Le Service Municipal Enfance et Jeunesse (SMEJ) de Port-La Nouvelle a fait appel au monde fantastique de Disney pour accueillir les enfants de maternelle pour les vacances de juillet et août 2022. Le mois de juillet a d’abord confronté les enfants avec les méchants qui croient que le monde leur appartient. C’est avec des poussières magiques concoctées avec la fée Clochette qu’ils parviendront à neutraliser la pagaille causée par Cruella d’Enfer, la sorcière Ursula et les ambitions démesurées de Jafar. Ce fut ensuite une immersion dans le monde de Toy Story en faisant connaissance avec les jouets qui peuplent la chambre d’Andy : shérif Woody, le ranger de l’espace Buzz l’Eclair, me et mme Patate, Zig-Zag et Jessie. Pour découvrir le monde d’Aladdin, quoi de mieux que d’aller voir le spectacle de marionnette sur le front de mer. Le mois d’août est consacré à Alice aux Pays des Merveilles avec la Reine de Cœur, le chat de Cheshire, le Chapelier Fou, le Lapin Blanc, … pour enchaîner avec la magie de Peter Pan évoluant parmi la fée Clochette, Wendy, le grand chef indien et le crocodile Tic Tac.  Pour terminer en beauté les vacances, les enfants prendront la direction de Disneyland à Paris .
Reportage William Barbier
Port-La Nouvelle SMEJ :  La magie de Disney au programme des loisirs
Parole à Rémi Récio, sous-préfet de Narbonne, s’appuyant sur le fait que les Romains avaient raison puisque la Nautique était à Narbonne ce que l’Ostie était à Rome à l’époque : « Vous qui arrivez du pays où l’on chante la Brabançonne, vous qui faites parties des plus grands mains du monde, vous êtes chez vous, ici avec nous, pour porter ce projet, et c’est avec vous que nous le mènerons à bien ». Le sous-préfet ne peut cacher son attachement à la Méditerranée « qui ne connaît pas de ligne d’horizon, c’est le prolongement du ciel » et s’est lancé dans une version catalane du nom du consortium Nou Vela « vous le prononcez avec un accent du nord de la Loire, avec un accent plus catalan il prend le sens de Voile Neuve, ce qui est porteur d’un projet positif et d’un avenir couronné de succès », et de conclure que le projet de l’extension du port sera à mettre dans les grands événements historiques. Rémi Récio représente l’Etat, rappelant les chiffres avancés par le premier ministre Jean Castex lors de sa récente visite : 32 millions € d’investissement à Port-La Nouvelle (première tranche des travaux de la digue nord), à savoir 30 millions sur le plan de relance et 2 millions au titre du plan littoral 2. Le sous-préfet rejoint les préoccupations du maire Henri Martin selon lesquelles Port-La Nouvelle est un port, mais c’est aussi une commune attachée à son propre développement domestique, soucieux de l’environnement et du respect de la filière pêche et on aspect économique, « l’Etat est avec lui, la tête dans les étoiles, les pieds à Port-La Nouvelle ».
Une phrase de la présidente de Région Carole Delga résume parfaitement le sérieux de l’engagement des acteurs dans ce projet titanesque : « Ceux qui ne lisent pas le premier article d’un contrat sont ceux qui ne comprennent rien aux contrats », tout en coupant le ruban de l’inauguration, prélude à d’autres rubans que le maire Henri Martin comptent bien couper durant son mandat (et le prochain ?)
Reportage William Barbier
Parole d’abord à celui qui accueille toute la délégation, le maire Henri Martin, qui est revenu sur toute la chronologie depuis la genèse du projet, concluant par « Depuis notre indépendance en 1844, nous aimons être pionniers, et faire cohabiter l’homme, la nature et l’économie, nous marquons l’histoire avec ce port résolument tourné vers l’avenir avec entre autres l’éolien offshore et l’hydrogène ». Mais la lucidité doit rester de mise « soyons vigilants pour ne pas répondre aux sirènes et à la facilité d’une course à la rentabilité et au tonnage, ambition et sagesse doivent cohabiter ».
Parole à Yann Wickers, directeur général Semop Nou Vela, s’adressant à Didier Codorniou, 1er vice-président de la Région et président du CA Semop PLN : « Didier, je sais qu’on va pouvoir compter sur toi, le projet de la Semop est la création d’infrastructures portuaires qui seront prêtes à l’exploitation en 2026, de nouveaux terminaux, des conditions nautiques améliorées, avec pour objectif de développer Port-La Nouvelle comme pôle logistique pour l’éolien flottant en Méditerranée, par l’importation de produits volumineux, par l’hydrogène vert, repositionner Port-La Nouvelle comme un port majeur pour les vracs liquides, par la disponibilité d’un espace foncier de 70 ha pour l’activité industrielle en liaison avec le port, et aussi par un des meilleurs réservoir en vents en Méditerranée ».
Parole au Belge Steven Bouckaert, DG de DEME NV : « Ce n’est pas quelque chose qu’on peut faire soi-même, il fut le faire en équipe, c’est multi-dimensionnel, multi-secteurs, on a besoin de tout le monde, et le processus vécu jusqu’à aujourd’hui est multi-disciplinaire ». Evoquant les problèmes actuels au niveau énergétique, des approvisionnements et de la crise agricole mondiale, Steven Bouckaert assure « quand on regarde ces problèmes dans le monde et en France, les réponses se trouvent dans ce port de l’avenir qu’est Port-La Nouvelle ».
Parole à Annabelle Viollet, directrice régionale Occitanie de la Banque des Territoires : « La Caisse des Dépôts est une institution plus que centenaire, être partenaire à long terme, nous savons ce que c’est, et si nous nous engageons aux côtés des acteurs de la Semop, c’est pour rester et accompagner son développement sur du long terme ».
Parole à Didier Codorniou : vice-président de la Région et président du CA Semop PLN« En écoutant Henri Martin, je pensais à 2001 où, avec lui, nous avions eu un débat sur l’éolien ancré proche du rivage, et j’ai souvenir que lors d’une réunion houleuse avec le groupe Total-Elf-Fina, nous nous étions levés en déclarant que tant qu’il n’y aura pas des éoliennes loin en mer, ils n’auraient pas l’accord des maires de Gruissan et de Port-La Nouvelle ». Impossible pour Didier Codorniou de ne pas faire allusion au rugby « j’aime jouer en équipe, et une belle équipe est composée de grands talents, comme celui de la présidente de Région Carole Delga qui aime relever l’ensemble des défis ».
En prélude aux discours officiels ce 23 juin au port de Port-La Nouvelle, l’introduction protocolaire donnait le ton :  « un an après sa constitution, nous inaugurons la SEMOP (Société d’Economie Mixte à OPération unique) à qui a été confié l’extension du port, sa gestion et son développement ; ce port va véritablement changer de dimensions, sa superficie va tripler, le trafic sera quatre fois plus important en 2030, et surtout le port aura réussi une mutation formidable en devenant l’emblème de la transition écologique en France et en Occitanie ».
Port-La Nouvelle :  Le plus grand projet portuaire après le Havre il y a 20 ans
Plus loin, devant la Villa Métisse et le restaurant La Plage, un musicien d’apparence très décontracté, disposant d’une bande son d’accompagnement instrumental et de trois guitares : et voilà que « Mr Fly » se métamorphose en Jean-Louis Aubert au micro et en Louis Bertignac à la guitare, le groupe Téléphone c’était lui tout seul. Devant la Pena, une foule compacte savait qu’elle ne courait aucun danger devant le spectacle de musiciens d’«appellation hors de contrôle Corbières », déjantés et arborant des déguisements massacrant tous les codes de la haute couture, le groupe  ACC Rockbières mettait le feu au front de mer. Sur le grand podium de la place St Charles, « sévissait » le groupe rock Brain Slices (textuellement tranches de cerveau), sachant qu’il ne fallait pas nécessairement avoir des neurones et des tympans blindés pour apprécier la qualité du son rockabilly sauvage généreusement envoyé par le chanteur, les deux guitares, la contrebasse et la batterie.
Reportage William Barbier
Face à l’Hôtel Méditerranée, le podium de Why Not a offert un spectacle en trois parties, la petite Zoé (Disco Toon’s) lançant les premiers décibels chantés haut perchés dans le micro. Ses parents, Yoann et Anne-Marie ont ensuite enchaîné en quatuor avec les piliers de Why Not, Alain Rigolet, professeur de musique et de chant à Narbonne, et le chanteur nouvellois Laurent. Et enfin, Alain et Laurent ont commencé à démontrer avec talent et complicité qu’ils pouvaient, à deux, chanter Les Vieilles Canailles du trio Johnny Halliday, Jacques Dutronc et Eddy Mitchell. Face au Mazagan, sobriété en matériel technique et passion musicale sont les ingrédients d’Alain Auger qui a été le premier à répondre à l’invitation du service animations à la recherche d’amateurs.
La première fête de la musique est née le 21 juin 1982 en partant du constat que 5 millions de personnes jouent d’un instrument, et qu’elles restent à découvrir. Nommé directeur de la musique et de la danse par Jacques Lang, ministre de la culture, Maurice Fleuret décrète que « la musique sera partout et le concert nulle part ». La fête de la musique de Port-La Nouvelle a totalement répondu aux critères d’une telle fête selon lesquels les musiques se rencontrent dans une totale et authentique liberté sonore.
Port-La Nouvelle :  Canicule et petite laine, le yarnbombing est de retour
Le maire est arrivé à l’inauguration avec un quat d’heure d’avance, déjà largement au courant du thème de ce yarnbombing car un impressionnant ouvrage en tricot sur le fronton de la mairie indiquait « le Père Noël en vacances ». Pour son cadeau, Sylvie Lucion lui a offert un « chapeau de Noël », pompons blancs sur bande rouge car « vous êtes notre Père Noël toute l’année, il faut vous protéger même en été ».
il faut vous protéger même en été ». Si les tricoteuses ont pu faire la démonstration de leur savoir-faire avec de la laine, elles ont précisé auprès du maire que tous les pompons sur les arbres étaient l’œuvre de résidentes du centre hospitalier Francis Vals, l’occasion pour le maire de féliciter cette nouvelle génération de « pom-pom girls ». Une question taraudait quand même le maire, y aura-t-il cette année à nouveau des petits bonnets tricolores sur les plots métalliques face à la mairie. Rassuré sur ce point, le maire a invité la joyeuse équipée à prendre l’apéritif au bureau des animations.
Reportage William Barbier
Le maire Henri Martin inaugurera le yarnbombing de sa ville ce mardi 21 juin 2022 à 11.30 heures, le thème de cette année lui étant dévoilé à cette occasion par la présidente Sylvie Lucion. Une occasion pour le public de (re)découvrir cet art de rue richement coloré, et à nouveau pour le maire un moment où il craindra le pire lorsque les tricoteuses lui offriront un cadeau personnel confectionné avec leurs doigts de fée.
