colours, cultures, architectures», Newcastle, Great Bretagne «Colour harmony in an architectural environment», Tokyo, Japon, et Portland en Oregon, Etats Unis. Musées & Collections publiques, MS Museum of Art, Mississippi, USA, Ningbo People’s Museum, Chine Kyungpook National University Art Museum , Dae-Gu, Corée du Sud, Musée d’Art Contemporain, ХIAO, Malaisie, Musée Yavorov, Bulgarie, Musée d’Art Moderne, Paris, GLF, Grats Décor, San Francisco, Etats Unis. DISTINCTIONS : Prix de création, Centre National du livre pour le projet « Couleurs. Cultures. Territoires » (Ministère de la Culture, Paris, France), 2013 Médaille d’Argent, Société Académique « Arts-Sciences-Lettres »( Paris, France), 2012. Grant du Gouvernement Français, Ministère des Affaires Etrangères (Paris, France), 1998 Grand Prix de la Fondation Georges Soros (Etats-Unis), 1997 Grand Prix de l’Institut Suédois (Stockholm, Suède), 1995 Grand Prix de l’Union des Architectes de Russie (Moscou,Russie), 1991.
Larissa en tant que peintre, cherche à créer une harmonie de lumières tactiles et de couleurs immatérielles. Son style est original et inventif. « Les couleurs sont l’expression de la profondeur ramenées à la surface des choses. » - Ce point de vue novateur sur la couleur initié par Paul Sézanne est mis en avant d’une autre manière dans les toutes les nouvelles compositions de Larissa Noury. Les grands tableaux aux couleurs éclatantes, dont le rythme et les textures pourraient nous évoquer la nature, le ciel, les éléments, à l’image de ceux de Monet, Kandinsky ou Zao Wou-Ki, nous font découvrir par la peinture une nouvelle logique de la beauté, construction de lumières tactiles et de couleurs immatérielles. 
L’Art pour moi est un moment de l’extériorité. Rappelez-vous : « on ne voit bien qu’avec le cœur » (Antoine de Saint-Exupéry) ? Je n’ai pas de couleur préférée dans ma palette, comme je n’ai pas de lettre préférée dans un alphabet. Par contre, ce que j’aime, ce sont des phrases construites composées à partir des nuances chromatiques, qui ont du sens et sont riches en harmonies. « Mes couleurs sont opaques ou irisées, mâtes ou brillantes ; elles se chevauchent et s’interpellent pour évoquer le sentiment du flottement dans un espace à la fois universel et personnel. Au-delà du temps mais pleines d’une énergie qui vient de la nature, mes couleurs architecturées créent pour vous une atmosphère du bien-être. L’intelligence de la couleur est une espérance du bonheur. »-
Larissa Noury
Larissa Noury est Artiste-peintre et architecte-coloriste, Auteur Docteur en Arts (Bordeaux, 2004) et Architecture (Saint-Pétersbourg, 1988). Présidente-Fondatrice de l’association « Couleur-Espace-Culture » . Membre de la Société Académique d’Education « ARTS-SCIENCES-LETTRES » Membre du СFС - Centre Français de la Couleur. Membre de l’Association Internationale de la Couleur Membre de la Fondation Taylor International Women Artists Council - INWAC, ART GROUP INTERNATIONAL. Publications : « La couleur dans la Ville », Préface Michel Pastoureau, Editions « Le Moniteur », 2008 « Symbolique. La ville en couleurs », Editions « Huitième jour », 2010 « Rêve d’Harmonie », art-vidéo, 2009 Logiciel «Harmony of Colors», publié sur MAC APP STORE, 2012 traductrice-illustratrice du livre de Linda Bastide « 13 pas sur les pavés bleus de Montmartre » en 2014, publié par l’édition Flam. En 2009 elle présente ses livres et les créations artistiques en Australie, Sydney et en Malaisie, Penang et Kuala Lumpur. En 2010, elle représente la France au musée BUND dans le cadre de World-expo « Better city – Better life » à Shanghai, en Chine, à Madrid AF de l’Espagne, ensuite à Portland, Oregon, et à San Francisco, Californie aux États Unis d'Amérique, en Argentine, Mar del Plata, etc...
Qui est Larissa Noury ?

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