Les tricoteuses de l’association De Fils en Aiguilles récidivent dans l’habillement du matériel urbain aux abords de l’Office de Tourisme.
Port-La Nouvelle :  De la musique partout et pour tout le monde
Toute la semaine, les CRS-MNS ont été confrontés avec le maximum de cas qu’ils pourraient rencontrer pendant la saison, avec pour exemple, en matinée du 8 juin, une victime décédée sur la plage, et aussi un secours à personne avec tiers en cause (accident causé par un autre individu). Forts de leur expérience et de cette nouvelle formation, les 18 CRS-MNS évolueront sur la zone sud du bassin méditerranéen. Il faut noter que les stages des autres zones sur la côte atlantique sont spécifiques à l’océan.
Gérald Prieto, référent national CRS-MNS pour le syndicat Alliance précise « on axe notre travail au point de vue policier(procédures maritimes, évolution des réglementations, arrêtés municipaux), ainsi que sur la partie sauvetage en mer et la gestion des secours ». A cet effet, la matinée du 8 juin fut consacrée à un exercice en simulation complète à partir d’une ouverture de poste jusqu’à la procédure administrative en fonction de l’action de secours mise en place.
En général, un stage est une période de mise en situation au cours de laquelle on met en pratique les acquis d’une formation théorique. Durant la semaine 23 sur la plage de front de mer de Port-La Nouvelle, 18 CRS-maîtres-nageurs-sauveteurs (CRS-MNS) venant de toute la France, un métier qu’ls font deux mois par an, ont suivi un stage intensif de recentrage en vue de la saison estivale 2022.
Port-La Nouvelle 08 06 2022 : Veiller au respect de la loi et sauver des vies
Avec Narbonne, Port-La Nouvelle ouvre très tôt ses PS en région, et ferme très tard (3e dimanche de septembre). La cadence est maintenant bien rodée : en mai-juin et septembre il y aura 2 à 3 sauveteurs par poste, et juillet-août ce seront 5 CRS et 15 sauveteurs SNSM, soit un total de 20 sauveteurs sur les 4 PS ouverts en juillet et août (le PS1 est ouvert tout le temps en mai-juin et septembre, le PS2 les week-ends).
« Je m’appelle Angel, je suis enseignant EPS au lycée public Henry IV dans le 5e arrondissement de Paris, pour l’instant je viens tous les week-ends en tant que Sapeur-Pompier Sauveteur sur les plages, et ensuite plein temps pendant les deux mois de vacances sur Port-La Nouvelle et Leucate ». Cette conversation au Poste de Secours n°1 (PS1) fait partie du nouveau dispositif mis en place depuis le 22 mai par les pompiers avec un poste de 3 sauveteurs sur place durant le week-end.
Port-La Nouvelle 2022 : L’imprudence ne peut échapper à leur vigilance
Les sauveteurs SNSM sont des « contractuels-mairie » formés et habillés par la SNSM. Et puis, il y a les normes internationales auxquelles il faut progressivement se conformer : en limite de zone, les flammes bleues deviennent rouge/jaune (couleurs catalanes par hasard). L’habillement n’y échappe pas, et les sauveteurs devront arborer un t-shirt jaune et un short rouge (pour l’instant, la SNSM reste en orange, et les CRS en blanc/bleu). Et enfin, le libellé des flammes vert-jaune-rouge subit quelques modifications, et la forme rectangulaire remplace la triangulaire. Les 4 PS affichent les informations relatives à la sécurité sur la plage, et un QR Code renvoie au site internet de la commune. Pour rappel, Port-La Nouvelle détient toujours 3 labels : « Handy Plage » sur la plage en front mer, Pavillon Bleu et, seule à l’avoir dans le Languedoc Roussillon, le label Démarche Qualité des Eaux de Baignades (capacité de réagir à des situations de crise sur le plan de la pollution, naturelle ou pas, ainsi que d’informer la population en temps réel). La Méditerranée n’est pas exempte de dangers, quand le drapeau n’est pas vert, il faut se renseigner du pourquoi (courants, ressac, vent, …).
Reportage William Barbier
Personnalités présentes : Henri MARTIN, Maire de Port-La Nouvelle. Eric LALLEMAND, Directeur Général des Services. Serge MALOSSE, chef de la Police Municipale. Xavier CICOLLELI, Policier Municipal.
Monsieur le Maire a affecté deux motos type 600 YAMAHA utilisables pour la Cabanisation, le Chemin des vignes, la Garrigue, Sainte-Lucie, les extérieurs et la ville. Missions sur la Prévention, sur la Proximité et sur la Verbalisation si cela est nécessaire. Ce moyen de locomotion sera un moyen plus adapté au terrain pour les administrés. La Police Municipale est dotée de 4 agents titulaires du permis moto. Elles sont utilisées en binôme. Elles viendront en complément des divers véhicules qui équipent déjà la police municipale, DUSTER, LUDOSPACE.
Port-La Nouvelle 2022 : Réception de nouvelles motos pour la Police Municipale 
Cela signifie donc que l’avion doit chercher des zones plus propices au largage, la même chose pour le camion qui va se placer pour couper la dynamique du feu, en donnant l’impression de ne pas suivre les suggestions pertinentes des bénévoles CCFF, tout en les enregistrant pour s’en servir plus tard. Dernier message du lieutenant, et pas des moindres : « nous ne sommes pas des héros, sur les feux seule prime la sécurité de toutes les personnes engagées », et il fait la démonstration sur le camion FF dont la moitié de l’équipement est dédiée à la protection du personnel. Prise de parole ensuite de Gilles Méallier, vice-président de l’Association Départementale des Comités Communaux Feux de Forêts (ADCCFF 11) pour qui « circonscrire un feu est une chose, l’éteindre en est une autre ; les formations de ce jour ne sont pas inutiles, on est comme une équipe de football, si on veut qu’elle soit performante et efficace, il faut s’entraîner, et début juin il y aura une autre formation départementale où acquérir plus de bagage, suivez-les toutes au cours des années ! ». Le bruit assourdissant d’interaction pale-tourbillon de l’hélicoptère du SAMU 11 atterrissant à la caserne a déchiré les airs, libérant l’équipe médicale du Service Mobile d’Urgence et de Réanimation (SMUR) de Narbonne avec le matériel utile pour les situations d’urgences. On pouvait commencer la formation dans les différents ateliers.
Reportage William Barbier
Le but de cette troisième formation est de savoir, en cas de départ de feu, à qui s’adresser, et surtout à quel camion : la caserne de Port-La nouvelle est structurée en 4 camions FF et un véhicule 4x4 dans lequel il y a le chef de groupe des pompiers (important, il occupe le siège passager, se diriger vers cette portière), mais en mode dégradé il peut n’y avoir qu’un seul camion. Il arrive que l’intervention du camion ne soit pas toujours comprise par rapport aux informations données par les bénévoles du CCFF : un camion est tributaire de ses capacités, de ce qu’il peut faire, et ne pas faire, et il faut chercher les situations les plus favorables pour éteindre le feu. Fabien Nouguès étonne les participants en disant que « on sait qu’au-delà d’un feu de bosquets de 1,5 mètres de haut, la capacité hydraulique de 4 camions de 4000 litres chacun est insuffisante, au-delà de 2,5 mètres de végétation la capacité d’un Canadair est dépassée, le pouvoir calorifique du feu absorbant la quantité d’eau larguée ».
Et c’est ensuite au chef de corps, le lieutenant Fabien Nouguès, de préciser « vous n’allez pas être nos seconds, vous allez être nos premiers sur le feu, vous allez surtout nous enlever un gros souci suite au gros gabarit de nos camions ». En effet, la végétation se développe énormément, les chemins sont de plus en plus étroits, il est donc primordial de bien les connaître : « il est très important lors d’un départ de feu de vous avoir à côté de nous, et plus précisément devant nous, car bien souvent les pompiers venant en renfort d’autres villes n’ont pas votre connaissance des secteurs communaux ».
Pour leur troisième formation, les bénévoles de Sigean, de Port-La Nouvelle et de La Palme au sein d’un même Comité Communal Feux de Forêt (CCFF) étaient attendus ce 14 mai 2022 au centre de secours de Port-La Nouvelle. Dylan Taboni, conseiller municipal délégué à la prévention des risques, a confirmé que « les pompiers, c’est l’intervention, le dernier maillon de la lutte contre un feu de forêt, alors que le premier maillon passe par le citoyen qui respecte les bonnes pratiques pour l’éviter ; le deuxième maillon, c’est vous par votre travail de prévention sur le terrain envers ce même citoyen ».
Port-La Nouvelle 2022: Circonscrire le feu est une chose, l’éteindre une autre
A l’aide d’un Système de tracking GPS, il sera possible de le suivre en temps réel tout au long du parcours, ce qui permettra de récolter des dons via le site internet du SoliraidCathares en misant sur les kilomètres parcourus. Cette collecte de dons s’effectue en soutien aux enfants de l’IME de Lézat-sur-Lèze. Cet Institut Médico-Educatif a pour mission d’accueillir et de dispenser une éducation et un enseignement à de enfants et des adolescents handicapés atteints de déficience intellectuelle. Le but de Sébastien est louable car « mon idée est d’équiper ces jeunes pour qu’ils puissent pratiquer un sport plus en autonomie en répondant à leur problématique ». Le départ de cette course a été donné le 12 mai devant le gymnase Jean Monnet en présence de Patrice Ménard, maire-adjoint délégué au secteur associatif et sportif, une dizaine d’enfants de l’IME entourés de trois éducateurs, et de Norbert Meler, maire de Foix. Ce dernier a remercié Sébastien de pouvoir partager ce moment fraternel, car « en tant qu’élu on vit de manière permanente dans un monde accéléré dans lequel les relations humaines, voire humanistes, de délitent petit à petit, et on essaie de pousser, d’accompagner, de soutenir tout ce qui d’une manière ou d’une autre nous amène vers cette vertu de coopération et de fraternité, tant qu’il y aura des personnes comme Sébastien qui s’engageront pour un idéal, nous serons sur la bonne voie.  Et de conclure « au-delà de ce qui peut faire nos différences, nos singularités, l’idéal est de faire partie de cette grande tribu qu’est l’humanité ».
Reportage William Barbier
Sébastien Elmon est trailer et ultra trailer amateur, une discipline qui consiste à se déplacer en montagne en courant. Dans le contexte du « Soliraid Cathares » il va parcourir le Sentier Cathares GR 367 qui relie Port-La Nouvelle à la ville de Foix. Son défi est de parcourir les 230 km avec 9000 de dénivelé positif en 50 heures, ne s’octroyant que 3 pauses de 30 minutes
Port-La Nouvelle: 2022 : Quand les kilomètres se transforment en dons
« On débarrasse la nature de tout ça, mais il faut que les gens prennent l’habitude de le faire par eux-mêmes, d’être autonomes, et ce tout au long de l’année ! ».
Et la municipalité compte bien marteler le message, suite à l’indifférence totale de la population à qui il a été demandé d’enlever les mauvaises herbes devant sa porte : « Il faut que se crée ce comportement selon lequel chacun soit responsable de son cadre de vie aux abords immédiats, la collectivité ne peut plus le faire suite à l’interdiction de l’emploi de désherbants, l’impact financier en main d’œuvre devient énorme ».
Et revenant sur la journée de l’environnement, l’abandon de tout et n’importe quoi dans la nature devient une banalité : « Aujourd’hui, bien que le service municipal existe et soit très efficace pour les gros encombrants enlevés à domicile, on préfère abandonner un frigo ou un matelas en pleine nature, et cela vaut aussi pour le tout petit électroménager qu’il serait si facile d’apporter à la déchetterie en voiture ».
L’optimisme reste de rigueur quand le but à atteindre pour la prochaine journée de l’environnement est « juste ce petit camion, et les cinq autres au garage ».
Reportage William Barbier
La journée de l’environnement de ce 7 mai à Port-La Nouvelle a été, « comme d’habitude », à la fois un succès et un désastre. Un succès par la participation de quelques 80 personnes, parmi lesquelles les chasseurs de l’ACCA s’étant concentrés sur le chantier du nouveau lotissement, les Jeunes Sapeurs-Pompiers autour du lac, le Club Avirons Nouvellois rejoint par celui de Carcassonne, et de nombreux citoyens. Un désastre aussi, et qui met Claude Roquelaure, directeur général adjoint, en colère devant les 6 camions débordant de déchets ...
Port-La Nouvelle : La propreté, c’est l’affaire de tous
La présidente de l’association De Fils en Aiguilles, Sylvie Lucion, s’y entend pour communiquer la passion de la couture, du tricot et du crochet à son équipe aux doigts de fée. Et le public est bien au courant de leur travail quand les œuvres sont mises en vente lors d’expositions ou, à Noël, quand l’association a son chalet personnel dans la Forêt Enchantée. Mais l’esprit mercantile n’habite pas l’association quand elle habille la mairie, les arbres, les réverbères, et les bancs publics lors de l’incontournable yarnbombing sur un thème qui change chaque année. Et lors du démontage du yarnbombing, les chutes sont réutilisées pour confectionner des vêtements chauds pour les chiens de la SPA. Et que dire d’une opération « commando » sur le centre hospitalier Francis Vals pour offrir des châles bien chauds aux résidents. La solidarité n’est donc pas un vain mot, et Sylvie Lucion, lors de son exposition du 23 avril à la salle Roger Couderc, a invité la présidente de l’association Les Petites Mains  qui confie  « nous aussi on tricote et on crochète, et c’est en partenariat  avec l’orphelinat Phoenix à …..au Vietnam que sont envoyées nos réalisations comme des layettes et des doudous ; avec le résultat de nos ventes nous pouvons payer les frais d’envoi et de douane, et même acheter pour ces orphelins des fournitures scolaires ». Cette association existe depuis un an, et Sylvie Lucion, par cette invitation, l’aide à se lancer pour mieux se faire connaître.
Reportage William Barbier
Port-La Nouvelle : La solidarité au bout du fil
Le troisième cheval de Troie se trouve à Budapest où se réfugie Boris, non pas à l’ambassade de Russie, mais dans une banque russe que Victor Orban, avec l’accord de Poutine, à fait venir de Russie. Cette banque a la particularité de travailler avec tous les pays communistes (Corée du nord, Chine, Venezuela, Cuba et bien sûr Russie), et tout le personnel est protégé par l’immunité diplomatique. Le père du PDG de cette banque est un ancien général du KGB, et sa mère une espionne russe qui a été arrêtée aux USA en tentant de dérober les secrets de la bombe atomique.
Il ne reste plus qu’à se plonger dans ce livre de 320 pages au prix de 8,50€ pour vivre un récit de fiction dans lequel les personnages et les événements devraient, théoriquement, contraster avec ce qui se passe « en vrai ».
Luc Darlon 06 67 80 15 48
Reportage William Barbier
La Russie, qui veut reprendre les rênes, se doit de pirater le programme et envoie une femme formée pour être prostituée (les hirondelles du Kremlin) ; sous la surveillance d’un homme de main, Boris, sa mission est de rentrer dans le programme Echelon, le pirater et le détruire, faisant ainsi de la Russie la plus grande puissance qui, sur le plan informatique, règnera sur le monde. Parallèlement, sous prétexte de faire des exercices, les forces russes se déploient en mer Méditerranée, avec comme port d’attache celui de Tatous en Syrie (la Syrie était redevable de l’ancienne URSS, et la dette n’a pas été épongée par l’arrivée au pouvoir de Poutine : en compensation, il a obtenu de Bachar al-Assad la base militaire de Tatous, représentant un gain de temps appréciable par rapport aux navires qui viendraient de la mer Noire). L’arme suprême se trouve à bord d’un sous-marin qui transporte une torpille nucléaire capable de détruire une côte sur une longueur et une profondeur de 100 km, et la rendre inculte pendant plus d’un siècle. Conçue par la Russie, cette torpille, à l’instar de l’actuel missile Sarmat dans les airs, destinée principalement pour viser les côtes américaines, a une puissance de navigation sous l’eau qui la rend indétectable par les balises sous-marines, et elle émerge au tout dernier instant pour provoquer l’apocalypse.
Le livre de Luc Darlon fait état de trois chevaux de Troie, le premier étant le meurtre de l’ingénieur, le second étant le sous-marin.
Lors de l’écriture de son 3e roman intitule « Le Cheval de Troie » il y a deux ans, l’auteur Luc Darlon ne pouvait pas s’imaginer, qu’hormis l’invasion d’un pays, l’histoire serait d’une brûlante réalité. L’histoire commence par un piratage informatique aux USA sur un ingénieur qui a travaillé sur le programme « Echelon » en Grande Bretagne qui couvre toute l’Europe, à l’instar de la NSA aux USA. Au chapitre 3, on apprend la mort « accidentelle » de cet ingénieur.
Port-La Nouvelle : Toute ressemblance avec une guerre en cours…
En déposant les gerbes au pied du Monument aux Morts, vers quelles victimes, passées ou à venir, allaient les pensées de Jean-Claude Colombies, président des Médaillés Militaires, de Patrice Ménard représentant le maire Henri Martin, de Roger Richard, et de René Tillet, président de l’AMMAC ?
Reportage William Barbier
Alors que la menace d’une troisième guerre mondiale est clairement évoquée, c’est en l’absence de Jean-Bernard De Block, président de l’Amicale des Anciens Combattants des Corbières Maritimes (AACCM), que Roger Richard a lu le message dans son intégralité. Difficile de ne pas faire un parallèle avec la fin du systèmeconcentrationnaire et génocidaire nazi il y a 77 ans, et la triste réalité actuelle avec la résurgence d’idéologies porteuses d’exclusion, du spectre des dictatures, des replis nationalistes, et les tentatives de réécriture de l’histoire par le biais d’une déshumanisation programmée par la terreur.
Alors que le mot « génocide » est clairement prononcé sur toutes les chaînes d’information dans le cadre de l’invasion russe en Ukraine, et se retrouver devant le monument aux Morts ce 24 avril 2022 pour la Journée Nationale du souvenir des victimes et des héros de la Déportation, comment peut-on interpréter les paroles de Geneviève Darrieussecq « ces événements que l’humanité a condamnés et que nul ne souhaite voir se reproduire » ?
Port-La Nouvelle : L’actualité alimente les prochains devoirs de mémoire
... pistes, points d’eau (citernes DFCI, poteaux d’incendie, retenues collinaires), les coupures stratégiques (coupures vertes, débroussaillements), les tours de guet, les DZ (drop zone, aire d’atterrissage pour les hélicoptères), et les relais. Toutes des connaissances qui seront indispensables en été quand il faudra informer le public touristique et local, tout en patrouillant et en surveillant les massifs. A bord du véhicule, il faudra avoir une connaissance approfondie des légendes et des pictogrammes de la cartographie mise à jour par l’IGN, maîtriser la tablette GPS, et faire preuve d’une efficacité sans faille dans l’utilisation de la radio pour guider les secours. La troisième formation, opérationnelle celle-là, aura lieu début juin à Treilles en interaction avec les services de secours qu’il faudra guider avec précision vers un départ de feu, le fameux 1% d’un CCFF au cours duquel chaque seconde est précieuse.
Reportage William Barbier
L’accueil fut assuré par Dylan Tabony, conseiller municipal délégué à la prévention des risques et à la RCSC, en présence de Yves Oberlé, président de l’Association Départementale des Comités Communaux Feux de Forêt de l’Aude (ADCCFF 11), et de Carlo Attié, conseiller communal à Sigean délégué à la gestion des risques majeurs. On est rentré dans le vif du sujet avec Gilles Rodriguez, animateur de l’ADCCFF 11 qui a défini le rôle d’un bénévole CCFF à « 98% + 2% ».
La prévention représente 98%, 1% est dédié à l’extinction d’un feu de très petite intensité, et 1% pour guider les pompiers en ayant uneconnaissance approfondie du terrain. En clair, patrouiller et communiquer pour qu’un feu ne se déclare pas, et ne pas perdre de vue qu’un membre CCFF est bénévole, sous l’autorité du maire et couvert par l’assurance de la commune ; un membre CCFF n’est donc ni un pompier, ni un gendarme, ni un agent de l’Etat. Gilles Rodriguez a défini les rôles et les missions CCFF, aussi bien en hiver qu’en été. En hiver, il doit diffuser l’information sur la législation en matière de débroussaillement et d’emploi du feu, sensibiliser le public et les scolaires, et s’imprégner de la connaissance des infrastructures de Défense des Forêts Contre les Incendies (DFCI) : ...
Raison pour laquelle fut créé un Comité Communal Feux de Forêts (CCFF) entre les communes de Sigean, La Palme et Port-La Nouvelle, une structure qui manquait sur le secteur du littoral. La formation se déroule en trois phases, la première étant la conduite d’un véhicule en milieu naturel. Ce samedi 9 avril, les bénévoles se retrouvaient à Port-La Nouvelle pour la seconde formation théorique liée à la réglementationà l’emploi du feu, comment communiquer les bonnes pratiques à respecter dans les massifs.
Port-La Nouvelle : Le feu ne s’arrête pas aux limites communales
En avril 2021, Eric Nicolet, alias Luigi, ouvrait son commerce de pizza à emporter au 34 rue de Lorraine à Port-La Nouvelle. Il s’était inscrit à un concours à Toulouse, mais nombre de championnats régionaux ayant été annulés pour cause de pandémie, c’est à Paris, les 30 et 31 mars, au grand concours du championnat de France de la pizza au salon Parizza, que ce sont retrouvés tous les amoureux de la gastronomie italienne. Un concours sous très haute tension pour Luigi car « je me retrouve là avec un jury composé de chefs étoilés au Michelin, d’anciens champions de France et de pizzaioli reconnus ». Et les règles sont très strictes pour les 102 candidats inscrits, le jury attribue (ou retranche) des points sur le protocole de la pâte, les ingrédients, la recette, les accords entre les produits, la présentation (de la pizza et du pizzaiolo), et la cuissonfixée à 12 minutes au four, chronomètre en main. Luigi s’est classé 35e sur 102 avec une pizza « lotoise » mariant avec bonheur une crème de poireaux caramélisés, un confit de canard émietté, des noix caramélisées, des figues et une crémeuse stracciatella. Dans le même salon, Luigi a eu l’occasion de voir en démonstration tout le matériel (fours, tables de travail, accessoires) et les produits « qui me donnent des tonnes d’idées, je continue à apprendre ». Luigi a quitté Paris avec son diplôme pour rejoindre Port-La Nouvelle, et il aurait très bien pu mettre le cap sur l’Italie où allaient se dérouler le 5 avril à Parme les championnats du monde de la pizza. Luigi est convaincu que ses pizzas sont les meilleures, mais « aller me mesurer en compétition à plus de 800 pizzaiolivenus de 40 pays, peut-être un jour ! ». En attendant, une petite terrasse devant sa pizzeria permet de déguster sur place une de ses 35 recettes, sans oublier de se laisser séduire par sa pizza « du moment ». Pizza Luigi 04 68 44 61 42
Reportage William Barbier
Port-La Nouvelle : Les championnats du monde ? Un jour peut-être !
La Nouvelloise Célia Hoinech avait pour projet d’ouvrir un commerce pour vendre ses layettes qu’elle réalise en crochet. C’est aujourd’hui chose faite au 166 Quai du Port à Port-La Nouvelle, avec la différence qu’elle propose également les œuvres de nombreux créateurs de la région, tous enregistrés avec un numéro Siret. C’est ainsi que l’on peut se laisser séduire par les travaux de couture de Christine Jérôme (La Magie des Mains, Sigean), les objets en bois flotté de Max Nicolet (Yacinthe Créations, Port-la Nouvelle), les bougies et les savons d’Emma Ricart (Les Cadeaux de Madame, Narbonne), les bijoux fantaisies de Morgane Bonjean (L. De Lys, Villeneuve des Corbières), les bijoux de lithothérapie d’Aline Dekarczyk (L’Attape Gemmes), les bijoux de Barbara Laurent (Les Fées Papillon Créations, Sigean), ou profiter des soins énergétiques et des capacités de médium de Virginie Ruiz (Port-la Nouvelle). Venant de Portel-des-Corbières, Emmanuelle viendra prochainement compléter l’assortiment avec ses œuvres en macramé.
Reportage William Barbier
Port-La Nouvelle : « Unis-Ver Créa» à découvrir  un magasin de créateurs
ACTUALITES
Côtoyant les stands de contrôle technique des bolides, la tente de la SNSM était parée à accueillir « les petits bobos » éventuels sur le bitume, la vedette de sauvetage en mer étant restée à quai. Après un tour de reconnaissance du trajet par tous les concurrents derrière un quad, le départ fut donné sur le front de mer dans la plus pure tradition d’un « départ le Mans ». Pendant trois heures, le subtil parfum du mélange essence-huile flottant dans un léger nuage bleuté a remplacé celui de la garrigue, de quoi réveiller de bons souvenirs à ceux qui, dans leur jeunesse, ont été bercés par la mélodie pétaradante du petit moteur qui appréciait beaucoup qu’on l’assiste en pédalant au démarrage.
Reportage William Barbier
« Les 3 heures de mobylette de Port-La Nouvelle » sont nées, mais contrairement aux compétitions de MotoGP, il n’y a pas de classement : l’objectif est de passer un bon moment entre passionnés de mobylettes, toutes générations confondues, pour récolter des fonds reversés à la SNSM.
Il y avait déjà les 6 heures et les 12 heures de Sebring, ainsi que les 24 heures du Mans, de Spa-Francorchamps et du Nürburgring, mais, jusqu’à présent, aucune compétition mécanique d’ampleur à Port-La Nouvelle.
Comment dès lors expliquer le fait que le maire Henri Martin ait rédigé pour le dimanche 27 mars un « arrêté temporaire portant organisation d’une manifestation publique comportant la participation de véhicules terrestres à moteur » ?
Après enquête, il s’avère qu’un puissant brainstorming entre le Service Animation de la ville piloté par Frédéric Cantié, l’Association Nouvelloise de Jet Ski (ANJS) et l’Association Moto Quad de Port-La Nouvelle ait permis de trouver un accord sur une motorisation mythique, le monocylindre 2 temps de 49,9 cm3 propulsant la légendaire mobylette.
Port-La Nouvelle : La « Mob », grandeur et résurrection en front de mer
Et pour ce faire, le projet d’installation d’éoliennes flottantes en mer Méditerranée s’inscrit dans les objectifs de la loi sur la Transition énergétique pour la croissance verte (2015) et la loi Energie-climat (2019). L’éolien en mer, posé et flottant, fait partie des principales filières à développer pour atteindre l’objectif de 40 % d’électricité d’origine renouvelable en 2030.
En mer, le gisement de vent est important et son impact paysager plus limité qu’à terre. Les travaux d’extension du grand port de Port-La Nouvelle obéissent à cet objectif de l’éolien offshore, le maire Henri Martin précisant « notre port sera la base avancée de montage des premiers parcs flottants en Méditerranée, preuve que nous avions raison de nous montrer déterminés et impatients », soulignant le rôle déterminant d’Agnès Langevine, vice-présidente de la Région, qui a toujours soutenu avec « écolo-positivité » et constance ce dossier. Ces paroles, Henri Martin les adressaient ce 14 mars à l’Office de Tourisme devant un public pour le moins concerné : Jean Castex, Premier Ministre, Barbara Pompili, Ministre de la Transition Ecologique, Etienne Guyot, Préfet de la Région, Thierry Bonnier, Préfet de l’Aude, Didier Codorniu, Premier Vice-Président de la <région Occitanie, Hélène Sandragné, Présidente du Conseil Départemental de l’Aude, Amiral Gilles Boidevezi, Préfet Maritime, Rémi Récio, Sous-Préfet de l’Aude, Louis Madaule, Président de la CCI de l’Aude, Jean-Michel Alvarez, Vice-Président de la Communauté d’agglomération du Grand Narbonne, Sébastien Pla, sénateur de l’Aude, Etienne Stoskopf, Préfet des Pyrénées Orientales, Alain Péréa, député de la 2é circonscription de l’Aude à l’Assemblée Nationale, Hervé Baro, premier Vice-Président du département de l’Aude, Michel Py, maire de Leucate, Robert Ménard, maire de Béziers, et de nombreux élus
Port-La Nouvelle : Un camion de dons pour venir en aide à l’Ukraine
Un camion de dons est parti pour Narbonne mercredi 06 03 2022 après-midi. Ces dons ont été réceptionnés et conditionnés par les élus de la ville et les membres de la réserve communale de sécurité civile
Pour la collecte de dons, Claude Roquelaure, directeur général adjoint à la mairie de Port-La Nouvelle, annonce l’ouverture depuis le vendredi 4 mars à partir de 14 heures d’un local de stockage à l’accueil des services techniques. Du lundi au vendredi, il sera accessible à la population de 8h à 11h30 et de 14h à 16h30. La Protection Civile assurera chaque semaine la récupération des dons. Partant du constat qu’un afflux de réfugiés déferlant sur l’Europe est en cours, le gouvernement, par un message signé par le ministre Gérald Darmanin, précise que « la France prendra toute sa part dans l’accueil des ressortissants ukrainiens ». Pour ce faire, le département de l’Aude a fait parvenir aux communes un formulaire « Solidarité Ukraine » à destination des citoyens offrant des possibilités de logement à des réfugiés. Ce formulaire sera publié sur le site internet des communes, ces dernières centralisant les propositions d’hébergement et les transmettant au Grand Narbonne. A Port-La Nouvelle, les dossiers sont suivis par Jacqueline Claret, conseillère municipale, référente « Ukraine » pour la circonstance. Au centre de collecte, le tri des dons est effectué par les bénévoles de la Réserve Communale de Sécurité Civile, Jacqueline précisant « les gens apportent bien sûr des vêtements, mais la majorité des dons sont heureusement du matériel médical, des médicaments, des produits d’hygiène, avec une attention particulière envers les enfants ; ce que nous faisons ici au centre de collecte n’aurait aucun sens s’il n’y avait ensuite l’implication du Grand Narbonne et de la Protection Civile pour faire parvenir ces dons à destination ».
Reportage William Barbier
Devant le drame qui se joue en Ukraine, faire parvenir une aide humanitaire sur place en faveur des populations assiégées requiert la totale mobilisation de l’Association des Maires de France et de la Protection Civile, ainsi que de la Préfecture de l’Aude. Raison pour laquelle le Grand Narbonne a édité une affiche transmise à toutes les communes de l’Agglo pour organiser une collecte. Une liste très ciblée des produits demandés a été établie : médicaments et matériel médical, hygiène et puériculture, équipements électriques, vêtements et équipements chauds.
Port-La Nouvelle : Mobilisation pour venir en aide à l’Ukraine
Il a reconnu que tout était mis en œuvre pour créer des pistes cyclables et assurer une harmonie sécuritaire entre les voitures et les vélos, regrettant néanmoins de devoir défigurer les rues et avenues avec des « gendarmes couchés » (ralentisseurs) à cause d’une micro minorité de conducteurs inconscients qui confondent la voirie avec l’anneau de vitesse Motor Speedway Nascar d’Indianapolis. Direction ensuite pour les élus vers l’école maternelle Alphonse Daudet, avec des activités et des visites adaptées à l’âge des enfants, mais qui n’ont rien à envier au programme des grands : vacances givrées à la découverte des igloos, des bonhommes de neige, des sports d’hiver et des jeux les emmenant dans l’univers de Fort Boyard version glacée. Le maire est tombé en plein au milieu d’une compétition de hockey, une version hybride revisitée par l’équipe d’animation : pelouse en gazon synthétique, crosses pour les compétitions sur glace, balle souple pour le palet, en ayant eu soin de ne pas mentionner la règle 56 de la Ligue Nationale de Hockey autorisant officiellement les bagarres entre joueurs.
Reportage William Barbier
Même intérêt de la part du maire pour le groupe 3, une vingtaine d’ados engagée dans « les enjeux de la Cop21 » en lien avec le réchauffement climatique, partant du principe « il n’y a pas de plan B parce qu’il n’y a pas de planète B ». Une mission importante pour faire comprendre les effets néfastes des émissions de gaz à effet de serre, et mettre en place des actions permettant d’agir sur les  comportements des jeunes : vidéos, création d’une Map Monde avec les acteurs majeurs, mise en place d’un guide d’utilisation des énergies, ateliers anti-gaspi, circuits courts de l’alimentation, actions sur l’environnement naturel (ramassage et tri des déchets, récupération de l’eau de pluie), articles de presse, campagne d’affichage, implication des parents, mise en ligne d’un Vlog sur le site de la ville. Le maire est intervenu, d’abord en félicitant les ados de combiner loisirs et avenir écologique de la planète, et ensuite pour faire une remarque sur une de leurs propositions, à savoir privilégier les transports doux dans la ville par des déplacements à pied ou à vélo.
En interne, bien sûr une intense activité multisports, comme la découverte du baseball et du football américain. Lors de leur visite du lundi 28 février à l’école André Pic, le maire Henri Martin et l’adjointe à la scolarité ont découvert l’atelier du groupe 1 consacré aux Vikings, les enfants occupés à peindre les boucliers qui décoreront les flancs des drakkars, l’opération suivante étant de confectionner les casques à cornes. Auparavant, les enfants s’étaient lancés dans l’astronomie en confectionnant des cartes des constellations. Direction le groupe 2 en plein laboratoire de création de Blobs (physarumpolycephalum), ces cellules géantes à plusieurs noyaux, de couleur jaune, visible à l’œil nu, quasiment immortelles se déplaçant à la vitesse de 1cm par heure, se nourrissant de spores, n’ayant pas de cerveau physique mais capables d’apprendre et de partager des informations avec d’autres blobs en fusionnant avec eux. L’expérience se déroule dans des coupelles en plastiques, sachant quand même que le blob peut atteindre en laboratoire une envergure de 10 m².
Les vacances d’hiver ne riment pas nécessairement avec sports d’hiver pour les enfants. Grâce au Service Municipal Enfance Jeunesse (SMEJ) de Port-La Nouvelle, les enfants des trois groupes d’âge (CP-CE1/8-10 ans/11-17 ans) ont mis le cap sur des destinations telles le Royal Kid et le trampoline géant de Narbonne, le planétarium de Montpellier, le Sport Break de Montpellier, l’accrobranche de Villeneuve les Maguelone, le parcours sensoriel Sensas de Perpignan, le ciné McDo, des jeux nature à Port Mahon, le bowling et la patinoire de Narbonne et les grottes de Villefranche de Confluent.
Port-La Nouvelle :  «Des vacances sous forme de projets pédagogiques»
AlsaceAuvergne-Rhône-Alpes Bourgogne-Franche-Comté Bretagne Centre-Val de Loire CorseGrand EstHauts-de-FranceÎle-de-FranceNormandie 
Après le bilan financier détaillé par la trésorière Monique Bilaude, Christian Salas s’est attaqué au rapport moral. Il a d’abord évoqué ses craintes de voir la SNCF subir la concurrence à nos portes ; point positif, la politique actuelle du gouvernement en faveur du rail avec l’ouverture et la rénovation de certaines lignes, et celle de l’Europe pour les trains de nuit. Sur le plan régional, l’avenir des TGV Toulouse-Bordeaux et Montpellier-Perpignan semble se dessiner, exception faite du tronçon Béziers-Perpignan pour lequel les écolos souhaitent que la ligne à grande vitesse soit aussi ouverte au fret. A propos de cette ligne, Christian Salas a visité de nuit le chantier du renouvellement caténaire effectué jusqu’à Leucate. Il a aussi évoqué la réfection complète de la gare de Port-La Nouvelle, et le projet de remplacement de la passerelle. Un plan d’ensemble de la Région prévoit d’adapter les gares en fonction du handicap, les gares de Narbonne et de Agde étant retenues pour 2022, celles de Leucate et de Port-La Nouvelle pour 2023. L’exposé de Georges Baldacchinoa détaillé plusieurs sujets, dont l’actualité de la Fédération, la SNCF depuis 2020 et la formation du nouveau groupe, et la fin du monopole de la SNCF. A ce dernier propos, il signale que Sud Paca et le premier à avoir des sillons (créneaux horaires sur des lignes) placés en appels d’offres. A l’ère du tout digital et de la dématérialisation, avec tous les problèmes de démarrages et d’erreurs informatiques, il a longtemps parlé de l’application MFCD pour smartphone qui, pour un public âgé d’ayants droit atteint selon la rumeur d’illectronisme, signifie pourtant « Mes Facilités de Circulation Décentralisées ». Et enfin la question sans réponse : quid des facilités de circulation des ayants droit sur des lignes SNCF qui seraient passées à la concurrence ? Georges Badacchino a clôturé l’AG en remettant au bureau de la section Narbonne un diplôme d’honneur en reconnaissance des actions et de leur dévouement en faveur des cheminots retraités.
Reportage William Barbier
Annulée 2021 pour cause de pandémie, c’est ce 22 février que Christian Salas a pu tenir son AG en tant que président de la section narbonnaise de la Fédération Générale des Retraités des Chemins de Fer de France et d’Outre-Mer (FGRCF), et ce en présence de Georges Baldacchino, président Union Sud-Est. En introduction, la secrétaire Jacqueline Garcia a rappelé que l’effectif comptait 137 adhérents début 2021, et 128 au 31 décembre 2021 suite à 7 décès et 2 démissions.
Port-La Nouvelle :  «Retour sur les rails des cheminots retraités»
OccitaniePays de la LoireProvence-Alpes-Côte d'AzurGuadeloupe Martinique GuyaneLa Réunion Mayotte Retour les Bavards 1Qui sont vos Correspondants  

Météo Narbonne

Les Bavards
du
Net 2.Fr
La conclusion s’imposait comme une évidence, il faudrait que ce char clôture le défilé à Narbonne et ensuite à Port-La Nouvelle, pour laisser une petite chance aux batucadas de se faire entendre. Alors que le char était à son paroxysme son/lumière/fumée avec Johann aux commandes, quelqu’un a éteint l’éclairage du hangar : comment ne pas imaginer ce char déchirant la nuit durant la période estivale pour éblouir les touristes dispensés d’aller jusqu’à Rio pour retrouver la même ambiance.
Reportage William Barbier
Qui dit « années 80 » pensent automatiquement musique, et Anne-Marie et Johann de Disco Toon’s étaient tout désignés pour la partie musicale et l’éclairage disco. Encore fallait-il faire preuve d’originalité pour se situer dans la décennie 80, le carnaval étant l’occasion de se déguiser, pourquoi ne pas se replonger dans cette époque où les tenues vestimentaires hautement colorées étaient dans la provocation et la frime ? Eh bien non, un peu facile, et les plus jeunes de l’équipe se sont souvenu de l’époque où ils regardaient sur TF1 le dessin animé Dragon Ball Z (DBZ), une série qui a démarré en 1989 au Japon. Ce fut le top départ d’une ruée sur des blocs de polystyrène pour, Anne-Marie en tête, tailler les personnages de cette saga, et de coupler le tout à la sonorisation de Disco Toon’s envoyant à grands coups de décibels les hits de l’époque. En trois semaines de travail intense, le char devenait la preuve vivante qu’on se trouvait dans une situation où le bien et le mal s’affrontent en respectant fidèlement l’univers de DBZ, le réalisme allant jusqu’à utiliser la machine à fumée pour alimenter les narines du dragon Shenron, tout en respectant, à l’avant du char, la présence des 7 boules de cristal qui, une fois réunies, permettaient d’exaucer un vœu. Le maire Henri Martin fut convié ce samedi soir 19 février à découvrir le char dans le hangar des services techniques, l’occasion de pousser à fond les manettes de la sonorisation, des lumières et de la fumée.
Pour le 84e du nom, l’association Narbonne en Fêtes a dévoilé le thème du carnaval 2022, à savoir « les années 80 ». Pour le char de Port-La Nouvelle, on savait pouvoir compter sur l’artiste Marc Bazin pour ressortir ses pinceaux pour faire preuve de son talent sur la face arrière et les flancs du char, sur Yves, Jean-Louis et Régis pour la construction, et les deux nouveaux venus Cassie et Benjamin pour le coloriage et le lettrage.
Port-La Nouvelle :  «Bien plus qu’un char, un blindé de technologie  »
Après le jeu de la mouette et la pétanque souple , c’est au tour du jeu de quilles de faire son retour au gymnase Jean Monnet. Les jeux de 10 quilles et leur boule sont en mousse compact, ce qui permet de par la légèreté de la boule, l’utilisation intergénérationnelle. Les fiches d’inscription (Gratuite) pour le championnat communal (qui débutera le Jeudi 17 février) sont à retirer, puis à ramener au service animation, 1484 avenue de la mer, avant le lundi 14 février. Le tirage au sort des poules aura lieu le lundi 14 février à 18h au gymnase Jean Monnet.
 
Pass’ sanitaire et masque obligatoire, du gel hydro-alcoolique à disposition.
Pour tous renseignements : 06-30-76-08-61 ».
Port-La Nouvelle :  « CHAMPIONNAT COMMUNAL DE JEU DE QUILLES »
De plus en plus reconnu comme un club important, c’est grâce à la municipalité et à la CCI qu’il a aujourd’hui « pignon sur rue » avec un local dédié face aux pontons, et que la canisette insalubre mitoyenne a été transformée en zone privatisée pour fêter les prochains retours de concours de pêche. Parce que la pêche est devenue aujourd’hui la marque de fabrique du club, spécialement grâce à une implication très efficace au niveau des démarches administratives liées à la pêche au thon rouge. Et pour cause, cette pêche attire de plus en plus d’amateurs, mêmes ceux qui ont « fait le tour » en eau douce. En 2017, le club comptait 135 adhérents dont 66 « adhérents thon » affiliés à la FNPP répartis sur 53 bateaux. En 2021, le club comptait 226 adhérents dont 193 « adhérents thon » répartis sur 128 bateaux. Le club est ainsi devenu le 3e club de pêche au thon rouge de la Méditerranée. Une prise exceptionnelle a contribué à la renommée du club avec un thon rouge de 180kg mesurant 2,30 m pêché par un duo belgo-français qui avait déjà ramené la précédente année un thon de 35kg. Certains ont regretté que cet exploit ait été réalisé par deux néophytes pour ce type de pêche, ces derniers ayant en réalité appliqué les judicieux conseils du regretté Patrick Germa lors des ateliers de perfectionnement. Et c’est donc avec optimisme que le club compte organiser en 2022 au moins 3 concours de pêche « normale », dont au moins un aux céphalopodes, et, durant la période du thon rouge, organiser une sortie commune avec le maximum de bateaux. A terre, le club sera attentif aux manifestations organisées par la municipalité pour y participer.
Reportage William Barbier
Quand l’occasion se présentait, des adhérents ont participé à des manifestations comme le forum des associations, et, sous l’égide de Didi Nénon, au tournoi de boules souples et, surtout,au tournoi de pétanque que le Cercle Nautic a remporté pour la seconde fois consécutive ; une façon de faire flotter la bannière du club auprès de la population.
Tenir Une AG pour annoncer que l’activité des deux dernières années a été réduite au minimum pour cause de pandémie, le Cercle Nautic de Port-La Nouvelle n’y a pas échappé ce 22 janvier.
Port-La Nouvelle :  « Qui va à la pêche garde sa place  !»
On est en attente du programme annuel de la préfecture pour l’organisation d’un exercice de crise afin d’y intégrer la RCSC ; à défaut, on testera le centre d’accueil en impliquant des classes scolaires ou des associations afin de perfectionner la gestion de l’afflux de personnes. Enfin, les lois actuelles et le courant à la fois universitaire et régalien se focalisent sur la submersion marine et l’érosion côtière. A tel point que la loi va imposer pour de nouvelles constructions de provisionner la destruction future à l’échéance de 30 ou 50 ans, obéissant ainsi à une logique stratégique dans le cadre de l’érosion côtière. Claude Roquelaure précise qu’il y a actuellement dans le département de l’Aude quelques 10 RCSC, Narbonne étant la première à la créer en 2005 dès que la loi est sortie. Une loi promulguée en novembre 2021 va mutualiser tous les effectifs des RCSC/CCFF dans tout le département : Port-La Nouvelle pourra intervenir ailleurs, et bénéficier du soutien d’ailleurs en cas de crise. La formation pratique des 15 CCFF de Port-La Nouvelle commence le 5 février jusqu’au 13 mars, impliquant l’organisation de créneaux avec des équipages de 2 personnes (pilote et co-pilote du 4 x 4), auxquels se joindront 2 équipages de Sigean et 2 équipages de La Palme. Il est important de rappeler que la RCSC fonctionne sur la base du volontariat, mais quand on signe un contrat d’engagement, l’effet doit être au complet quand il est fait appel pour une raison de crise sérieuse.
Reportage William Barbier
A cet effet, cette structure nouvelloise se compose de 6 bénévoles CCFF, et 9 bénévoles RCSC + CCFF, soit un effectif total de 15 personnes. Le budget CCFF de 18 000 € couvre les dépenses indispensables (VHF, chaussures CCFF, nouvelles tenues RCSC, chasubles, mégaphones, lampes, cartographie). A cela s’ajoute un investissement à long terme de 92 000 € pour un véhicule 4 x 4 CCFF qui permettra de patrouiller quotidiennement sur le secteur des 3 communes afin de déceler les manquements en termes de sécurité et de rappeler au public les règles implacables à observer pour éviter un incendie. Jean-JeanTabony sera le référent technique de cette structure CCFF, Claude Roquelaure, architecte de cette structure, pour la partie administrative. Il est aussi prévu une visite de la structure RCSC/CCFF de Narbonne.
D’abord le 23 septembre avec une visite, sur un navire, des travaux du grand port depuis la mer, et, ce qui devrait se faire tous les ans, la participation active à un exercice de simulation de feu à bord d’un navire amarré au port, combiné avec un accident de la circulation. Il y a eu aussi eu l’exercice multiservices du 6 juin au Chemin des Vignes afin de prévenir le principal danger, le feu de broussailles. Ces deux exercices, pilotés par Dylan Taboni et Claude Roquelauredoivent permettre de comprendre comment fonctionnent toutes les parties engagées, les autorités préfectorales, la gendarmerie, la police municipale, les pompiers, la RCSC (« prévoir, c’est tester »). On va plus loin en 2022 avec la création d’un Comité Communal Feux de Forêt (CCFF), en réalité un comité intercommunal puisqu’il inclut Sigean et La Palme dans le contexte d’une solidarité entre communes.
Le bilan 2021 de La Réserve Communale de Sécurité Civile (RCSC) de Port-La Nouvelle tracé par EricTresené a permis de montrer aux bénévoles deux situations grandeur nature dans lesquelles ils pourraient intervenir.
Port-La Nouvelle :  « La prévention, ça ne se quantifie pas !»
Les deux auteurs de ces ouvrages ont cela en commun qu’ils sont amoureux de Port-La Nouvelle. Jean-Claude Embry, féru de recherche historique et de navigation, fut le premier à éditer en 2003 « Port-La Nouvelle, la ville des hommes », un ouvrage référence de 450 pages. Micheline Cathala, conseillère municipale déléguée au patrimoine, est en quête de toutes les illustrations et photos relatives à Port-La Nouvelle, cette recherche iconographique l’amenant à publier en 2019 « Port-La Nouvelle au fil du temps ». Il était impossible que ces deux auteurs ne se rencontrent pas, et en commun ils ont publié « Port-La Nouvelle Tome 1 » en 2009, le Tome 2 en 2010, et l’ouvrage « Port-La Nouvelle d’hier à aujourd’hui » en 2012. Soit 5 ouvrages sur lacommune en 18 ans. Pas tout à fait 5 ouvrages, mais bien 6, car on n’arrête pas une équipe qui gagne : ce 11 janvier 2022 en mairie, ils présentaient au maire Henri Martin leur 4ème ouvrage en commun « D’un hameau ils firent une ville, Port-La Nouvelle de 1844 à nos jours ». Ce livre de 200 pages, le second édité par la commune, est le résultat de 2 années de travail, et a été tiré à 2 000 exemplaires. Le livre aide à comprendre comment la ville s’est construite, en évoquant l’histoire contemporaine de la commune de 1844 à ce jour, maire par maire, de Jean-Baptiste Rival à Henri Martin. A propos du maire Henri Martin ce 11 janvier, « mal » lui en pris d’ouvrir le livre à une page au hasard, et c’est avec croquis à l’appui et une chronologie de tous les prénoms et les noms des personnes liées à un bâtiment sur une photo qu’il a, involontairement, fait comprendre aux deux auteurs qu’il y avait encore beaucoup de belles histoires à raconter sur Port-La Nouvelle.
Ouvrage en libre consultation à la médiathèque municipale, et vendu à Super U et au Tabac duboulevard du Monument aux Morts au prix public de 15,00 €
Six ouvrages richement documentés sur Port-La Nouvelle ont cela en commun qu’ils partent tous du constat « d’abord petit port de pêche… ».
Port-La Nouvelle :  « D’un hameau ils firent une ville  »
Placer une caserne de pompiers en plein centre-ville est une des fiertés du maire de Port-La Nouvelle Henri Martin, et c’est chaque année qu’il se plie avec plaisir à la petite cérémonie de la remise du calendrier des combattants du feu.
Accompagné de Dylan Taboni, conseiller municipal délégué à la prévention des risques et à la réserve communale de sécurité, le maire a reçu Fabien Nouguès, le chef du centre de secours de Port-La Nouvelle, et Vincent Rustanys, le président de l’Amicale des Sapeurs-Pompiers. Le calendrier retrace les grandes interventions opérées durant l’année 2021, et ne sera pas proposé aux habitants uniquement que par la tournée de porte à porte des pompiers : les contraintes sanitaires peuvent en décourager plus d’un d’ouvrir sa porte aux pompiers lors de leur tournée, raison pour laquelle les calendriers seront également mis en vente dans certains commerces à partir du 20 décembre. Reste à espérer que ces calendriers ne seront pas considérés comme « non essentiels » en cas d’aggravation de la pandémie
Port-La Nouvelle :  « Ils se présenteront à deux et en uniforme »
S’adressant en premier lieu aux CE1, c’est avec le livret « A la découverte de l’environnement » que les élèves ont donné leur version de la protection de l’environnement et de la nature ; toutes les formes d’économies ont été émises (eau, électricité, gaspillage alimentaire, …), reste à voir dans le temps si bannir l’utilisation de la voiture au profit de la marche à pied ou du vélo sera toujours leur leitmotiv quand ils auront l’âge de passer le permis de conduire. Le doute est également permis, à plus courte échéance, lorsqu’Aurélie annonce que la télévision, le téléphone portable, la tablette, l’ordinateur et les jeux vidéo consomment de l’énergie et leur production pollue la nature, alors qu’aller jouer au jardin ne pollue pas. Une pertinente solution de protection de la nature est venue d’un élève suggérant « d’éviter de mettre trop de pétrole dans l’eau, sans quoi il n’y aurait plus de poissons ». Les élèves de CE2 ont été confrontés aux règles de politesse et de civilité avec le livret « Bien vivre ensemble ». Et le chemin est long pour être poli dans ses paroles et gestes, d’accepter tout le monde et d’aider les plus fragiles, de ne pas nuire à autrui, d’être honnête, de ne pas abîmer ce qui nous entoure, de respecter les règles et les lois, d’avoir une bonne hygiène et une tenue correcte, et de bien vivre ensemble à l’école, dans la rue, dans les transports en commun et les lieux de loisirs. Quand Aurélie conclut que toutes ces règles s’imposent « parce qu’on est sur le même bateau », un élève la corrige en disant « non, on est sur la même planète ! ».
Reportage Willam Barbier
Ce vendredi 26 novembre à l’école primaire André Pic de Port-La Nouvelle, les élèves de CE1/CE2 de la classe de mme Guiraud onteu la visite de deux élues : Jeanne-Maryse Ségui, 1ère adjointe déléguée à l’enfance et à la scolarité, et Aurélie Pons, conseillère municipale déléguée au cadre de vie et au développement durable.
Port-La Nouvelle :  « Protéger la planète sur laquelle on doit vivre ensemble »
Un gros sujet estle projetde l’aménagement global du Quai du Port/Avenue de la Mer dont la maîtrise est assurée par la ville de Port-La Nouvelle, avec des objectifs multiples : sécuriser, moderniseret embellir un axe urbain majeur à l’interface ville/port, valoriser les quais, redéfinir le partage des usages, et créer une connexion du front de mer avec l’Euro Vélo 8 et les sentiers de randonnées. Les énergies renouvelables se sont invitées au débat avec les éoliennes offshore : le projet pilote EOLMED porté par Qair, le projet EFGL porté par Engie, le projet de ferme commerciale de 250 MW prévu pour 2028, et le projet de fabrication d’hydrogène porté par Qair. Et on parle bien sûr des trois plages avec la concession 2022/2034 de la plage du Front de Mer et des Montilles, celle de la Vieille Nouvelle étant une réserve naturelle régionale (RNR). Impossible d’éviter le sujet qui fâche quant à l’accessibilité à la plage des Montilles qui accueille en période estivale quelques 1 150 baigneurs et 700 véhicules par jour : à toute solution, il y a toujours une loi qui interdit ce qu’une autre loi permet. La présentation se clôt par le best of de toutes les qualifications dans lesquelles s’inscrit Port-La Nouvelle, le préfet approuvant probablement « Ville où il fait bon vivre ».
Reportage William Barbier
Nommé par le Conseil des Ministres, le préfet passe en moyenne deux à trois années au sein d’un territoire. A l’arrivée récente de Thierry Bonnier, nouveau préfet de l’Aude, la municipalité de Port-La Nouvelle lui a dévoilé ce 17 novembre sur écran géant une présentation de la commune et les projets de développement. En présence de Claude Roquelaure, directeur général adjoint, Eric Lallemand, directeur général des services, et Serge Malosse, chef de la Police Municipale,  le maire Henri Martin a d’abord retracé l’origine et l’histoire de la commune depuis 1429 jusqu’à nos jours.
Il a ensuite fait une synthèse des services publics : centre hospitalier et de secours, Pôle santé, permanences administratives et sociales, gare SNCF, poste, écoles et collège, piscine municipal, infrastructure sportives et culturelles, parc locatif social, sécurité (police municipale, police aux frontières, gendarmerie, brigade de surveillance de littoral, douanes, DML, capitainerie du port, vidéo protection, SDIS, protection des plages et baignades, RCSC). On n’évite pas l’environnement avec la réserve naturelle régionale, la commune comme membre du PNR de la Narbonnaise, les labels de la qualité des eaux de baignade, le canal de la Robine, labels « ville fleurie » et « objectif 0% phyto ». L’aspect économique et industriel a mis en évidence l’espace portuaire et le grand chantier de son extension, la pêche, la plaisance, les principales entreprises, les commerces et l’artisanat, le numérique et le haut débit. Dans une telle présentation, on parle aussi de gros sous avec le Plan Pluriannuel d’Investissement Communal (PPI) : bâtiments, accessibilité, opérations programmées, voiries.
Port-La Nouvelle : Expliquer au préfet ce qu’est une « petite ville de demain »
Pour rendre hommage aux 52 Nouvellois qui ont péri dans ce conflit mondial, le maire a parlé de ce que son équipe municipale et tous les citoyens font pour transformer la ville et l’inscrire dans les décennies, voire dans les siècles, nécessitant une adaptation permanente : « Nos 52 Poilus ont à leur façon apporté leur pierre à l’édifice ;  aux affaires de la ville,  nous apportons une pierre quotidienne sur le plan démocratique, et vous, citoyens, vous l’apportez également, moralement ou physiquement, quelles que soient vos activités, vos professions, vos actions, vos pensées et la vigueur que vous y mettez. Au-delà du sacrifice purement militaire de nos Poilus, on a perdu des jeunes qui étaient chargés d’espoir, Port-La nouvelle n’avait que 60 ans quand ils sont partis au combat, au moment des prémices des travaux du port et des commerces spécifiques, on appréhendait l’avènement de l’automobile et du pétrole, ils étaient les précurseurs de ce que vivons au quotidien ». Une façon de démontrer qu’au sein de la population, la ferveur reste intacte pour le 11 novembre.
Reportage William Barbier
L’omniprésence du port du masque rappelait que la pandémie restait une menace sanitaire. Après le dépôt de gerbes, l’instant solennel « aux Morts », la citation des 52 Nouvellois Morts pour la France et la lecture du message ministériel, la Marseillaise fut chantée a capela par les enfants de l’école primaire André Pic. Le maire Henri Martin a salué le fait que « on a la possibilité d’entendre parfaitement les paroles dont il est bon que la jeunesse s’imprègne, pas au niveau guerrier, mais surtout parce que c’est un chant qui a été composé vers la liberté ».
La cérémonie commémorative du 11 novembre a enfin pu se dérouler à Port-La Nouvelle selon le protocole qui sied à un tel devoir de mémoire, en réunissant les associations patriotiques et leurs porte-drapeaux, le corps des sapeurs-pompiers comprenant la plus grande proportion de jeunes dans l’Aude, la gendarmerie, le représentant du sémaphore, la police municipale, et, enfin, un nombreux public.
Port-La Nouvelle : 103e anniversaire de l’armistice de 1918
Rencontres de regards dans les labyrinthes photographiques
 
Après la présentation de l'exposition qui s'est tenue jusqu'au 30 octobre.2021 à l’Espace Arts & Rencontres Roger-Broncy avec Claudio Isgro, en tant que responsable artistique de la seconde édition du Festival La Nouvelle Photographie, il a confirmé pour cet événement « l’ambition de rester petit à taille humaine mais exigeant pour la qualité et la vision innovante des propositions ».
Et si ce festival donne la part belle à des photographes confirmés, il offre aussi une carte blanche à un architecte pour explorer photographiquement la ville de Port-La Nouvelle. C’est la mission donnée à l’architecte Arthur Peyne qui au travers de juxtapositions graphiques d’éléments industriels et touristiques à « photographié la double identité de la ville non pas avec ses yeux mais avec ses pensées ».
Les visiteurs ont eu la surprise de voir Claudio Isgro et l’architecte Arthus Peyne à quatre pattes, occupés à découper en larges lanières le très long diaporama symbolisant la ville de Port-La Nouvelle dans sa diversité, à savoir le mariage heureux entre l’activité industrielle et touristique. Claudio donnait des coups de ciseaux à main levée, Arthus traçait bien évidemment au préalable une belle ligne droite avec une règle d’architecte. Renseignements pris, Claudio explique que « le découpage de l’œuvre consiste à créer une boule dans laquelle chaque participant peut jouer et partir avec un morceau de la photo ; et qu’est-ce une photo, sinon un souvenir ? ». Sur le plan culturel, en partenariat avec la municipalité, il y a toujours cette volonté de faire participer au départ tous les habitants de Port-La Nouvelle « car cela leur appartient », mais également les personnes venant de l’extérieur qui feront rayonner la culture nouvelloise extra-muros. Une efficace façon non seulement de faire savoir ce que la ville apporte en termes de culture, mais surtout de la faire connaître. Cela valait donc bien la peine de décomposer l’œuvre d’Arthus Peyne.
Reportage William Barbier
Ce 30 octobre, Sandrine Castro, directrice du Pôle Culturel de Port-La Nouvelle, et Claudio Isgro, responsable artistique de la 2e édition du festival La Nouvelle Photographie, lançaient l’invitation au finissage de cet événement à l’Espace Broncy.
Port-La Nouvelle : Un finissage qui se termine en lambeaux artistiques
Ce véhicule tournera dorénavant sur le territoire de Port-La Nouvelle mais, même si l’équipement le permet, il n’y aucune chance qu’on le verra avec des planches de surf sur toit pour une escapade vers la plage des Montilles. Il est vrai que cette description ne correspond pas au vieux Renault Kangoo qu’utilisait la police municipale de Port-La Nouvelle, mais bien au nouveau Ford TourneoConnect Active 5-7 places que réceptionnait ce 25 octobre Serge Malosse, chef de la police municipale.  Cet utilitaire léger complète le parc automobile de la police municipale qui dispose déjà d’un véhicule 4 roues motrices pour les interventions sur terrains naturels. Pour monter dans ces véhicules, une solution est de commettre un délit, mais est-ce une bonne idée ?
Reportage William Barbier
Dans le catalogue, on peut lire que cette voiture « est le meilleur des monospaces pour vous accompagner lors de vos escapades en famille, son design robuste ne laissera personne indifférent,le différentiel à glissement limité mécanique redirige la puissance vers la roue la plus adhérente permettant de partir à l’assaut des terrains les plus difficiles, un éventail de technologie de pointe permet de rester connecté lors de chaque aventure grâce au Wi-Fi embarqué ».
Port-La Nouvelle : Efficacité policière sur 4 roues
Chaque détail a été développé avec un objectif majeur, à savoir une rue propre en un seul passageindépendamment de la saison et des conditions : urbaines ou rurales, sable ou feuilles, chaleur de désert ou froid polaire, autoroutes ou pistes cyclables. Une option a été retenue pour l’avenir, un bras articulé avec une brosse à l’avant de l’engin pour ramener les feuilles sur le trottoir vers la chaussée. Une première formation a permis à quatre agents des services techniques de se familiariser avec la conduite et les nombreuses fonctionnalités, de quoi faire les premiers pas dans les rues de Port-La Nouvelle avec un gain indéniable en termes d’aspiration et de balayage, de pollution, et de consommation. Le Ravo est certes une machine pour faire le « sale boulot », mais rien n’a été épargné pour offrir aux usagers une position de conduite et un confort acoustique dignes d’une berline de luxe.
Reportage William Barbier
« Le Ravo CR-540 XL est à la balayeuse ce que la (censuré !) est à la voiture » précise Henri Martin, maire de Port-La Nouvelle. Et pour cause, ce 25 octobre avait lieu la présentation officielle dans l’enceinte du bâtiment des services techniques d’une nouvelle machine réunissant un concentré de technologie, en remplacement de la balayeuse détruite lors d’une rencontre brutale avec la remorque d’un poids lourd. Avec quelques 30 km de voirie, il fallait un équipement adéquat, et la balayeuse de rue compacte Ravo 5 iSérie répond à toutes les exigences.
Port-La Nouvelle : La propreté des rues en point de mire
Trop tard pour placer une barrière anti-racine, et couper des branches ne ralentiront pas la progression : il a fallu couper dans le vif toutes les racines envahissantes, et refaire la chaussée aux endroits libérés de leur agresseur.  Lors de la visite d’inspectionante-Toussaint de ce 28 octobre du maire Henri Martin et du maire-adjoint EricTresené délégué, entre autres, à l’entretien de la ville, il était acquis que la propreté légendaire du cimetière était due au travail sans relâche depuis 27 ans de l’employé communal Patrick Garcia. Et comment ne pas remarquer, sur la chaussée carrossable, les nombreuses « retouches » parfaitement nivelées en enrobé rouge au premier niveau du cimetière et devant les enfeus, ainsi que les pavés autobloquants à nouveau plans comme au premier jour de leur placement.
Reportage William Barbier
Il est d’une force redoutable, se déplace à l’horizontale, soulève les routes et cause des dégâts aux maisons. Cette définition d’une tornade s’applique aussi au pin parasol, ce beau conifère de la famille des Pinaceae qui embellit les paysages du bassin méditerranéen.  Planté il y a des décennies avec nombre de ses congénères, les racines ont progressivement confirmé leur réputation destructrice à plusieurs endroits de la chaussée du cimetière de Port-La Nouvelle, les pavés autobloquants traversant le site n’ayant pas été épargnés.
Port-La Nouvelle : Les racines ne défigureront plus le cimetière
Avec la recette des emplacements, de la buvette et de la tombola, ce sont 350 € de bénéfice qui ont été récoltés en faveur de ELA. Le lot de la tombola consistant en un bon d’achat de 60€ gracieusement offert par l’enseigne Super U a été remporté par Didi Nénon. Sur la même matinée, un sac de 50 litres de bouchons a été récolté en faveur de l’association Les Bouchons du 11 dont la classe Ulis1 est l’ambassadeur. Manifestation autorisée par le maire Henri Martin, le vide-greniers a pu rassembler 40 emplacements visités par un grand nombre de chineurs, résultat d’une bonne communication dont celle de banderoles placées aux endroits stratégiques par les services municipaux. Est-il besoin de préciser que rien ne se serait réalisé sans l’accord préalable de Jean-Pierre Lifante, principal du collège. Et de préciser enfin que ce sont les bénévoles Béranger Bosch, Nicolas Neumayer, Véronique fabre, Céline Pano et Aurore Juhel qui ont fait « tourner la boutique ». Au total, beaucoup de solidarité en totale apesanteur, à la plus grande satisfaction de l’astronaute Jean-François Clervoy, le nouveau parrain d’ELA pour la campagne « Mets tes baskets et bats la maladie »
Cette fois, les bénéfices du vide-greniers du 9 octobre du FSE du collège La Nadière à Port-La Nouvelle seront reversés à ELA, l’association loi de 1901 regroupant des malades et des parents de malades souffrant de leucodystrophie, une maladie génétique rare qui attaque le système nerveux central.
Port-La Nouvelle : On continue de se battre pour ELA
Michel Rubio administrateur de l’Afdaim, Jacqueline Claret conseillère municipale déléguée à l’habitat et à l’insertion sociale et porteuse de l’opération Brioche à Port-La Nouvelle, Margareth Letailleurmaire adjointe déléguée aux aînés et à l’action sociale, Christian Salas ancien maire adjoint aux animations et nouveau président du Rivage d’Or, Rose Dupré ancienne conseillère municipale, et Patrick Gloriès vice-président du Rivage d’Or. La présence de Christian Salas et de Patrick Glorièss’explique du fait qu’ils ont commandé 25 brioches à servir à un prochain goûter aux membres de leur association. Le maire Henri Martin de son côté a commandé 60 brioches à destination des enfants fréquentant les restaurants scolaires de l’école maternelle Alphonse Daudet, de l’école élémentaire André Pic et du collège La Nadière. Deux membres du Rivage d’Or, Roger et Rosette Richard, en tant que bénévoles de l’Afdaim, participeront activement à la vente des brioches dans la ville.
www.afdaim-adapei11.org
Reportage William Barbier.
  Par la vente de brioches au prix de 6 €, la recette permet de financer l’action sociale de l’association et de participer au développement de ses établissements, de développer l’accès aux activités culturelles, artistiques et sportives des personnes accueillies et de participer à l’organisation de leurs loisirs et vacances, de financer le poste de soutien aux familles et aux droits des usagers. Sachant que l’opération nationale permet de vendre plus de 40 000 brioches, l’opération nouvelloise a tablé sur 300 brioches. Lancement de l’opération ce vendredi 8 octobre en mairie en présence de (de gauche à droite sur la photo) Maryse Ségui maire adjointe déléguée à l’enfance et à la scolarité,
Non, il ne s’agit pas d’un plaidoyer pour avoir un ventre rebondi, même si les Espagnols qualifient cet aspect anatomique comme « courbe de la félicité ». Du 11 au 17 octobre, l’Opération Brioches contribue au financement d’actions concrètes pour les personnes en situation de handicap.  L’AFDAIM-ADAPEI 11 est une association parentale située dans l’Aude et accueille plus de 1 300 personnes en situation d’handicap intellectuel. L’opération est parrainée par la présidente du Conseil Départemental, le Préfet de l’Aude et le président de l’association des maires de l’Aude.
Port-La Nouvelle : C’est bien d’avoir de la brioche
Les libraires nous ont présentés leur sélection parmi les 521 romans de cette rentrée pour labibliothèque :« Furies » de Julie Ruocco, « Les Contreforts » de Guillaume Sire, « Rends-moi fière » de Nicole Dennis Benn, « Une soupe à la grenade » de Marsha Mehran, « La fille qu’on appelle » de Tanguy Viel, « 24 fois la vérité » de RaphhaëlMeltz, « L’éternelle fiancée » d’Agnès Desarthe, « La porte du voyage sans retour », de David Diop, « L’évangile du Nouveau Monde » de Maryse Condé et « Mahmoud ou la montée des eaux » d’Antoine Wauters.
Présentation suivie d’une rencontre avec Marie Bardet et Marco Caramelli.
La Narbonnaise Marie Bardet signe son deuxième roman sur l’histoire de Babylift, édité par les Ed. Emmanuelle Collas, entre enquête et intime.Une histoire d’amour ballottée par le chaos de la guerre. Une quête d’identité depuis une vallée audoise, jusqu’aux berges d’une rivière du Vietnam. Un air de thriller, et un retour aux sources : « Babylift est un roman aussi addictif qu’émouvant. J’aurai pu faire un documentaire. J’ai choisi une fiction, pour tendre vers quelque chose de plus universel et pour que toute personne concernée puisse se projeter… ».
Après une enfance dans la région de Naples, Marco Caramelli s’installe à Montpellier, puis à Paris.A l'occasion du centenaire de la naissance de Federico Fellini et du soixantième anniversaire de son chef-d’œuvre, La Dolce Vita,Marco Caramellia publié aux éditions Robert Laffont, « Un beau désordre ».
Transformant en roman le film Huit et demi avec des passages par La Dolce Vita, les deux chefs-d’œuvre du cinéaste, l'auteur se glisse dans la peau du grand réalisateur italien. Quand un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de souvenirs et de fantasmes, alors que dans la station thermale où il s'est isolé, son épouse, sa maîtresse, ses amis, ses acteurs, s'agitent autour de lui dans l'attente. Un premier roman, un beau désordre mêle l'histoire du film et l'adaptation qu’il en a fait, avec un travail d'auteur parce qu'il y a des scènes qu’il a totalement construites.
Reportage Dominique André
Ce vendredi, le Pôle Culturel de Port-La Nouvelle nous présentait la "Rentrée Littéraire" en association avec la librairie indépendante « Libellis » de Narbonne.Si en termes de chiffres, la rentrée littéraire s’annonce proche de celle de 2020, avec 521 romans programmés entre mi-août et début octobre, elle n’a rien à voir. Après le choc du premier confinement et la peur de voir retomber l’engouement des lecteurs pendant les mois de privation, les éditeurs avaient joué la sécurité en publiant en 2020 des valeurs sûres et best-sellers, cette année l’offre regorge de nouveautés.
Port-La Nouvelle : C'est bon de pouvoir à nouveau tourner les pages à la bibliothèque
La première phase de dragage est toujours en cours afin de permettre l’arrivée des navires à très grand tirant d’eau lorsque les nouveaux quais et la jetée seront terminés en 2024. La construction des digues constitue l’un des lots, et Stéphanie annonce que leur construction sera arrêtée durant la période hivernale, ce temps étant mis à profit pour réaliser la deuxième phase d’aménagement du quai pour la construction des flotteurs d’éoliennes: c’est une société française qui fabriquera et assemblera à Port-La Nouvelle les flotteurs en acier.
Reportage William Barbier
Ensuite Marie-Neige Pinton, directrice administrative et financière de la société d’économie mixte à opération unique (SEMOP) ayant en charge la gestion et le développement du port, un consortium réunissant la Région, la Caisse de Dépôt et un groupement d’entreprises sous le nom de NOU VELA qui détient 49% du capital. Et enfin l’ingénieur qui gère le port historique au niveau du domaine foncier, Fabrice Lumière, responsable du pôle territorial de la Région Occitanie. Tout au long du trajet, Stéphanie Spacagna a détaillé les travaux qui se subdivisent en cinq lots, et a eu le plaisir d’annoncer que le quai de 250 m et le terre-plein étaient terminés depuis juillet, un endroit stratégique pour accueillir les deux consortiums d’éoliens pour la fabrication des flotteurs.
Avant de larguer les amarres, Claude Roquelaure a remis aux 15 membres bénévoles de la RCSC un certificat de compétences de citoyen de sécurité civile confirmant une mise à niveau de la formation Prévention et Secours Civique de niveau 1 (PSC1). Mais ils n’allaient pas voyager seuls, car en plus du maire Henri Martin, Claude Roquelaure, Eric Lallemand, EricTrésené, Dylan Taboni et Jean Jean-Taboni), trois passagers se sont invités à bord. Claude Roquelaure présente Stéphanie Spacagna, responsable au sein de la Région Occitanie du projet d’extension portuaire, et qui sera tout au long de la croisière le guide.
Chaque année, la Réserve Communale de Sécurité Civile (RCSC) de Port-La Nouvelle visite un site sensible. Rendez-vous ce jeudi 23 à l’embarcadère des « bateaux à touristes » pour la visite au plus près du chantier de l’extension du grand port.
Port-La Nouvelle : La RCSC met le cap sur les travaux du grand port
la professeure de français et trésorière de longue date Céline Pano, la professeure de physique-chimie madame Fabre, le professeur d’histoire-géographie Bruno Garde, la secrétaire du collège madame Clettes, et le technicien polyvalent Béranger Bosch alias MacGyver. Les enfants profitent déjà tous les jours entre l’heure du midi du FSE avec des activités manuelles et sportives : table de ping-pong, ballons de football et de rugby, babyfoot (kicker en Belgique), et le foyer dédié au FSE verra sa décoration adaptée en fonction des périodes (halloween, Noël, …). Pour pouvoir cofinancer le voyage pédagogique prévu en Italie, il faut alimenter le budget propre par la vente à l’occasion du marché de Noël des objets fabriqués à partir de matériel recyclé, la vente de chocolats au sein de l’établissement, l’organisation d’une tombola ou d’un loto, dons facultatifs des parents, …). La recette de l’organisation du vide greniers du samedi 8 septembre et les bénéfices de la buvette participent à cet apport financier. Le FSE prend aussi en charge les frais de la photo annuelle de classe. En résumé, le FSE est à l’écoute des nombreux projets pédagogiques initiés par les professeurs, et Aurore est très claire : « pas de projet, pas de sous ! ». Mais la richesse du FSE ne se mesure pas uniquement sous forme monétaire, et à l’initiative de madame Fabre les élèves ont participé à l’opération « Bouchons 11 – Solidarité Handicap » en récupérant et envoyant 45 kg de bouchons à cette association. Sachant qu’il faut une tonne de bouchons pour que Bernard Sanchez, responsable de Bouchon 11 à Narbonne, engrange 300 € pour venir en aide aux personnes handicapées, le résultat de la collecte du FES du collège La Nadière est une belle démonstration de ce qu’est l’altruisme.
Reportage William Barbier
Au sein des lycées et des collèges, des foyers socio-éducatifs (FSE) participent à la finalité éducative de ces établissements en organisant diverses activités, tout en développant le sens des responsabilités des élèves. Au collège La Nadière de Port-La Nouvelle, la nouvelle présidente de cette association FSE, Aurore Juhel, peut compter sur une équipe motivée pour mener à bien cette mission ...
Port-La Nouvelle Une nouvelle présidente met le turbo au FSE à La Nadière
Une tradition à laquelle le maire Henri Martin et la maire-adjointe Maryse Ségui ne dérogent pas est la distribution de dictionnaires et de casques aux enfants de CP qui viennent d’intégrer l’école élémentaire André Pic dirigée par Patrice Boffelli.  Lire l'article
Descendez sur la page pour voir tous les articles.  Cliquez sur les images pour les agrandir
Suite articles 2018Suite articles 2018Suite article 2018/2019Suite article 2019/2020Suite archives  2020/2021